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Discussion : Voyeuse autant qu'exhibitionniste

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    Mouais, à mon avis, avec ses histoires de littérature, elle se touche...

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    Épisode 8

    Je continue le partage de mes petites aventures. Aventures qui, je le rappelle, ne sont qu'écume et restent sans conséquences. Je vous en souhaite bonne lecture. Passez un bon week-end. Nous nous retrouvons bientôt.

    Randonnée équestre

    J'ai longtemps hésité avant de raconter ce qui m'est arrivée ce vendredi d'automne 2024. C'est ma sixième année d'université. Le vendredi, comme le mardi, je termine à midi. Avec la différence que le vendredi marque le début de mon Week-end. Un vendredi où il fait plutôt doux et agréable. Des séquences d'ensoleillements alternent avec des moments plus couverts. Mais ce n'est pas une météo menaçante. Avec les terrains détrempés, j'ai abandonné la bicyclette pour donner préférence à mes promenades équestres. Voilà un après-midi idéal. J'adore flâner dans les bois sur mon cheval. Pas de cueilleurs de champignons aujourd'hui. Dommage. Leurs rencontres agrémentent toujours mes promenades. Surtout lorsqu'ils exhibent leurs cueillettes.

    Je me rends au centre équestre. Nous y avons nos chevaux en pension. Trois petits kilomètres dans la voiture. De chez moi jusqu'au bourg voisin. Je suis pressée. Je suis d'ailleurs déjà vêtue de ma tenue d'écuyère. Même si avec mes bottes de monte, sur les pédales, la conduite n'est pas très simple. Surtout qu'une fois encore, je me touche. Mais que personne ne s'inquiète. Je me touche avec la pleine possession de tous mes moyens. C'est juste une habitude vicieuse que je pratique depuis la fille nubile que j'étais encore il n'y a pas si longtemps. J'arrive au centre hippique pour 14 h30. Je prépare "Oscar", mon cheval. Toujours si docile, il me reconnaît instantanément et me fait la fête. Il a cinq ans et quatre mois. C'est un bel étalon. Il adore les balades avec moi.

    Je bavarde un peu avec mes copines du club. Je décline l'offre de faire une promenade à plusieurs. Je suis une grande solitaire. A plusieurs, il n'arrive pas grand chose. Du moins pas dans mon domaine de prédilection. Je quitte le centre équestre par le sentier balisé. C'est une croix bleu sur fond blanc dans de petits rectangles en formes d'écussons. Ils sont fixés aux tronc des arbres à chaque carrefour. Ce sentier mène directement à la rivière. Un petit kilomètre dans un paysage de toute beauté. Les couleurs de l'automne sont chatoyantes. Tout particulièrement aujourd'hui avec ces merveilleuses séquences d'ensoleillements. Toutes ces déclinaisons de teintes sont enchanteresses. Du roux jusqu'aux rouilles. Teintes rousses des plus éclatantes aux plus profondes. C'est magnifique.

    J'arrive aux bâtiments abandonnés de la tannerie. La grande roue à aube tourne toujours encore. Il en va ainsi depuis plus de 50 ans, avec régularité. C'est épatant. Même Oscar aime s'arrêter là pour regarder. Je descends d'ailleurs de cheval pour marcher avec lui le long de la rivière. Je le tiens par sa longe. Je lui parle. Il semble m'écouter. Il m'amuse beaucoup lorsqu'il cligne de ses gros yeux noirs. Il n'y a plus les mouches de l'été pour l'ennuyer. Je marche ainsi jusqu'aux ruines des bâtiments. Mon papy m'a raconté que cette tannerie à été bâtie sur les ruines d'une ancienne commanderie de l'ordre du Temple. Il en subsiste encore les restes des murs crénelés qui entouraient les constructions. Jusqu'au dix huitième siècle.

    Je remonte sur mon cheval. Le soleil règne à présent en maître absolu dans un ciel principalement bleu. Nous avançons sur l'étroit sentier pierreux. En contrebas la rivière aux eaux tumultueuses. Plutôt bruyante aux endroits des cascades. On devine les murets engloutis des anciens bassins. Il y a un vélo posé contre un arbre, là-bas, au bort du ruisseau. Nous avançons. Quelle surprise. Il y a un type. Il est couché à même le sol. Sur le flanc droit. Le pantalon descendu. Le bougre m'a certainement vu venir de loin. Il me guette probablement depuis les ruines de la chapelle. Il semble avoir préparé son coup. Il se masturbe frénétiquement. J'anticipe. Je prépare mon interprétation de l'innocente. J'endosse ce rôle avec délectation. Je prends une profonde inspiration. Plusieurs fois.

    Je suis hors d'atteinte. Je suis sur mon cheval. Prête à lui donner l'impulsion de partir au galop à la moindre alerte. Je m'arrête. Je me mets mentalement au défi de le faire. Je suis très embarrassée. Aussi, un peu par jeu, je veux absolument partager cet embarras avec ce coquin. Il doit avoir la quarantaine. Vêtu en "sportif" VTT. Tout l'accoutrement. Même le casque posé à côté de lui dans l'herbe. Je reste parfaitement immobile sur mon cheval. Fière, droite, le port de tête altier. Je me fais voir. J'avance. J'arrête. Je m'avance à nouveau. De quoi attirer l'attention du quidam. De quoi attiser son intérêt. Je devine ce qui peut se passer dans sa psyché. Puisque moi aussi je suis une coutumière de la mise en scène.

    J'arrive à sa hauteur. Mon comportement a la particularité de mettre le masturbateur mal à l'aise. Je le toise. Il se redresse. Il est un peu comme un con. Je n'ai pas d'autre adjectif pour qualifier son attitude. Assis, le cul nu sur les cailloux pointus du sentier, il reste silencieux. Joue t-il le "gêné" ou l'est-il vraiment ? Je devine son inconfort. Les cailloux. Je dis : << Bonjour ! Il y a un souci ? >>. Il pratique le "bègue" en seconde langue car je l'entends bafouiller des mots inintelligibles. Je suis contente de l'avoir déstabilisé bien plus qu'il ne croyait le faire avec sa mise en scène. Je mime une masturbation masculine avec toute la vulgarité que je peux y mettre. Je dis : << Ce n'est pas prudent ! >>

    Notre onaniste trouve enfin les mots. Il s'excuse. Il veut me faire croire qu'il se pensait seul. Alors que tout respire la stratégie de l'exhibitionniste patenté. Il cache ses parties génitales de ses mains. Je lui dis encore : << Méfiez-vous quand même. Il y a du passage. Et parfois même les "Brigades Vertes" ! >>. Il remonte son leggings noir de cycliste. Il se redresse. Il semble terriblement gêné. Là, je le sens sincère. Il s'excuse une nouvelle fois. Une fois encore mon aplomb a un effet perturbant sur l'individu. Il s'ajuste sans oser lever la tête. Alors que je l'observe, silencieuse, à quelques cinq ou six mètres. Cet ascendant m'emplit d'un sentiment de satisfaction. Je le domine. Et pas seulement parce que je suis en hauteur sur ma monture. Étrange sensation.

    Je le salue. Je continue mon chemin. Je traverse le petit pont médiéval en pierre. Là, je m'arrête. Le type pédale doucement sur son vélo. Il est de l'autre côté de la rivière. Je descends de cheval. Je descends mon pantalon et ma culotte. C'est à mon tour de le gratifier d'une de mes prestations. Je crois que je lui donne le coup de grâce. Le "coup de pied de l'âne" en quelque sorte. Le bougre ne s'attendait certainement pas à tomber sur son alter égo au féminin. Bien fait ! Il s'arrête. Il paraît décontenancé. Pieds écartés, la barre de sa bicyclette entre les jambes, il m'observe. J'aimerais pouvoir scruter ses expressions avec la minuscule paire de jumelles toujours dans ma pochette. Il hésite. Va t-il revenir vers le petit pont ?

    Oui. Il fait demi tour en se touchant. Il a même sorti son sexe au-dessus de son leggings. Je remonte ma culotte et mon pantalon. Je remonte à cheval. Je m'en vais au petit trot. Le type agite son sexe dans ma direction. Je lui fais un coucou de la main, bras levé. Il vient probablement de comprendre la leçon. Il me regarde partir en se masturbant. Tout cela m'a considérablement excitée. J'aurai de quoi me faire un bon film ce soir, seule dans ma chambre. J'aime relater mes aventures dans mon Blog. Un peu comme un journal intime que je partage avec d'heureux "élus". Les privilégiés qui savent fouiller sur les milliers de Blogs "spéciaux" du Dark Web. Une belle entrée en matière. De me relire de temps à autre, me replonge dans d'extraordinaires situations. Ce texte est d'ailleurs issu de mon Blog en "copié/collé".

    Il fait doux. La luminosité devient diaphane. Cette lumière romantique qui précède les crépuscules du mois d'octobre. Je prends le chemin du retour. Comme il est agréable d'être "bercée" sur la selle de mon cheval dont chaque pas me procure les plus suaves sensations. Je surmonte la tentation de revenir sur mes pas. J'applique le précepte de maman : << Dans la vie, il ne faut jamais revenir en arrière ! >>

    Bisou

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    Par défaut Voyeuse autant qu'exhibitionniste

    Je me lance

    J'aime écrire. J'ai des tendances exhibitionnistes parfaitement assumées. Toutefois discrète je m'évertue à ne jamais offenser. J'invite le lecteur à découvrir ma présentation. Je propose de publier sur ce forum régulièrement mes souvenirs sous formes de petits récits concis. Je précise que ce sont toujours des histoires vécues. Dans ce premier écrit je raconte comment tout à commencé. Je vous en souhaite bonne lecture.

    De sensuelles émotions

    C'était il y a quelques années. Je suis dans le box de mon cheval. June. Je le brosse soigneusement. Je suis inscrite dans ce club d'équitation depuis quatre ans. C'est un plaisir de venir monter une à deux fois par semaine. Parfois seule. Parfois avec maman. Un des palefreniers, très mignon, exerce sur ma psyché de curieuses émotions. Il est grand, athlétique. Blond avec des yeux bleus qui me font fondre. Je suis timide. Réservée. Donc extrêmement discrète. Bastien est employé depuis quelques années. Cet après-midi il est occupé à remplir de fourrage les mangeoires. Je l'observe à la dérobée. Mon regard se pose sur cette grosse bosse qui déforme son pantalon beige.

    Je ressens comme une décharge électrique. Un courant qui monte le long de ma colonne vertébrale. Je suis secouée d'un spasme. Il y a comme un déclic dans mon esprit. J'ai soudain le désir fou de montrer à ce garçon l'effet qu'il a sur moi. Je suis grande, maigre et je me trouve moche. Je n'ai aucune confiance en moi. Je voudrais que ce palefrenier tellement séduisant me remarque. Toutes sortes d'idées plus folles les unes que les autres me traversent l'esprit. Je porte un pantalon d'écuyère. Aussi moulant qu'un legging. Me voilà envahie d'une pulsion qu'il m'est impossible de réfréner. Je m'accroupis sous le cheval. J'écarte bien les cuisses.

    Cette position m'excite terriblement. D'ailleurs ce que je suis entrain de faire m'excite terriblement. Si seulement ce garçon pouvait regarder par là. Je reste dans cette position équivoque jusqu'aux limite de l'ankylose. Le sexe du cheval balance devant mon visage. C'est la toute première fois de ma vie que j'exprime ma sexualité larvaire hors de ma chambre. Depuis le début c'est dans le secret de ma chambre. Je suis couverte de frissons. Je sens la sueur couler dans mon dos. Entre mes seins minuscules. Il revient par là. Il va passer le râteau dans le box voisin. Juste une grille qui nous sépare. Je reprends ma position. Une position que j'exagère à dessein. Avec une volonté délibérée qui me procure de folles sensations. Je n'ai jamais fait ça. Jamais ressentie ça.

    Cette fois il me voit. Je baisse immédiatement les yeux. Je fais mine d'être concentrée sur le mouvement de ma brosse. Je tremble. Je me sens honteuse quand je remarque qu'il se penche pour mieux voir. C'est certain. Bastien aussi doit être soudain perturbé. Je dois lutter contre toutes mes inhibitions pour garder ma position. Il regarde avec ostentation. Je sais aujourd'hui que ce garçon avait déjà 24 ans. Je ne peux pas écarter davantage. Et toujours le sexe impressionnant de mon cheval qui balance devant mon visage. Il me permet de loucher par de petits regards furtifs. Je ne peux pas encore comprendre ce que tout cela suscite dans la psyché de ce garçon que je crois aussi "innocent" que moi. Je viens de découvrir que ce sentiment de honte me procure les plus délicieuses sensations. J'en frissonne encore ! En fait après une première expérience, on ne fait plus que reproduire dans le but de revivre cette expérience. Encore et encore. Une quête...

    Maman vient me chercher. Pas un seul instant, en entrant dans le box, elle n'imagine ce qui se passe. Le garçon est d'une extrême discrétion. Il détourne son regard, nous tourne le dos. << Tu es toute rouge et tu transpires ! Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es souffrante ? >> me demande maman. Je la rassure. Tout va bien. Je reste silencieuse dans la voiture. Je ne cesse de penser à ce que je viens de vivre. Seule dans ma chambre, après la douche et avant le repas du soir, couchée sur le lit devant le miroir de l'armoire, je me masturbe en me faisant le "film". Je fais défiler dans mon esprit les moments forts. Je viens de découvrir les plaisirs de l'exhibitionnisme.

    À suivre

    Bisou

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