Connexion
Votre pub ici    Youppie webcam confinement    

Discussion : Belleville : HIÉ

  1. #


    Inscription
    juillet 2007
    Localisation
    Ile de France
    Messages
    3 277

    Par défaut

    J'ai reçu ceci en MP :

    salut ça va? tu as le numero par hasard de "hié" que tu as rencontré?

    La réponse est non.
    De toute façon son français est tellement basique qu'une conversation téléphonique avec elle n'aurait aucun sens.

  2. #


    Inscription
    juillet 2007
    Localisation
    Ile de France
    Messages
    3 277

    Belleville : HIÉ

    Après une période d'absence de plusieurs semaines je suis passé voir à Belleville s'il y avait quelque chose à voir, quelque chose à faire.

    J'arrive donc sur les lieux mercredi 16 déc vers 2200hrs.
    Il fait froid et je n'ai pas envie de me ranger trop loin des lieux de prédilections de nos marcheuses. Pour une fois j'ai de la chance car je trouve une belle place au croisement du Blvd avec la rue Sambre et Meuse.

    De la chance pour la voiture oui, mais pour les marcheuses non : rien à l'horizon.
    Je pars sur l'esplanade centrale direction rue du Faubourg du temple. Tout est désert.
    Je marche jusqu'au Jean Bart où je croise une vétérante qui hante encore ces trottoirs avec un succès que j'imagine médiocre vu ses petites qualités physiques dont les dieux chinois l'ont dotée, la pauvrette.
    En tout cas ce n'est pas moi qui lui sauverai la mise ce soir.

    Je reviens sur mes pas et enfin j'en croise 2 mais elle sont également bien âgées. Encore des vétérantes.
    Je continue jusqu'à ma voiture sans rien trouver. Je me gèle mais je continue à sillonner un peu en tout sens en me disant que ma persévérance sera tôt ou tard récompensée.
    Elle le sera.
    Après au moins 20 mn de zigzag infructueux et malgré le froid je décide de m'accorder une pose sur un banc près de ma voiture et de griller une bonne petite cigarette.

    Quelques bouffées plus tard, du coin de l'oeil, je vois venir à pas lents une forme noire et emmitouflée qui à son tour me lance un regard furtif, mais elle n'insiste pas et poursuit sa route comme si de rien était.
    Me serai-je trompé sur son compte et sur les raisons de sa présence ici bas ? Je lui lance un "bonsoir, ça va ?" qui cette fois la stoppe net dans sa course. Elle oblique vers mon banc mais avec une certaine retenue pour ne pas dire méfiance. Je ne l'ai jamais vue. Si c'est bien une marcheuse alors elle n'est pas là depuis longtemps.

    Un dialogue surréaliste s'engage alors car la petite parle au moins 4 mots de français et mois zéro de chinois. Je décide l'aider.
    "Toi travail?" elle opine positivement, en regardant à gauche puis à droite comme si elle craignait quelque chose.
    "Toi maison ?" elle opine encore, toujours craintive.
    "Combien" et la voilà qui me balance "60" cette effrontée !!! Et puis quoi encore ?
    Je souris et décide de lui rappeler les us et coutumes du Blvd.
    "Trop cher"
    "Toi combien ?"
    "40"
    et là elle me dit
    "Toi voiture ?"

    Ce que j'interprète comme une invite à une session à 40 eur en voiture dans un parking. Surpris par cette offre inhabituelle à Belleville je ne sais plus que penser, mais à tout hasard je décline en répétant :
    "toi maison ?"
    "oui moi maison."
    Avec force geste elle m'explique qu'elle a froid et voudrait en fait que nous allions chez elle en voiture et non de forniquer en voiture . Comme je n'ai pas envie d'aller je ne sais où et de galérer pour trouver une place près de chez elle je décline encore. Elle se dandine d'un pied sur l'autre puis s'approche du banc et me prend le bras en disant "d'accord".
    Moi prudent : "toi maison, 40 eur ?" et elle me dit "oui".
    Nous voilà partis à pieds dans le froid et le vent, direction rue Burnouf, puis Ave Simon Bolivar où se trouve sa "maison".
    Un petit coup de digi-code et nous entrons dans l'immeuble et marchons sur la pointe des pieds, elle me faisant "chut", jusqu'à son petit studio au rez de chaussée.

    Intérieur surprenant car pas bordèlique, avec des godasses ou du linge dans tous les coins et de la vaisselle sale plein l'évier. Au contraire un intérieur très net, rangé, un lit à 2 places fait et recouvert par un couvre-lit propre et bien tiré, un ordinateur portable diffusant une musique de m..de mais heureusement pas fort.
    A gauche un coin douche / WC impeccable mais sans porte donc donnant directement sur la pièce principale. Bref pas du tout le style des dortoirs craspouilles dans lesquels les chinoises du quartier nous amènent le plus souvent.

    Je sors les 2 beaux billets bleus promis et elle ne fait aucune remarque.
    Je lui demande son nom ? "Hié" me répond-elle.
    Je lui demande son âge mais elle ne comprend pas et je laisse tomber.
    En revanche j'apprends qu'elle est à Paris depuis un mois.

    Elle attrape un matelas de mousse caché sous le lit et le tire au milieu de la pièce m'indiquant que le sacrifice de son corps se fera là et pas ailleurs.
    Dommage le lit avait l'air sympa .

    Commence un déshabillage mutuel qui me permet de constater des jambes pas mal, pas de ventre ni de bourrelet sur cette femme qui a entre 25 et 35 ans, je suis incapable d'être plus précis, et qui n'a pas eu d'enfant.

    Tout le bas est parti et je crains qu'elle n'essaie de m'arnaquer du genre : "pour 40 j'enlève pas le haut" mais non, c'est une fausse alerte car le soutif tombe rapidement par terre.
    Ses seins sont mignons mais désespérément plats, son duvet est noir comme la nuit.

    Elle me demande de m'allonger sur le dos ce que je fais puis elle m'encapuchonne et entame une caresse buccale hésitante et bancale. Malgré tout cette dhaleur d'origine étrangère porte ses fruits et, maintenant en forme, je la prends en missionnaire pensant conclure plus tard en levrette. Je la pénètre difficilement car elle n'a pas mis de gel. Elle est un peu crispée, j'y vais doucement et finalement elle se détend.
    Il n'y aura pas de finition en levrette car ses gracieux mouvements de tête, ses yeux plongés dans les miens (assez rare chez les chinoises) et ses petits râles discrets qui ponctuent mes aller et retour rapides et bien rythmés finissent par agir trop vite sur moi.

    La conversation post-coïtale étant vouée à l'échec je me contente de reprendre mon souffle allongé de tout mon long sur elle puis je m'extirpe de son ventre chaud et file à la douche tout en gardant un œil sur la chaise où sont posés mes habits. On ne saurait être trop prudent.
    Quand je sors elle me tend des feuilles de sopalin pour sécher mon matériel puis, à son tour, passe le sien sous la douche.
    Nous nous rhabillons. Elle ouvre la porte palière doucement pour vérifier que la voie est libre et me laisse sortir. Pas de bol je tombe sur un petite famille qui comprend parfaitement d'où je viens, mais qu'importe.

    Finalement cette session n'aurait pas valu les 60 eur de sa proposition initiale mais à 40 c'était plutôt agréable.
    Je reviendrai la voir si elle accepte de nouveau de conclure à 40.

Connectez-vous pour lire les 2 autres messages sur le sujet


Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Règles de confidentialité