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Discussion : A propos des gigolos et escort boys

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    Par défaut Ce que je préférais, c’était l’échange, la séduction, la confrontation.

    « L’acte sexuel était quasiment robotique »... Un ancien gigolo sort un livre sur ses activités

    ESCORT BOY Celui qui se cache derrière le pseudonyme Martin Poquelin est Rennais et a 32 ans. Pendant deux ans, il a été escort boy à Toulouse.

    « Je venais donc d’échanger un rapport sexuel contre de l’argent, Cent euros contre mon corps. » Martin a 30 ans quand il débute sa « carrière » d’escort boy. Ingénieur dans l’aéronautique à Toulouse, ce Rennais a tout plaqué un soir d’hiver en 2017 pour proposer ses services à des femmes aisées. Pour 100 € de l’heure, le jeune homme acceptait de se transformer en amant idéal et faisait bonne figure dans les rendez-vous d’affaires ou les réunions familiales. Souvent, ses prestations s’achevaient au plus près de ses clientes, dans les draps froissés des chambres d’hôtel de la région toulousaine. Deux ans après ses débuts, le gigolo a mis fin à ses activités. Il partage son vécu dans un livre autoédité intitulé Un Chesterfield à vendre.

    L’homme est charmant. Charmeur aussi. Son regard – de grands yeux marron – est difficile à soutenir. En deux ans d’activité, Martin a acquis toutes les clés de la séduction. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, il n’intimide pas mais il rassure. Pendant ce laps de temps, ce grand brun a accompagné des dizaines de femmes qui le payaient pour être à leur côté. « La plupart du temps, ce sont des femmes de 35 à 40 ans célibataires ou divorcées. Certaines trompent leur mari mais ce n’est pas la majorité. Beaucoup me confiaient leur détresse affective », explique celui qui se cache derrière le pseudonyme Martin Poquelin pour écrire.

    Pendant deux ans, il enchaînera deux à trois rendez-vous par semaine pour des gains qui n’ont jamais dépassé 3.500 € par mois. « Ils ne savent rien de toi, donc tu peux dire ce que tu veux lorsque l’on te posera la question à part bien sûr ce que tu fais vraiment », lui avait expliqué l’une de ses clientes avant un dîner d’affaires. Décrite comme « très attirante » par l’auteur, cette dernière avait dit qu’elle était en couple « pour calmer les dragues au bureau ». Un jour, elle a payé plusieurs centaines d’euros pour le prouver. Mais Martin a aussi refusé certaines clientes qui ne lui plaisaient pas, tant sur le plan physique que sur le plan intellectuel. « J’avais quelques habituées mais là c’était avant tout sexuel. Ce que je préférais, c’était l’échange, la séduction, la confrontation. L’acte sexuel était quasiment robotique. »

    >> https://www.20minutes.fr/societe/286...ivre-activites
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  1. #


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    mars 2010
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    Par défaut A propos des gigolos et escort boys

    témoignage interessant ... ressens t-on parfois la même detresse??

    Je m'appelle Louise, j'ai 42 ans. Ma profession libérale m'autorise à avoir un niveau de vie assez élevé. Mon mari est décédé dans un accident de voiture il y a deux ans, et je suis trouvée seule, et sans enfants. Je ne me juge pas belle ou laide mais ordinaire. Dans une boite de nuit parisienne, j'ai fait connaissance avec Stéphano, un jeune homme de 25 ans, beau, enjoué, et gentil. Il se disait comédien sans contrat pour l'instant. Notre relation n'a pas eu de mal à s' épanouir, il était charmant et très bon amant. Avec lui, j'étais à nouveau femme, il me caressait durant des heures, me faisait l'amour à ma demande, et selon mes désirs. Seule condition : payer.



    Quelque temps plus tard, j'ai eu la mauvaise surprise de voir mon gigolo draguer des nymphettes devant moi. Je l'ai viré de ma vie, et je l'ai remplacé par un autre gigolo que j'ai trouvé dans un bar d'hôtel. Cette histoire m'a transformée en femme cruelle. Depuis quelque temps, je me fais caresser par des jeunes gens qui je paye. Parfois je deviens exigeante : déshabille-toi, fais-moi un cunnilingus et va t en. Une fois j'ai demandé à un jeune prostitué de m'épiler les jambes et de disparaître. Vous savez, je mets quelquefois nue devant ma glace, je me regarde, je me juge laide, je suis angoissée, je téléphone, le prostitué arrive, son regard, son érection, et même son hypocrisie me rassurent. Je deviens névrosée, une fois j'ai demandé un gigolo avec un test HIV négatif. J'ai voulu qu'il me pénètre sans préservatif, j'ai renoncé au dernier moment.

    Le matin, je suis une femme diplômée, respectée, qui décide, le soir une névrosée.

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