Au début de la rue Saint–Denis, près du chinois (face au café Oz) Josiane, plus de 60 ans, mais bien conservée, très gros seins, bon fessier, cheveux courts, bruns bouclés, petite et dodue, 40/50 euros, elle a maigrit depuis, pas vraiment belle, mais souriante et gentille.
Plus bouchère que top model, mais avec ce pouvoir magique de faire léviter les queues les plus fatiguées, d’un simple souvenir, comme la madeleine de Proust.

Elle m'excitait tellement, qu'un jour, après avoir offert plusieurs giclées toute la matinée, à ma copine latino de l'époque, pourtant bonne et hyper chaudasse, je filais voir ma Josiane pour lui en mettre une tournée à elle aussi, histoire ne pas faire de jalouses.

Et quand j'ai vécu avec une algérienne belle comme une gazelle et que tout le monde m'enviait, je continuais d'aller chez Josiane pour m'y faire taquiner le chinois, avec son petit doigt toujours curieux qui cherche à ouvrir la serrure de ma porte arrière, avant de plonger entre ses cuisses généreuses en fourrant ma tête entre ses gros seins, voguant de plaisir comme sur un matelas pneumatique à visage humain, sur une mer écumante de fluides intimes.

Tout ça pour dire combien elle m’excitait la Josiane. Un peu comme Depardieu, dans « Trop belle pour toi » où il quitte Carole Bouquet pour se taper Josiane...Balasko.

Elle est super cochonne quand elle suce et n'hésite pas à te dire des cochonneries (elle est équipé pour le SM pour ceux qui aiment) et elle se laisse mettre à fond, sans bloquer Popaul, elle aussi. Elle se parfume avec Shalimar, parfum de "Pute" par excellence, avec Opium, deux flagrances qui me transforment en loup de Tex Avery et qui me ferait baiser n'importe quelle casserole affublée d’une jupe.

Elle est là en semaine, de 10h00 à 19h00 avec une pause l'après midi. Elle file son numéro de portable et donne son code de porte, ce qui lui évite de descendre quand elle est fatiguée, par pudeur aussi, face à toute la boboitude qui envahi le coin.