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Discussion : Dernières nouvelles de Nairobi

  1. #


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    août 2015
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    @pouet017
    L'un des meilleurs wingmen, je confirme.

    Merci pour cette EV excellente - a titre personnel je suis plus intéressé par les mésaventures plutôt que les succès, parce que ça aide à se préparer aux tracasseries.

  2. #


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    janvier 2015
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    46

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    Rentré du Kenya depuis un petit moment avec mon ami Habibati, je partage une petite anecdote que nous avons eu avec des filles du Liddo's
    Je suis arrivé un peu avant Habibati pour "sexplorer" un peu et préparer 2/3 choses pour la suite de nos aventures, afin que Habibati puisse arriver confortablement après un périple de 24h (24h = durée entre l'heure de départ de chez lui et l'arrivée à son AirBnB à Nairobi). Arrivé tôt le matin, Habibati m'envoie un message comme quoi il était arrivé, mais j'étais un peu embêté, j'avais une fille de Tinder rencontré la veille, endormie dans mon lit. Je la réveille doucement en la caressant de partout, et on remet le couvert. Après s'être douchée et partie, je file accueillir Habibati chaleureusement, car je ne l'avais pas revu depuis nos aventures à Mada en Mai.
    Le soir, bien fatigué, Habibati ne se sentait pas en forme pour des pirouettes, ce n'est pas grave, je l'emmène au Liddo's, je salut Douglas le videur en lui présentant Habibati, "l'ami que j'avais promis d'amener au Liddo's"
    Ce soir-là au Liddo's pas mal de filles bien foutues, peu d'hommes car nous sommes arrivés tôt (de mémoire il devait être 21h00-22h00). Installés à une table, on prend des boissons (toujours par paire c'est énervant &#128545 et on se fait abordés par plusieurs filles. On s'amuse entre nous à noter sur 10 les paires de fesses des différentes filles. Je fais remarquer à Habibati la fille occupée à danser pour un Kenya à la table d'à-côté : joli minois, Habibati lui donne un 9/10 pour la paire de fesses. Au bout d'un certain temps, la fille que l'on va appeler N. quitte la table et va faire un tour sur barre de pole-dance. Ne sachant pas trop comment appeler une fille à notre table, je donne 300 KES à la fille à côté de moi et lui demande de ramener N. à notre table pour qu'elle s'occupe de mon ami. J'aurais pu économiser les 300 KES car elle s'était contenté de crier "Hey ! Hey ! Hey !" après le pole dance, et partir de la table une fois arrivée à la nôtre.
    Je paye une boisson à N. et lui demande de s'occuper de mon ami qui est fatigué, et elle le fait extrêmement bien, durant 20 bonnes minutes je pense. Lap dance, lui attrape les mains pour lui faire comprendre qu'il doit la toucher partout... Habibati était fatigué à l'entrée au club, mais N. l'a revigoré et il se sent désormais d'attaque pour finir la session en chambre : il file et je me retrouve seul et vulnérable parmi tant de filles😅
    La fille en face de moi de l'autre côté de la scène, que l'on appelera H. est une fille pas très grande (1m67.. petite pour une Kenyane &#128517 mince et mignonne, affalée sur le fauteuil, occupée à la gueule depuis mon arrivée au club. Dommage car elle était plutôt mignonne, elle se met à la barre et j'attrape son regard après son spectacle. Et là, magnifique sourire, elle s'approche, on discute, je lui dit que je préfère lui donner le pourboire directement plutôt que de lui payer une "paire de boissons" qui ne sert à rien. On discute, on rigole et on file en chambre. Après coup, elle me confiera qu'elle m'avait remarqué dès mon arrivée mais comme je repoussait les avances de toutes les filles, elle n'avait pas osé s'approcher de peur de se faire refouler.
    La session de 30 min (petit rappel de mon message sur notre tour des clubs : au Liddo's c'est 4500 KES pour 30 min) était GFE : très câline, très douce, et surtout très sensible au moindre de mes caresses, cette session de 30 min a été trop courte pour la faire grimper plusieurs fois aux rideaux, je me suis donc focalisé sur mon plaisir (vu que je paye...). A la fin de la session, elle me dit qu'un outcall (sorte de bar-fine) est facturé 10.000 KES si je voulais la sortir du club pour l'avoir la nuit, je lui dis que c'est trop cher, puis elle me donne son numéro WhatsApp car elle a envie de me revoir.
    De retour à la pièce principale du club, il y a beaucoup plus de personnes et je revois mon ami Habibati sourire aux lèvres qui me debrief rapidement : N. était très bien, les 30 min était trop courte mais elle lui a laissé son numéro WhatsApp pour le revoir en dehors du club, en lui promettant une session "unlimited" et un plan à 3 avec une amie à elle s'il voulait.

    Quelques jours après, avec des aventures Tinder, visites, boîtes de nuit, etc. Habibati est toujours en contact avec N. mais moi aucune nouvelle de H.
    Ce petit chanceux devait avoir un rencard avec N. une après-midi avant qu'elle n'aille travailler au Liddo's mais les réponses de N. étant assez évasives avec beaucoup de latence, il préfère rencontrer une Tanzanienne rencontrée sur Tinder car il ne pensait pas qu'elle viendrait.
    Moi ayant un rencard le soir avec une fille que j'avais dragué à un salon de coiffure (ce sera une autre histoire), et qui me promettait d'être "wild on intimacy", j'ai donc passé l'après-midi à me préserver pendant que mon ami Habibati s'amusait avec la Tanzanienne.
    Vers 13h00, Habibati m'appelle en panique : N. lui a envoyé un message pour lui dire qu'elle était arrivé à la résidence, alors que sa Tanzanienne était sous la "douche pré-ébats". Pas de problème, je suis son fidèle wingman, je me propose d'amener N. déjeuner et on se met d'accord sur une histoire qui servira d'excuse : parce qu'il n'était pas sûr de l'heure de sa venue, il est parti visiter CBD et ne sera de retour que vers 16h00.
    Ni une ni deux, je me lève du resto (j'étais en train de manger un kuku chips) et me dirige vers la résidence en essayant d'appeler N. : une fois au bout du fil, elle me dit qu'elle arrivera vers... 14h30 ; je rebrousse chemin pour mon kuku chips mais il a déjà été débarassé 👀
    J'attend N. et vers 14h30 on se retrouve dans le mall près de la résidence, je l'amène au food-court du mall pour déjeuner et lui tenir compagnie, pendant que Habibati s'envoie en l'air avec la Tanzanienne 😆 quand je vous disais que j'étais un parfait wingman...
    N. est une femme sympa, intéressante car on a beaucoup discuté. Elle est simple et humble, ce qui tranche complètement de son comportement au Liddo's, j'ai eu des questions qui m'ont un peu décontenancés :
    - "est-ce que je parle bien anglais ? mes langues maternelles sont le Luo et le Swahili donc je ne parle pas si bien anglais que ça" (alors que son anglais est impeccable, bien meilleur que le mien)
    - "est-ce que tu penses que je plais à Habibati ?"
    Vers 16h30, Habibati nous rejoint enfin au food-court, s'excuse de son retard "à cause de son excursion à CBD", mon rôle peut enfin se terminer. Je leur propose d'aller faire leur rencard à un rooftop à côté, mon repère quand je rencarde une fille de Tinder, le couple me propose de les accompagner un peu avant mon rencard du soir. On se dirige donc vers le rooftop et je pars en éclaireur : il faut faire attention car on va passer devant une boutique où Habibati avait réussi à avoir le numéro de la vendeuse 😅 (je suis un bon wingman) ; feu vert, la boutique est fermée (dimanche...) et la vendeuse et absente.
    Sur place, N. est ravie de la vue et du standing, limite gênée de ne pas être suffisamment bien habillée par rapport à la clientèle (nous en tant que blancs, on peut être en t-shirt ça passe). En cours de soirée, je commence à tirer la gueule, mon rencard est compliquée et ne viendra pas (je vous avais dis que c'était une autre histoire), en total opposition avec le couple Habibati et N. à côté de moi, en couple d'amoureux à discuter, danser, s'enlacer, rigoler... A tel point que Habibati me dit qu'il va "payer" le retard de N. car cette dernière doit payer une amende de 1000 KES si elle arrive en retard au travail au Liddo's
    Me voyant triste, Habibati demande à N. si elle a une amie qui voudrait bien passer un rencard avec moi ce soir, et N. appelle une amie. Après avoir raccroché, elle me dit "tu la connais, elle est petite, mince, cheveux longs, pierc, elle est d'accord pour venir nous rejoindre et passer la soirée avec toi si tu es d'accord". Coïncidence, N. est très amie avec H., j'accepte et H. grimpe sur un boda pour nous rejoindre.
    Nous avons donc passés un double-date sur un rooftop, la veille de notre départ en safari, avec 2 filles du Liddo's qui étaient adorable. Les filles nous expliquent qu'elles payent une amende de 1000 KES lorsqu'elle arrivent en retard au Liddos, ou une amende de 3000 KES si elles n'y vont pas alors que c'était prévus qu'elles y aillent. On décide de prolonger cette soirée en leur garantissant qu'on leur donnera les 3000 KES qu'elles devront au Liddo's, cela restera in-fine moins que l'outcall demandé par le Club.
    H. est une fille adorable, sympa, la glace a été un peu dure à briser car introvertie et intimidée par le cadre du rooftop dont elle n'a pas l'habitude.
    La soirée se déroule, on boit du vin, on mange des tapas, et se termine dans nos appartements respectifs au bras de notre rencard respectif. Je vois N. heureuse au bras de Habibati, je sens H. fermement accroché à mon bras car encore intimidée. Le lendemain matin, tout sera fini car Habibati et moi partons en safari pour plusieurs jours avant de rejoindre Mombasa.
    Ma nuit avec H. a été géniale, on s'est donné le temps cette fois-ci car nous n'avions plus la contrainte des 30min du Liddo's. Après cette nuit, on s'envoyait de temps en temps des messages pour se rappeler qu'on s'était "agréablement cuisiné mutuellement et très lentement durant des heures".

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  1. #


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    janvier 2007
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    Par défaut Nairobi

    Je me suis rendu à Nairobi et j'avous que j'ai été déçu. Sur place, il y a une quantité impressionnante de prostituées, mais la qualité est rarement au rendez-vous. Les Ivoiriennes que j'ai rencontrées à Abidjan ainsi qu'une bonne majorité des Congolaises de Bruxelles me semblent bien plus attirantes et sophistiquées que les Kenyannes. D'ailleurs, ce ne doit pas être difficile les Kenyannes sont assez laides par rapport à leurs voisines et pour ne pas arranger les choses, l'héritage brittanique de cette ex-colonie Anglaise ne leur a pas enseigné la façon de se mettre en valeur par les vêtements.

    Avant de m'y rendre, comme à mon habitude, j'avais fait connaissance sur Internet avec quelques filles locales qui me permettront d'égayer mes journées Oh combien ennuyeuses.

    Arrivée au Hilton de Nairobi, rien d'impressionnant, chambre un peu vieille, pas de quoi impressionner une conquête.
    Je descends au Jockey-club, le bar de l'Hilton et je devais être dans un mauvais jour car il n'y avait qu'une seule fille sur place et j'ose espérer pour elle qu'elle n'attendait pas un client car elle était particulièrement peu attirante.

    Alors, même si le New Florida n'est situé que d'une centaine de métres, la psychose locale me dicte de prendre un taxi et je me rends dans cette institution. A l'intérieur, un nombre incalculable de filles venues de pays divers comme le Kenya, l'ouganda, L'Ethiopie, La Somalie. Les filles ne sont pas agreesives à l'intérieur, mais elles font savoir clairement par leur attitude et leurs mains baladeuses qu'elles sont intéressées.
    Au total, je serais retourné une dizaine de fois dans ce club et je ne serai jamais déçu, il y aura toujours au moins une fille qui soit jolie et à chaque fois, cette fille était Ougandaise ou Somalienne (désolé encore pour les Kenyannes).

    Dans la boite Pavement située dans le quartier plus chic de Westlands, il y a quelques filles appétissantes mais à l'intérieur, il y a autant d'occidentaux que dans n'importe quel bar de Paris, donc pas assez dépaysant à mon gout.

    En jour, j'ai vu quelques filles situées au bar Simmers situé devant l'hôtel 680, mais là encore, la qualité me déprimait.
    Heureusement que j'étais tombé sur une jeune étudiante mi Suisse-mi Ougandaise, elle était superbe.

    Le principal défaut de Nairobi est qu'il est quasi impossible de draguer une fille en journée, il n'y a aucun endroit prévu pour. Les seuls shoppings malls que j'ai vus étaient soient vides, soient fréquentés exclusivement par les expatriés Indiens; il n'y a personne en rue qui flane sauf les gardes de sécurité et les mendiants, donc il faut attendr le soir pour s'amuser un peu.

    De l'autre coté de River Road, pres des gares de bus, il y a quelques bars délabrés avec des filles. C'est exotique et dépaysant à souhait, mais je le déconseillerai à tous ceux qui n'ont pas l'ame d'un aventurier, ce quartier est particulièrement délabré.

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