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Discussion : Dernières nouvelles de Nairobi

  1. #


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    octobre 2009
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    Bonjour,
    Cet après-midi il pleuvait sur Nairobi. Donc pas de balade ni de piscine à l'hôtel (Best Western plus Meridian Hotel dans Nairobi CBD, avec piscine et salle de gym, très bien pour environ 60 euros la nuit, même le resto est très bien). Je suis alors retourné au club lounge 207, situé sur Amboselli Ln à Lavington (cf mon post ci-dessous).
    Je suis arrivé vers 15h30: 6 à 8 filles toutes en legging et T-shirt, pas encore préparées pour la soirée. J'ai tranquillement pris un café et discuté avec une des 2 filles présentes à ma dernière visite. Nous avons partagé une bière (900 KES) puis sommes allé dans une grande chambre avec douche et toilettes. Le lit était king size mais grinçait à chaque mouvement. Bonne session d'une heure avec cette fille qui avait de l'expérience (elle avait travaillé auparavant au Liddos et au Klub Bavon, et savait très bien faire du pole dance - et ça me parait un exploit quand on voit ce que font les filles). Je me suis donc dis qu'elle était souple, ce qui était le cas: elle a spontanément mis ses pieds derrière la tête au moment du rapport, ce qui est super excitant. La session d'une heure a coûté 4000 KES + 1000 KES de pourboire. Je suis reparti à l'hôtel vers 18h, les filles commençaient à se préparer.
    Conclusion: effet moins sexy l'après-midi (club ouvert 24/24), mieux vaut y aller en soirée. A noter qu'on peut également y manger, mais je n'ai pas testé.

  2. #


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    octobre 2009
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    Bonjour,
    Après quelques jours passés à l'hôtel pour cause de maladie (grrr), je suis allé faire une virée hier soir à Nairobi avec le chauffeur de taxi avec qui j'ai sympathisé. Début de la virée: 23 h. Nous sommes allés dans 2 clubs que je ne connaissais que par internet:

    - XS Millionaire club (website: https://web.facebook.com/XSmillionaires/?_rdc=1&_rdr), adresse: Baricho Rd, Nairobi. Le club est situé dans la zone industrielle de Nairobi, dans le quartier des carrossier et garages. Nous sommes accueillis par un vigile en costume et noeud papillon qui nous souhaite la bienvenue. On monte quelques marches pour accéder à l'accueil. Le prix d'entrée est de 2000 KES pour les hommes et 1000 KES pour les femmes. On entre ensuite dans la pièce principale centrée par une grande estrade avec deux barres de pole dance, un bar et des tables et chaises autour de l'estrade mais qui sont uniquement réservées aux personnes qui prennent une bouteille (avec un minimum de 7 à 8000 KES la bouteille). On est alors un peu en contrebas de l'estrade (cf photos sur leur site), pour voir le spectacle en contre-plongée. Nous sommes donc "relégués" au 1er étage, où les tables avec la meilleure vue sont également réservées aux gros buveurs.
    Question filles: pas mal de jolies ou très jolies filles, bien habillées, en salle. Pas de sharkage, plutôt des filles de la jet set qui viennent s'encanailler ici. Il y a quelques "malayas" (prostituées) tout de même qui cherchent à se faire payer un coup mais il y en a peu. Ici la bière Tusker 500 ml est à 1000 KES. Le spectacle des filles est très pro, avec des acrobaties autour des barres de pole dance et une vitesse d'exécution vraiment sympas. D'après mon collègue il y a des chambres ici, mais je n'ai pas testé, me doutant d'un prix très élevé ici. On sent bien que c'est un club de luxe.

    - Klub Bavon (https://web.facebook.com/klubbavon/a...KM&_rdc=1&_rdr), situé dans Keekorok Rd, en face du Liddos et du Gabeez: Arrivés après minuit dans ce quartier, il y a quelques malayas dans la rue qui discutent entre elles, un portier nous ouvre une grille et l'on grimpe un escalier très sombre pour arriver à la caisse. Le prix d'entrée "VIP" (Muzungu - blanc - d'emblée traité comme riche donc VIP, comme partout) est de 1000 KES. On nous remet un ticket d'entrée dont tout le monde se fout (personne ne le contrôle), et un portier nous ouvre une porte qui donne sur un escalier en descente vers le bar et la salle principale. Celle-ci est constituée d'un bar sur la droite et d'une salle avec deux petites estrades en bois, sans barre de pole dance, mais deux grands écrans qui affichent des films pornos (à partir de minuit, comme au Llidos). On est donc dans l'ambiance. Mais club vieillot avec des canapés usés et re-usés, sombre. J'ai payé un Red Bull et une bouteille d'eau de 500 ml 2000 KES.
    Les filles: une bonne trentaine de filles jolies à très jolies, de tous les âges (majorité: 20 à 25 ans environ). Une seule en bas et jarretelles, les autres nues ou pratiquement. Une fille par estrade se trémousse lentement, sans aucune technique. Ca n'est pas l'essentiel: les autres filles sont avec les clients, twerquant sur leur entrejambe et mimant l'amour de façon appuyée. C'est d'emblée très hot. Il y a des chambres avec douche dans l'établissement mais je n'ai pas essayé (pas encore, car j'y reviendrai mais seul, mon collègue paraissant crevé). On est parti vers 1 h, après avoir donné un tip à celle qui avait été la plus active avec moi.
    Mon nouvel hôtel à partir de demain étant seulement à 500 m de ce quartier, je pourrai y aller plus facilement, sans taxi.

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  1. #


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    janvier 2007
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    128

    Par défaut Nairobi

    Je me suis rendu à Nairobi et j'avous que j'ai été déçu. Sur place, il y a une quantité impressionnante de prostituées, mais la qualité est rarement au rendez-vous. Les Ivoiriennes que j'ai rencontrées à Abidjan ainsi qu'une bonne majorité des Congolaises de Bruxelles me semblent bien plus attirantes et sophistiquées que les Kenyannes. D'ailleurs, ce ne doit pas être difficile les Kenyannes sont assez laides par rapport à leurs voisines et pour ne pas arranger les choses, l'héritage brittanique de cette ex-colonie Anglaise ne leur a pas enseigné la façon de se mettre en valeur par les vêtements.

    Avant de m'y rendre, comme à mon habitude, j'avais fait connaissance sur Internet avec quelques filles locales qui me permettront d'égayer mes journées Oh combien ennuyeuses.

    Arrivée au Hilton de Nairobi, rien d'impressionnant, chambre un peu vieille, pas de quoi impressionner une conquête.
    Je descends au Jockey-club, le bar de l'Hilton et je devais être dans un mauvais jour car il n'y avait qu'une seule fille sur place et j'ose espérer pour elle qu'elle n'attendait pas un client car elle était particulièrement peu attirante.

    Alors, même si le New Florida n'est situé que d'une centaine de métres, la psychose locale me dicte de prendre un taxi et je me rends dans cette institution. A l'intérieur, un nombre incalculable de filles venues de pays divers comme le Kenya, l'ouganda, L'Ethiopie, La Somalie. Les filles ne sont pas agreesives à l'intérieur, mais elles font savoir clairement par leur attitude et leurs mains baladeuses qu'elles sont intéressées.
    Au total, je serais retourné une dizaine de fois dans ce club et je ne serai jamais déçu, il y aura toujours au moins une fille qui soit jolie et à chaque fois, cette fille était Ougandaise ou Somalienne (désolé encore pour les Kenyannes).

    Dans la boite Pavement située dans le quartier plus chic de Westlands, il y a quelques filles appétissantes mais à l'intérieur, il y a autant d'occidentaux que dans n'importe quel bar de Paris, donc pas assez dépaysant à mon gout.

    En jour, j'ai vu quelques filles situées au bar Simmers situé devant l'hôtel 680, mais là encore, la qualité me déprimait.
    Heureusement que j'étais tombé sur une jeune étudiante mi Suisse-mi Ougandaise, elle était superbe.

    Le principal défaut de Nairobi est qu'il est quasi impossible de draguer une fille en journée, il n'y a aucun endroit prévu pour. Les seuls shoppings malls que j'ai vus étaient soient vides, soient fréquentés exclusivement par les expatriés Indiens; il n'y a personne en rue qui flane sauf les gardes de sécurité et les mendiants, donc il faut attendr le soir pour s'amuser un peu.

    De l'autre coté de River Road, pres des gares de bus, il y a quelques bars délabrés avec des filles. C'est exotique et dépaysant à souhait, mais je le déconseillerai à tous ceux qui n'ont pas l'ame d'un aventurier, ce quartier est particulièrement délabré.

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