Après un audit approfondi des belles disponibles, j’objective une très jolie princesse au corps de rêve. Elancée, cheveux chatains, un fessier prodigieux, la peau blanche mais les traits légèrement métissés. Un ange, dénommée Erika. Elle est dominicaine mais a grandi en Suisse. Erika est plutôt très calme, presque réservée, mais absolument pas distante non plus. Ce n’est pas le genre furie à vous dévorer, mais plutôt une beauté sublime qui vous offre sa douceur et se libère complètement, pour peu que vous sachiez la décoder. Nous allons nous installer dans un canapé pour faire plus ample connaissance ce qui me permet de gouter ses succulents baisers. J’ai beau cherché partout, je ne vois rien d’approximatif dans sa plastique. Un visage de magazine, de très jolis seins naturels, des fesses parfaites, des jambes interminables, une peau de bébé… Après quelques minutes, je ne tiens plus et l’emmène en chambre. La porte fermée, nous nous embrassons de plus belle puis elle se recule lentement pour se placer debout dos au mur. L’invite est si flagrante, mon désir si péremptoire que je poursuis le repas au rez-de-chaussée. A une beauté comme Erika, c’est pas du toutouche-pipi tout venant qu’il convient de prodiguer, mais de la séance pro dans une figure libre qui aurait pu me valoir le titre aux championnats du monde de la minette de Bouffémont (dans le Val d’Oise). Je lui propose un de mes favoris : le trois unités. Tu dégages doucement la crinière avec tes doigts de devant. Légère léchouille urbi et orbi, manière d’hydrater le paysage. Ensuite, départ du majeur pour l’exploration spéléo. Il sera suivi successivement de l’annulaire puis lorsque l’installation de ce dernier est acquise, de l’index. Là, se situe une séance calme mais sereine de ces trois gentils émissaires. Lorsque le relais lubrificateur est naturellement assuré par la bénéficiaire de la thérapie, il est l’heure pour l’auriculaire d’entrer en scène, à savoir de se placer affectueusement dans l’œil de bronze de la patiente célébrée. La pleine réussite de la manœuvre exige de l’exécutant une main suffisamment souple pour permettre une ouverture maximale et placer le pouce à une quinzaine de cm du petit doigt. Le dit pouce parachève l’action en exécutant un massage suave du clito. Nul besoin de préciser qu’une telle performance ne peut être réalisée que par des professionnels et qu’entreprendre l’exercice sans un minimum de préparation physique et sans l’encadrement d’un personnel diplômé d’état, vous exposerait à une fracture ouverte du métacarpe et plus certainement, au burlesque et désobligeant fou rire de votre inspiratrice.
Nous passons ensuite sur le lit. Une beauté et un cul pareil ne peut qu’aiguiser mon inspiration. A priori réservée, Erika n’a pourtant pas froid aux yeux et prend plaisir lors de la poursuite d’inspection que je lui prodigue. Dégustation de l’œil de bronze en entrée suivie d’une exploration digitale index-annulaire dans le tas de charbon. Une merveille. Elle me propose alors l’extra anal à 150 CHF, remisé à 100 CHF, mais je décline pour rester sur une classique mais néanmoins inoubliable session. Quel pied de limer avec une telle créature, et quel début de journée.