Ce projet de loi, je n'y crois pas une seule seconde. L'article cité plus haut précise qu'il y a caresses, massages et parfois relation sexuelle.
Ces pratiques sexuelles obtenues contre rémunération n'ont aucune chance d'entrer dans un quelconque projet de soins médicaux ou autres et seront reléguées au rang de prostitution dans une France extrêmement peu tolérante en la matière.Ce sont des séances, des rendez-vous d’une heure à chaque fois entre la personne handicapée et l’assistant sexuel. Cela coûte 150 francs suisses, l’équivalent de 115 euros, quelle que soit la prestation : simples caresses, massages ou parfois, mais plus rarement, relations sexuelles.