Quelques nouvelles s’imposent concernant le ShowPark et quelques vérités à préciser.
Mais d’abord, quel délice que de retourner dans ce lieu chargé de souvenirs personnels pour lesquels j’invite cordialement mes amis youppinautes à lire mes messages qui y sont consacrés. Que de fois y ai-je fait des rencontres miraculeuses, certes pas récemment mais qui sont restées gravées dans ma mémoire ,à jamais. Je ne reviendrai pas dessus une fois de plus !
C’est donc avec émotion que je passe le portillon du ShowPark et monte l’escalier frémissant avant de partir parcourir le dédale des couloirs merveilleux sombres où les jolies silhouettes des créatures vénales vous guettent , vous dévisagent, vous arrêtent, vous attirent à elles. La soirée avait bien commencée en rencontrant un chauffeur de taxi qui m’avait offert la course depuis le centre de Prague pour 20 euros avec ticket d’entrée au Showpark gratuit incluant 3 consommations. Qu’espérer de plus ? Me voilà donc en haut de l’escalier à virer vers la partie de gauche , là où mes mes meilleurs souvenirs sont restés. Je déambule et étudie le coeur battant le cheptel disponible ce soir là . Beaucoup de quelconque je dois dire, quelques jolies petites salopes mais peu…. Je passe dans la partie de droite en ayant traversé le bar et pars étudier l’autre partie , la partie des chambres plus vastes. Honnêtement, ce n’est pas terrible. Je me souviens du Showpark des grandes années où les yeux ne savaient où se fixer tellement l’offre était d’un niveau inattendu pour un tel supermarché du sexe. Les temps ont bien changés .
Je continue ma tournée , et passe devant une petite poupée dont le regard me rappelle quelque épopée mais n’y prête attention. Et me voilà reparti pour une deuxième virée complète espérant que quelques jolies putains se soient libérées entretemps. Rien . Rien de nouveau ou presque .Puis je repasse devant la petite poupée qui m’arrête par la manche en me disant « I know you… I think from Goldentime Vienna »… effectivement ce visage ne m’était pas inconnu , j’avais déjà enfilé la belle il y a quelques mois à quelques centaines de kilomètres de là . Comme quoi, et d’ailleurs elle me le confirmera plus tard , la petite se souvenait très bien de notre union. Je lui caressais le visage , ému par cette rencontre mais ne donnais pas suite dans l’immédiat préférant laisser du temps au temps et attendre que quelqu’autre putain ne se libère. Histoire d’allonger mon tableau de chasse ! J’allais donc boire un coup à défaut d’en tirer un !
L’alcool aidant je décidais finalement d’aller mettre la petite dont j’ai oublié le nom depuis . Nos retrouvailles furent divines. Après la douche d’usage je redécouvrais ce beau corps bronzés , ses jolis seins moyennement gros , silliconnés de manière exceptionnellement naturelle ( je fus obligé de le lui demander car même au palper et malgré mon expérience , le doute m’assaillait) , un joli petit cul bien proportionné laissant deviner un joli petit con aux lèvres bien dessinées , et ce délicieux petit visage de poupée qui n’était pas sans me rappeler une collègue de travail certes plus jeune mais que je n’aurais pas dédaigner enfiler. Et elle elle sait - Je négociais un prix que je qualifierais d’élevé surtout pour le lieu : 150 roses pour obtenir un fellation bio, mais sans 69 , sans léchage du con … Mais j’avais envie de la petite qui me pris immédiatement en bouche et me prodigua , je dois dire une délicieuse sucette qui plu beaucoup au miroir situé contre la couche. J’aimais voir la petite prendre ma bite en me regardant par le biais du miroir magique, j’aimais voir ses beaux seins se balancer au rythme de la suce, j’aimais voir sa vulve bien fine et longue , bien ouverte dans l’autre miroir… c’était délicieux, je ne regrettais pas mon choix. Puis la belle sentant mon jus monter, saisit un plastique, et l’enfila avec dextérité, le temps de calmer mes ardeurs. On était loin de l’assaut exceptionnel de la veille au goldentime de Vienne justement, mais c’était délicieux.
La petite s’enfila en cow-girl et je me mis à la bourrer en lui saisissant ses beaux boobies chauds et bronzés . La petite putain me gratifia même d’un bisou chaste sur la bouche ….Je lui faisait remarquer à quel point il était triste que le miroir soit taillé si bas , ne nous laissant pas la possibilité de découvrir notre assaut au complet dés que nos corps se déployaient. La belle rit mais admis que c’était dommage…
Puis je décidais de la mettre par derrière, j’avais envie de son arrière , de son petit con, de sa petite fente de salope. Je descendais donc de la couchette , car au showpark beaucoup des cabines n’ont que des couchettes…je disposais la petite pute en bas de celle-ci, face au miroir, et lui caressais le dos , puis le cul… enfin je l’enfilais en doge ( en doge si vous préférez) , en regardant la belle dans le yeux grâce au miroir . Levrette délicieuse, lente, profonde… combien vais-je envie de te la retourner , de te l’assoir au bord de la couche, et de te lui lécher la fente , de découvrir le clitoris qu’à l’époque de Vienne je n’avais pas manqué de titiller de ma langue… mais ce n’était pas dans le contrat… Je me concentrais sur mon assaut arrière en essayant de profiter de chaque va et vient … C’était trop bon , je me calmais et alternais les mouvements les plus lents et profonds avec de grands coups de reins qui la faisait hahanner …Et la petite me dit soudain « now I remember what we did at the Goldentime …»…Oui , moi aussi je me souvenais l’avoir mise ainsi en public au « kino », en levrette ducale sue les canapés devant les teutons médusés, avant de partir nous accoupler en chambre, d’où le souvenir qui s’était gravé en elle malgré le nombre de queue enfilées quotidiennement et le nombre de connards qui l’avaient mise à la suite.
Je lui donnais un dernier coup de rein, au risque de déclencher le plaisir, puis disposais la petite sur le dos le long du miroir pour la couvrir et la prendre une dernière fois , en missionnaire. Je me souviendrais longtemps de notre dernier assaut les yeux dans les yeux , nous regardant sérieusement, avec gravité, et de mon dernier regard dans le miroir pour voir mon corps d’homme mûr enfilant une très jeune femme …Quel bonheur que de voir ce sexe pour le sexe , ce sexe pur , puissant qui finit par un beuglement de porc , accompagné d’un léger couinement de la jeune putain , enfin honorée à sa juste valeur… Elle ne m’avait pas stoppé pour rien dans le couloir… Nous discutâmes quelques minutes enlacés comme des amants , ce qui de ses propres dires ne lui arrivaient jamais ici au Showpark… Comme quoi si vous donnez de votre personne , si vous choisissez la bonne petite, vous avez toujours une chance d’en sortir gratifié… Moment délicieux, croyez-moi ! Allez-y ! Prenez votre temps et vous trouverez peut-être la perle ...