Discussion : Strasbourg : YUI (petite asiatique)

[Darius67]

La petite asiatique recommandait une amie à elle une femme arabe très belle, qui se souvient d'elle ? Et qui la voit encore ? J'avais son numéro mais je viens de le perdre, elle se deplace toujours ne reçoit pas. Cela dit quelque chose à certains ?

vous pouvez me contacter en pv au pire

[julien789654]

des nouvelles elle habite encore là où elle recevait, qui sait si elle boss encore ?

[holygrail]

Hello,
les asiatiques étant rares dans la région, connaissez vous celle ci ?
http://www.missive.info/voir.php?cat...&vil=67&page=0

Oh oui, je m'en souviens, et m'en souviendrai toujours.

Ca s'est passé il y a environ 6 mois, il me semble, et je cherchais comme toi à rencontrer une douceur asiatique, enivré par les multiples récits de voyages que j'avais pu découvrir ici et là. Je suis tombé presque par hasard (si, si) sur une de ses annonces fort rares il faut dire, et l'ai contacté de suite. Enfin, je dis de suite, mais pour l'avoir au bout du fil, il faut savoir se montrer un peu patient, mais cette attente forme peut être déjà avec elle cette montée d'escalier si rageusement érotique.
Après quelques essais donc, je l'ai au téléphone, et de sa petite voix accentuée, elle m'annonce ses tarifs, ou plutôt son tarif, un peu hors normes pour moi et mes habitudes : 250 € pour une heure de plaisirs assumés. Nous voilà donc loin des forfaits habituels des maisons que je fréquente en Allemagne, mais le menu des réjouissances donne l'eau à la bouche, entre fellation nature, une femme très petite (un aspect que je cherchai alors avidement), et l'annonce d'une éjaculation faciale acceptée, vieux fantasme d'abonné canalplusien de la première heure, jamais encore réalisé à ce jour. (mince, je viens de me spoiler la fin de mon EV...Bah.. tant pis...).
Le jour dit, quelques indices fleurent bon l'escort occasionnelle : je dois la rappeler une heure avant notre rendez vous, elle me donne alors son adresse et me dis de la joindre à nouveau une fois devant chez elle, à l'heure.
Tendu comme un nouveau communiant derrière son noeud papillon, je sonne enfin à sa porte, et quand elle s'ouvre, c'est l'Asie qui m'accueille, le pays du sourire qui m'invite pendant un instant à parcourir ses monts et ses vallées.
Yui est belle, très belle. Comme souvent avec les asiatiques, j'ai le plus grand mal à la situer dans une tranche d'âge qui n'irait pas de 18 à 40 ans. Elle me sourit, m'invite du bras dans sa demeure, vêtue d'un déshabillé transparent, et de dessous tentateurs. Elle est fine, des petits seins charmants, et un naturel qui vous désarme. Je bredouille quelques salutations et platitudes alors qu'elle me fait m'installer dans son salon où pointent les souvenirs d'un pays lointain. Elle nous sert à boire, et disparaît un instant dans sa cuisine, disposer des billets requis pour la rencontre.
A son retour, elle vient s'installer tendrement contre moi, sur le canapé, où un verre à la main nous allons deviser un instant de ses origines, de ma vie, un peu, et alors que, selon moi, je joue le faussement détendu, le Fangio de l'amour sans prise de tête, elle me sort un doux "Dis donc, tu es timide avec les filles, toi" en souriant.
Je me repasse mentalement les dernières minutes, et je remarque enfin, sa posture, qui me place son soutien gorge sous les yeux, je note sa main, qui se pose sur moi quand elle sourit, d'un geste un peu trop lent et appuyé pour être anodin, ou son regard, qui semblait déjà me déshabiller. Bon sang, j'ai fait quoi ces derières années pour passer à côtés de ce genre de signaux évidents ? Ou tout bonnement, je ne m'attendais pas à être dans cette situation avec une escorte. J'en suis encore à bredouiller une ridicule négation qu'elle a déjà entrouvert son déshabillé, et me cloue la parole de la plus douce manière qui soit, et pendant toute la rencontre elle n'hésitera pas à recommencer, m'embrassant tendrement, goûlument ou férocement, selon le moment.
Elle a donc lancé les hostilités, et nous nous effeuillons l'un l'autre, on s'embrasse, on se caresse, et pour cette fois, c'est moi qui lance l'escalade, je l'allonge sur le canapé et entreprend son sexe presque glabre. Elle réagit doucement, se lovant un peu mieux contre les coussins, et gémît enfin quand je commence à jouer de son piercing qu'elle a sur le capuchon. on reste comme ça, longuement, pour mon plus grand plaisir, et peut être bien le sien. Vient son tour de me rendre la pareille, et me saute dessus gaiement pour d'abord venir déposer un doux baiser sur mes lèvres, mon torse, et finalement, mon sexe. La fellation est fort bonne, entrecoupée qu'elle est de sourires, de caresses, et c'est peu après qu'elle prendra en bouche la preuve abondante de mon appréciation de son art.
Soufflant un peu, affalés sur le canapé, les pieds sur la table basse, nus comme deux petits vers à soie, les verres à la main, on discute de plus belle de chose et d'autres, de pays qu'on aimerait voir, de choses qu'on aimerait manger, d'une vie qu'on aimerait goûter un peu plus. Jamais je ne m'étais senti aussi à l'aise avec une escort, jamais le petit social time n'aura été aussi intéressant, on se découvre réellement un peu à cet instant.
Plus lentement cette fois, on prend le temps de parcourir nos corps de nos mains et de nos baisers, je teste ses tentant tétons, je palpe son pulpeux postérieur parfait, je loue ses lèvres libérées. On se frotte, on glisse sur la peau l'un de l'autre, j'ai comme en moi l'envie de l'absorber toute entière pour pouvoir en un geste la flatter d'une seule caresse.
A nouveau ses lèvres officient, quand ses mains s'égarent un peu pour découvrir une face un peu cachée, j'apprécie et lui renvoie à nouveau témoignage de ma pleine satisfaction.
Nus encore, nous soufflons, moi bien plus qu'elle, commençant à me demander quel astre solaire bienveillant j'ai pu satisfaire pour qu'une de mes journées, j'ai eu la chance de croiser cette jeune femme. Nous finissons nos verres tranquillement, elle ayant posé ses jambes en travers des miennes, et je m'aperçois en regardant sa pendule que cela fait plus d'une heure trente que je suis arrivé. Je lui fait remarqué, et d'un "C'est pas grave, c'était bien" souriant vient inscrire son nom en lettres de feu dans ma mémoire. Je me rhabille, elle m'accompagne, nue, naturelle à sa porte, et me baise les lèvres une dernière fois.
Alors que je descend lentement les escaliers, maugréant contre le Temps qui passe comme il veut, je réalise que je viens de passer incontestablement la meilleure expérience monnayée de ma vie.
Et pourtant, comme le dirait Bill Clinton, nous n'avons pas eu de relation sexuelle. Comme quoi, le bonheur n'est pas dans la réalisation effective d'un acte précis...

Alors, pour moi en tout cas, passer ce moment avec Yui aura été une chance et une expérience inoubliable, j'espère qu'il en sera de même pour ceux qui iraient la voir.