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Discussion : Baden-Baden & Rastatt : Asia6villa

  1. #


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    août 2019
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    Par défaut Une question d'habitude

    Jeudi 10 février. C'est vachement bizarre. Il fait trop chaud pour mettre un col roulé noir, il fait trop chaud pour enfiler un t-shirt noir. Ne sachant vraiment choisir, j'ai enfilé l'un après l'autre, le t-shirt noir avant le col roulé noir. Je suis parti sur un coup de tête, un quelque chose qui ne s'improvise que trop peu. J'ai contourné Strasbourg sur son flanc est pour filer du côté de Baden-Baden, après avoir emprunté le pont Pierre-Pfimlin. Le trajet fut linéaire, un brin monotone, et ce, en dépit de mon envie de franchir les 200km/h (sur une portion autoroutière allemande non-limitée par de quelconques limitations) avec ma citadine italienne de couleur grise (j'ai approché les 190km/h - 191km/h exactement - non sans appuyer comme un détraqué sur la pédale de l'accélérateur avec mon pied droit).

    La zone commerciale de Baden-Baden est une zone commerciale comme les autres : concessionnaires automobiles, magasin de hard-discount, artisans. Comme d'habitude, j'ai souhaité me garer sur le parking du Penny, à environ cinq minutes à pied de l'Asia6Villa. Las, force est de constater, que le Penny a rendu l'âme. À la place de l'échoppe, des grues, des pelleteuses et des ouvriers originaires de Turquie portant une barbe longue. Je n'aime pas qu'on contrarie mes habitudes, ça me chamboule et me chambarde comme c'est pas permis. J'ai roulé dans la zone à la recherche d'une place avant de me garer devant un Lidl situé pas loin. En vieux briscard qui connaît le chemin, j'ai donné quelques hochements de tête aux quelques badauds qui ont croisé ma route.

    Un peu anxieux (l'attitude de vieux briscard n'aura pas duré si longtemps que ça), j'ai sonné, tourné mes pouces en attendant que quelqu'un m'ouvre et joué avec mes pieds en mimant deux-trois pas de danse en imaginant comment Alain Delon pouvait séduire les femmes qui lui tournaient autour (Alain Delon n'a pas besoin de deux-trois pas de danse pour séduire les femmes qui lui tournaient autour). Jenny (https://www.asia6villa.de/girls/aktu...irl.php?ID=564) m'a ouvert et m'a invité à rentrer. Je dirai que cinq-six filles se sont présentées à moi ; pas les plus affriolantes, il convient de le retranscrire. J'ai dit à Lulu (https://www.asia6villa.de/girls/aktu...irl.php?ID=641) que je voulais partir avec elle et Jenny m'a invité à régler la somme en me tendant un petit bout de papier cartonné sur lequel étaient indiqués les tarifs. Le tarif habituel de 100€ pour 40 minutes est devenu un tarif habituel de 100€ pour 30 minutes. Premier point négatif.


    Lulu m'a proposé d'aller à l'étage. Je l'ai suivi, sans trop vraiment regarder ses petites fesses qui se dandinaient devant moi. Nous avons échangé quelques mots dans un mélange assez romanesque d'allemand et d'anglais de deux individus ne maîtrisant vraiment ces deux langues. Je l'ai aidé à "faire le lit" avant de prendre une douche dans une salle de bain propre et bien aménagée.

    Les festivités en chambre ont débuté au moment où Lulu est sortie de sa "petite" toilette. Nous avons échangé quelques regards relativement tendres avant que celle-ci ne m'invite à m'asseoir sur le lit. Je me suis exécuté en caressant, titillant sa délicieuse poitrine. Lulu est une presque quinquagénaire qui a de l'expérience. Roublarde, et pas vraiment GFE (Lulu, a contrario d'autres filles de la maison, n'embrasse pas), celle-ci aura tout fait pour ne quasiment pas croiser mon regard, mes marques d'affection (caresser les cheveux, la poitrine, les fesses) durant un acte qui ne restera pas vraiment dans mes souvenirs. La nouvelle politique tarifaire de la maison consistant de baisser la durée de la prestation pour un coût restant le même s'est peut-être retrouvée dans cette prestation moyenne. Nous nous sommes quittés au bout de 30 minutes, non sans que ma partenaire ne me presse à enfiler mes souliers et ma veste longue. Deuxième point négatif.

    J'ai médité sur le moment durant les quelques minutes qui ont suivies. Je suis allé dans un Lidl me prendre deux boissons énergisantes sans sucre de marque RedBull avant de retourner à ma voiture, quelque peu décontenancé. On ne peut pas jouer et gagner à tous les coups. J'ai joué et j'ai perdu. Ça doit bien arriver, même si c'est frustrant.

  2. #


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    août 2019
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    Par défaut Après le déluge...

    Jeudi 18 janvier. Les intempéries de la veille ont laissé place à de légères couches de verglas et quelques feuilles mortes sur les bords de route. Je suis sorti du centre-ville de Strasbourg vers 15h20. Il fait gris et suffisamment froid pour que mes joues soient rougies par des températures flirtant avec la négative lorsqu'on se trouve à proximité du Rhin. J'ai esquivé les embouteillages causés par des quinquagénaires s'écharpant pour savoir qui récupérera la première son gamin avant de m'arrêter dans une station frontière de Kehl. Le vendeur, pas très bavard, me regarde avec un dédain qu'il ne fend même pas (même pas) d'esquiver. Je m'attarde un peu dans sa boutique pour contempler les différents aménagements (boissons énergisantes de marque "Prime" rangées à côté des en-cas, sandwichs triangles disséminés dans un réfrigérateur entre les cafés froids et deux-trois pots de glaces "Ben & Jerry's). Je paye, revient à ma voiture et me trompe de sortie. Après un demi-tour forcé, je reviens vers le chemin que j'ai prévu d'arpenter. Une voiture électrique de couleur blanche me dépasse froidement, sans que je n'y trouve quelque chose à redire. Les allemands respectent les limitations que les français feignent, sagement, d'ignorer. Je dépasse un panneau annonçant "Offenburg" en ne pouvant m'empêcher de penser aux récits de ces démiurges qu'on appelle "Blacktev", "Nick67000", "Hpat". Je repense à Jane, Ivana, Rita (forcément. Forcément), avant d'emprunter la bretelle vers "Baden-Baden". Sur le bas-chaussée, une voiture de police et un camion immatriculé en Pologne. Je regarde sans rien dire.

    La circulation sur la 3x3 voies est suffisamment agréable pour que ma citadine d'occasion ne se décide à faire du 160-170. Je prends la sortie après avoir dépassé un, peut-être deux camions chargés de saler une autoroute qui, de ce point de vue, est impeccable. J'ai négocié la virage de manière assez serrée et aperçoit de la neige de par et d'autre de la route. Je m'arrête à la "Villa le Rouge" afin de voir si Mary - la polynésienne au doux accent français que j'ai eu l'occasion de rencontrer en octobre dernier est disponible. La "thekefrau" m'installe dans un fauteuil et je regarde - avec délectation - un ballet d'une dizaine de nanas - toutes aussi plantureuses les unes que les autres - en dégustant deux bonbons aux fruits. Mary n'est pas là. Je repars comme un voleur de bonbons aux fruits, et ce, non sans un petit sentiment d'embarras.

    Je me retrouve un peu penaud et désabusé par ce cuisant échec. Ni d'une, ni deux, je décide de faire la route vers l'Asia6villa afin de me remémorer certains souvenirs qui, maintenant, datent de 2019. Je stationne ma voiture sur le "Penny" qui se trouve dans la zone commerciale et décide de finir le trajet à pied. Je zigzague entre les voitures et les quelques millimètres de neige et revient sur la route principale. Je suis devant une maison blanche qui, en dépit de sa banalité - est un haut lieu de la luxure et de l'amitié entre les hommes allemands, français et les femmes thaïlandaises. Je sonne. Je stresse. Légèrement.

    Maya m'ouvre en me faisant un grand sourire et s'excuse, presque, de n'être que la seule fille disponible. Elle n'a pas beaucoup de fesses, mais sa poitrine est attirante. Sa petite tenue me plaît et je décide de partir avec elle pour une session de 40 minutes. Les tarifs n'ont pas évolué depuis ma dernière fois dans la maison. 40 minutes, 100€, FK compris. Il ne m'en faut pas plus pour lui donner son dû, attendre qu'elle fournisse quelques infos à un "Hans", un "Bastian", un "Lotthar" au téléphone et entrevoir une thaïlandaise d'environ 60-70 ans ressemblant aux "MamaSan" dont on peut faire la connaissance dans les interludes de SabriThaï (https://www.youtube.com/@Sabrithai).

    Maya m'accompagne dans la chambre la plus à droite du rez-de-chaussée. Je l'aide quelque peu à faire le lit avant que celle-ci ne me laisse seul. Le temps de quelques instante, je ne peux m'empêcher de me remémorer la douceur de Mee, la fougue d'Arisa et la singularité des chambres, plus accueillantes, de l'étage. Je prends ma douche après avoir pris un bain de bouche. Ma comparse thaïlandaise de faire de même avant qu'on se retrouve dans la chambre. Nous nous embrassons, nous caressons avant que je ne déguste sa poitrine, ses épaules en y déposant mes lèvres. La fellation est classique, sans réelles envolées, avant que nous commencions à ne faire qu'un. Les positions sont connues, appréciées. Maya a une réelle faculté à se dandiner, de contorsionner afin de faire monter la température ("J'ai froid, j'ai froid" qu'elle me répétera à quatre-cinq reprises). Une dizaine de minutes plus tard, je rends les armes en missionnaire, et ce, non sans avoir eu le loisir de profiter de sa croupe en levrette. Nous échangeons quelques mots - tantôt en anglais, tantôt en allemand, un peu en français ("Appelle moi Maya l'abeille") avant que je ne reprenne une douche bien chaude. Je la raccompagne à l'entrée en lui tenant la main et la quitte après l'avoir embrassé dans le cou et sur la bouche.

    Je suis rentré en France par Haguenau, l'A35 et le Grand contournement ouest. Je ne sais pas trop ce qu'il y aura après le déluge. Il paraît que garder espoir est un truc qui peut aider. Soit, gardons espoir.

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  1. #


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    décembre 2006
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    Par défaut Baden-Baden & Rastatt : Asia6villa

    Prononcez asia-sex-villa. Quelqu'un connait où je me dévoue ?

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