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Discussion : Le must

  1. #


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    avril 2007
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    Belgique
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    Comme aux colos de vacances

    C'est comme les colonies de vacances:

    • les premiers jours on se regarde et s'observe,
    • les jours suivant, ça commence à flirter pas mal, et
    • les derniers jours, ça baise un peu partout, et enfin,
    • le dernier soir, pour quelques uns, c'est la partouze...

  2. #


    Rigolo, c'est très semblable à un chapitre de "La Filière Suisse" de Gérard de Villiers publié au printemps 2010 (Il faut certes remplacer le lac d'Annecy par le Léman et améliorer l'écriture mais tout y est : l'enfermement valise à l'extérieur, la poivrote, la star, les sorties piscine...)

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  1. #


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    janvier 2009
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    354

    Par défaut Le must

    La maison de repos un lieu de drague unique .

    Fin 1999, je venais de perdre un proche dans des circonstances particulières, et mon moral était dans les chaussettes. J’avais un nouveau job qui ne m’emballait pas non plus, et à la maison, mon épouse me menait la vie dure suite à l’achat d’une voiture de sport .Chaque jour c’était la même rengaine Bref, c’était l’enfer quoi que je fasse ou que j’aille. Même ma voiture ne me donnait pas la satisfaction que j’en attendais, alors que c’est une de mes passions.

    Je décide donc d’aller voir mon médecin et de lui explique mon malaise temporaire .Vous connaissez les maisons de repos ? Non docteur, pourquoi ?j’ai bien envie de vous prescrire 1 mois d’arrêt de travail et de vous envoyer à Annecy ou je connais quelque chose de sympa.

    Une semaine après, me voilà parti en voiture (j’habitais à Lyon) direction la maison de repos. Pendant le trajet, j’ai comme une appréhension, une angoisse à l’idée de rester 1mois dans un lieu de ce genre. Je me pose de nombreuses questions et l’idée de faire demi tour commence à germer dans mon esprit .Mais, la curiosité l’emporte sur la peur de l’inconnu et je pousse la porte de la maison de repos.

    C’est une belle demeure bourgeoise qui à encore belle allure malgré le poids des siècles.
    La comparaison s’arrête là .Je me présente à la réception,je remplis quelques papier et la secrétaire me demande si j’ai bien une mutuelle ? Oui mais j’ai les documents dans ma voiture, je vais aller les chercher .Le sas est verrouillé, je ne peut donc plus sortir et c’est accompagné de l’infirmière en chef que j’irais chercher ma valise et les documents.

    S’ensuit une fouille en règle de ma valise afin de vérifier si je n’ai pas d’alcool,de drogues et de rasoirs jetables .Ces derniers me sont confisqués pour éviter les TS.Ca commence bien.

    En fait, ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais, je pensais plutôt à quelque chose style club- med

    Je découvre ma chambre au 3eme et dernier étage de la maison, l’étage réservé aux personnes qui ont une mutuelle et oui, les différences existent même ici,car c’est une chambre mansardé individuelle très sympa avec SDB et WC privé et les fenêtres(fermées) donnent sur le lac d’Annecy et la vue est splendide .Je recommence à positiver et c’est le moment pour moi de rentrer dans la cage aux lions.

    Nouveaux sas, et je découvre une quarantaine de personnes, des vieux en minorité, et beaucoup de jeunes et de moins jeunes dont je fait partie. Bon ce n’est pas pire que ca et en plus il y a une grande salle fumeur .Youppie.


    Il y a pas mal de filles, environ 60% mais aucune à mon goût .J’en profite pour faire connaissance avec JP, un mec de mon age qui aime bien déconner et je lui demande si c’est toujours comme ca, c'est-à-dire des filles, mais très moyennes.

    Attends le nouvel arrivage, chaque jour réserve sont lot d’arrivé et de départ.

    Tiens je ne l’avais pas vue celle là, environ 29 ans, pas mal du tout avec des seins superbes et un visage d’ange .Elle s’appelle Laetitia

    Je me présente, , et au bout de quelques heures Laetitia m‘a briffé sur à peu près tout le monde car elle est là depuis 10 jours.

    2 jours sont passés, j’ai pris mes marques, il est temps de passer aux choses sérieuses.

    Je commence à draguer lætitia, mais elle est assez timide et je ne veux pas la brusquer, j’ai tout mon temps, elle part dans 5 jours et moi 27.

    L’avantage de ce genre de lieux, c’est que votre proie ne peut pas s’échapper, j’en profite donc pour passer à l’attaque le soir au salon télé. La salle est assez petite, composé de 3 canapés en cuir de 3 places chacun. Donc je propose à Laetitia de venir voir la télé ce soir avec moi .Je sais que cette fille plait aussi à un autre mec et que c’est réciproque, et je lui propose de venir sur le canapé.

    Premier arrivé premier servi, je prends possession du canapé le mieux situé, c'est-à-dire celui ou nous serons assez cachés des autres spectateurs et de l’entrée de la salle TV.

    La salle est dans l’obscurité, juste éclairée par la lumière du tube cathodique, et c’est naturellement que je commence, rapidement imité par mon copain de jeux à caresser son cou, ses cuisses et à l’embrasser .Elle réponds à notre invitation et nous embrasse à tour de rôles .Quatre mains habiles parcourent son corps avide .Ses seins sont lourds et ferme, elle n’a pas mis de soutien- gorge et je déboutonne son chemisier. Personne ne peut nous voir, mais pas nous entendre.
    Les soupirs de Laetitia se font plus fort, et certains spectateurs quittent la salle en protestants. Bon on se calme rapidement et l’on attend la suite des évènements. Rien.

    Notre séance à 3 reprend de plus belle, la salle est maintenant pratiquement vide et nous nous en donnons à cœur joie en présence des 2 ou 3 voyeurs qui restent .Au bout de 2 heures, nous sommes au bord de l’explosion, chauffés à blanc .Personne n’a de préservatif et c’est l’infirmière qui vers 23 h débarque dans la salle .Elle a bien des doutes, mais fait comme si de rien n’était.

    Nous avons ratés l’occasion, et impossible pendant les 5 jours que restera Laetitia de se procurer des préservatifs.

    Nouvel arrivage et je repère une fille blonde, pas mal du tout. C’est l’été, et nous disposons d’un immense parc bien arboré et c’est là que je décide d’emmener la fille. Tu a du coca me demande t’elle, parce que moi j’ai du whisky .La belle à 2 flasques de sky qu’elle a réussi à cacher sur elle. Au fond du parc, nous buvons l’apéro et c’est tout naturellement que je lui prends la main et que nous embrassons .Le lendemain matin, la fille avait quitté le club.
    Dommage.

    Jour 15, je repère une nouvelle fille de toute beauté, grande environ 1M 80 j’en fait 1.76. Un vrai canon avec des yeux verts magnifiques des cheveux blonds et un look BCBG à tomber raide dingue. Cette fille à une classe innée un charme fou.

    Il y a déjà de nombreux couples qui se sont formés, mais il reste encore des célibataires et je doit faire vite,très vite.
    Mes instincts de chasseur reprennent le dessus, bien aidé par mes 20 ans d’expériences en management et techniques de ventes.

    Ce n’est plus une fille que je drague, mais un prospect de la grande distribution .Je ne voit pas la fille en face de moi mais un challenge, je dois rester concentré sur mon objectif, j’ai fait le vide autour de moi, je suis seul avec ma proie potentielle et j’attaque.

    2 heures après c’est gagné, Nathalie cède à mes avances et nous nous embrassons longuement. Elle sent bon, elle est belle, je suis heureux.

    Nous formons un petit groupe d’une dizaine de personnes, et c’est la rigolade du matin au soir. Je ne participe à aucune activité du club au grand désespoir du personnel soignant .Juste le bain à remous, ça j’adore.

    J’ai maintenant la possibilité de sortir le mercredi après-midi et le dimanche, et nous avons trouvé un resto sympa avec la piscine sur les bords du lac .Un endroit bondé de filles classes toutes plus belles les unes que les autres .Un terrain de chasse très sympa et discret.

    En plus, juste en face il y a un hôtel et nous finissons l’après midi par une bonne séance de baise.

    Mon sport préféré, c’est de faire l’amour avec Nathalie. Elle à 34 ans, moi 39 et pendant 13 jours, ont s’éclate comme des bêtes, soit dans nos chambres, soit à l’hôtel. Toutes les positions y passe et elle adore la sodomie ce qui n’est pas pour me déplaire .Une experte.

    Nous sommes le couple du moment, et l’on s’affiche pratiquement sans retenue au grand dam du personnel.
    Il y a aussi une très très belle fille que l’on a surnommé TOP MODEL, toujours habillée hyper classe, c’est bien simple elle est arrivée avec 4 valises pleines de vêtement et de paires de chaussures sans compter les bijoux et se change au moins 5 à 6 fois par jour. Le soir après le repas, elle viens nous voir en déshabillé de soie avec de petite mules assorties .C’est la Star du club, les autres mecs en sont malades et tous se sont cassés les dents en tentant de la draguer .J’ai un bon feeling avec elle et je sens bien que j’ai une ouverture mais il y a Nathalie donc je garde mes distances pour le moment. J’en aurais bien fait mon 4 heures.


    Ca y est, c’est mercredi la journée des gamins, et nous partons à la piscine, top model, Nathalie et moi .Les filles ont envie de se lâcher et de faire la fête et je ne suis pas le dernier à ce jeux .La soirée est bien avancé et l’on repart à l’apéro du soir. Ca commence à être chaud chaud et les filles sont bien allumées et moi aussi.
    500 mètres nous séparent du club heureusement. Il est minuit et nous avons 5 heures de retard.

    L’infirmière en chef me dis quelle à téléphoné à ma femme pour lui dire que je n’étais pas rentré et me menace de me renvoyer. Du bluff .Les filles sont montés vite fait dans les chambres.

    J’ouvre ma chambre, et Nathalie est allongé nue comme un vers, offerte, disponible quoi que un peu soule .Nous commençons nos ébats, quand ça frappe à la porte. Panique à bord ; ouf ce n’est que top model qui se décide à franchir le pas et qui me demande d’aller voir pour elle un garçon avec qui elle avait déjà parlé. Le type est d’une timidité maladive et nous ne sommes pas trop de 2 avec Nathalie pour le convaincre de rejoindre cette superbe fille dans sa chambre .Rien ne filtrera de cette nuit mais j’aurais bien aimé être l’heureux élu.

    Nos ébats terminés, nous prenons une douche dans ma chambre, et là, stupeur et consternation, j’ai appuyé par erreur sur l’alarme de la salle de bain. J’ai juste le temps de m’habiller mais pas Nathalie et le gendarme de service débarque dans la chambre et trouve ma copine nue sous la douche. Encore vous, demain à la première heure j’avertis le directeur.
    De toute façon les jeux sont faits et je dois partir dans 2 jours en vacances.

    Son sermon elle peut se le garder, j’ai mis un souk pas possible pendant 1 mois, je suis un patient turbulent etc etc.

    Le lendemain matin, je suis convoqué dans le bureau du directeur qui me reproche mon attitude libertine, mes excès en tous genres, que ce n’est pas un club de rencontres et que j’ai nuis à la tranquillité de son établissement. Et que je ne peux pas rester 1 heure de plus.

    Je quitte donc l’établissement la queue entre les jambes et le sourire aux lèvres.

    La maison de repos, un lieu d’utilité publique.

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