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le 17 06 2007
Alla, elle les vaut bien ces deux cent cinquante pions de l’heure, bon, d’accord, elle a pô la taille mannequin la petiote moscovite et pis la chair est mollassonne, par exemple ses nibards, c’est comme les puddings anglais, la gravité leurs pourri la vie, le cul aussi, l’est un peu flasquounet, c’est pas des fesses d’airain, elle me fait un peu penser à une méduse, la douce, ces sans os qui s’échouent sur les plages, amenées par les marées, et puis c’est vrai aussi qu’elle a une tronche pas éblouissante, oh pas moche !, non, disons presque jolie, voilà…, mais en fait le tout est supérieur à la somme des parties, ça se marie pas mal tout ça, p’têt bien à cause d’une vigueur intérieure qu’on sent poindre, elle a du sang ! et pis aussi à cause d’une joie de vivre qu’elle affiche, imperturbablement, vrai ou fausse, je sais pas, mais elle est làgà, oui…
En tous cas, j’ai bien aimé, passeque pour la bagatelle, pardon ! elle se décarcasse la môme de l’Est, c’est vraiment du tout bon, elle vole pas son pognon, mais n’allons pas trop vite, la partie de cul, c’est pas tout de suite, faut patienter un peu, commençons par le rancard avec l’agence, je la connaissais pas, je me méfie toujours, y a tellement d’agences russes sur le marché, gare !, eh bien Katrin, l’organisatrice, fait bien son job, rien à redire, réactive, paf ! un dimanche pluvieux, une quéquette qui démange, dans l’heure qui suit Alla me la grattait et avec maestria encore…Je me pointe à l’heure, la belle m’ouvre, petite culotte et sous-tif, le premier regard échangé, le plus important !, c’est là ou on sait si ça va gazer ou si ça va être la galère, là ça boume, j’entre en confiance, elle est avenante et souriante, je contemple la table de la chambre, c’est là ou l’on voit si l’hôtesse bosse dur, si il y a des fleurs, du chocolat, du pinard et diverses babioles à profusion, c’est qu’y a eu du monde, c’est le cas, la table est encombrée, je renifle les fleurs et bouffe un chocolat, merci aux autres, moi je n’ai amené que ma bitte, jamais de petit quelque chose à la première rencontre, quand on connaît pas, ça a pas de sens, juste le bon pognon.
Elle est pas farouche, miam !, je m’assois sur le lit tout à côté d’elle, mais sans la toucher, on discute, elle parle un anglais plus qu'acceptable, c’est sa première apparition à Paris, c’était un de ses rêves, voilà, il est exhaussé, même si elle a pas le temps de visiter, elle aimerait se taper les musées, mais elle passe le plus clair de son temps dans sa petite chambre, mais ça la botte quand même, les parties de culs obligées, elle en fait pas un pataquesse.
A la parole, je joins le geste, elle accueille ma langue avec gourmandise dans sa bouche, on s’explore méthodiquement et profondément les cavités buccales jusqu'à la glotte, ça dure… elle met du sien et moi du mien, de la vrai pelle baveuse, s’en suit un déshabillage, je la met cul nul et seins à l’air, elle me déloque, mon outil ne reste pas longtemps sans abri, elle se jette dessus avec avidité, une pipe grand art, c’est une experte, putain ! Rhaa lovely ! je la laisse œuvrer, me gaffe de pas lui arroser trop vite les amygdales, tiens !, pour pas lâcher subrepticement la purée, je lui retire mon tuyau de sa bouche, la couche sur le dos et lui broute le minou, elle mouille sec, vive les russes, moscou forever, je lui aspire délicieusement les lèvres, lui titille le bouton, lui lèche le cul, lui pelotte les seins, elle fait pas bruit, mais je crois qu’elle aime, elle me serre les mains, mais elle me laisse pas aller jusqu’au bout, avec une vigueur incroyable me prive de sa chatte et me colle sur le dos, me plastique avec fébrilité et s’empale, je regarde son visage, ou elle est la reine des actrices ou elle se plait à me faire reluire, c’est sûrement ça son secret, elle aime baiser, Paris et la baise, si en plus elle trouve un quidam pour l’emmener au musée elle sera comblée !, je résiste autant que faire se peut à ne pas céder à mon plaisir, la laisser en carafe, mais j’en peux plus, pardon Alla, je défouraille dans un râle de plaisir.
Elle m’enlève doucement le latex et à ma grande surprise me suce derechef pour éponger les gouttes tardives, jamais vu ça, Alla est grande ! et bien bonne. A poil, nous restons à bavasser au-delà du temps imparti, manifestement elle est pas pressée, décontractée et c’est un coup de fil de son agence qui la rappelle à ses obligations, je remet mes frusques éparpillées sur le sol et prend congé à regret, j’aurais bien remis le couvert, mais qui sait ? elle est encore là pour plusieurs jours, une seconde rencontre avec Alla, ça doit le faire et cette fois ci, je lui amènerai un petit cadeau, ça c’est sur !