Nom : Tina
Nationalité : allemande.
Taille : 1.60.
Description : véritable blonde platine, cheveux mi longs, yeux bleus, très mince.
Particularité : six tatouages (bras, bas du dos et le reste je ne m'en rappelle plus...), cinq piercings (au dessus de la lèvre, langue, téton gauche, nombril et... clito) ; la rencontre la plus GFE jamais connue.

Dès qu'elle s'assied à mes côtés je sais tout de suite que j'ai affaire à un diamant de GFE. Elle un physique bcbg, a du chien, parle d'une voix lente et mélodieuse, a le regard si captivant.
Nous entamons la conversation.
Nous avons un point commun : nous avons étudié l'un l'autre nos langues respectives mais n'en avons rien retenu. Tandis qu'elle me parle je suis subjugué par cette petite créature de rêve. Notre conversation est très palpitante : je loue la beauté de ses tatouages et de ses piercings, la discussion au sujet des tatoos nous permet d'embrayer sur la série ‘prison break', ensuite nous parlons des vacances qu'elle a passé en France.
Je questionne : « elle a le choix de refuser d'aller en chambre avec un client ? »
« Oui. »
Donc si je proposais d'aller en chambre en sa compagnie, elle me répondrait par la négative ?
Bien sûr que non... au contraire elle en serait ravie.
Je veux me rendre en chambre avec elle ?
Oui. Elle en est enchantée. D'ailleurs si elle m'a abordé c'est parce qu'elle m'a trouvé si sympathique et mignon. Je trouve qu'elle en fait vraiment un peu trop.
« You're lying, it's just a job for you... »
Non elle ne ment pas. La preuve : c'est moi qu'elle a abordé directement et personne d'autre. Elle s'exprime du fond du coeur.
Quelle actrice cette Tina, elle parait si sincère que je suis sur le point de la croire.
Je m'enquiers au sujet de ses prestations sexuelles.
« Oh... I do everything except anal...
- Du kusst.
- Ja. »
Elle jure, à ce propos, que mes lèvres sont pulpeuses (si si si, c'est la vérité). Elle semble être si sincère, mais je n'en crois pas un mot, bien entendu. Je pose les mains sur la poitrine, lève les yeux au ciel, puis expire bruyamment. Quel numéro cette Tina.
« We go in bedroom ? »
Nous nous dirigeons donc dans le coin « baisodrome ».
Malheur ! toutes les chambres sont prises !
Il va donc falloir attendre. D'abord dix minutes que le canapé en face des chambres se libère.
Nous nous y installons. Et partir de ce moment c'est un déluge de pur GFE. Elle m'embrasse amoureusement, me bécotte, me caresse le dos... J'ai le sentiment d'être en présence d'une véritable petite amie.
« You know, I like to kiss between the legs...
- And I like to be licked very slowly. »
Après un temps indéterminé, nous nous retrouvons enfin tous les deux allongées sur le lit de cette chambre salvatrice.
Je l'embrasse à nouveau, puis descend ma bouche vers son entrejambe en faisant glisser ma langue de son cou à son ventre, en passant par la pointe de ses seins. J'embrasse son nombril ; elle éclate de rire. C'est qu'elle est chatouilleuse. Je descend plus bas ; elle ne rigole plus du tout.
Tina est très très très très sensible du minou.
Des simples petits coup de langues sont amplement suffisant. Je passe la vitesse supérieure mais elle me supplie aussitôt, gémissante : « It is too hard.... »
Je diminue le rythme.
C'est mieux.
Je m'attèle à la tache.
Mince ! C'est chiant ce piercing.
je léchouille.
Mais! Je n'ai pas rêvé ses lèvres sont en train de gonfler !
Me revoilà revenu deux mois en arrière à la Villa Venezia en compagnie de Carolina: soudain elle se met à bouger du bas-ventre...
J'intensifie le mouvement.
Elle explose.
Bon je n'ai aucun mérite (pour une fois), elle est si sensible du minou que même un débutant aurait pu en faire autant.
Elle a eu un orgasme.
Elle prend tout son temps pour récupérer (tout son temps ; la garce !!!!!!) avant de se disposer sur le côté pour la fellation.
Elle commence par me lécher les testicules (c'est la seule des trois à l'avoir accompli), et me suce. La fellation est honnête, mais d'un niveau inférieure à mes deux précédentes conquêtes.
En revanche, encore une fois elle ne veut plus décoler ses lèvres de mon prépuce. Encore une fois c'est moi qui lui dis d'arrêter. Elle me passe alors le gummi, pour se déchaîner en cheval d'Hector. Quelle furie ! elle cachait bien son jeu. On change de position, elle propose la levrette mais j'indique mon aversion concernant cette posture. Je suis quelqu'un d'assez classique c'est pourquoi j'opte pour le missionnaire. J'honore cette charmante créature dans cette position.
Elle range ses affaires dans son petit sac à main. Je suis tellement sous le charme de cette Teutonne que je lui propose un massage. Et c'est à ce moment qu'elle me plante un couteau dans le cœur.
« Bla bla bla bla... »
Tina tu as été si géniale. On a passé tous les deux un moment si agréable. Alors pourquoi tu me fais ça ?
Je n'ai pas tout saisi.
Elle m'a parlé de temps et de prix.
Je lui demande de répéter : en gros, on est en chambre depuis 45 mn, donc elle me facture une heure, c'est la raison pour laquelle elle précise avec gentillesse que j'ai encore le droit à un quart d'heure.
La vache ! ce coup de Traffalgar on me l'avait jamais fait, mais j'en avais déjà entendu parler : des filles profitent du fait que les clients n'aient pas de montre (ou ne prêtent pas attention au début de la prestation) pour facturer une heure, prétextant que la séance a dépassé les trente minutes. Je n'ai pas un chronomètre dans la tête mais je sais qu'elle se fout de moi. Je veux bien lui accorder le bénéfice du doute et reconnaître qu'on a peut-être dépassé la 1/2 heure, compte tenu du long cunilingus et de la fellation qui n'en finissait plus mais certainement pas de 15 mn. Evidemment, moi je ne porte pas de montre. Elle si. Je me suis fait dupé en beauté. Surtout qu'à aucun moment je l'ai vu consulter l'heure. Bien entendu son massage elle pouvait se le mettre au c... Illico presto j'ai donné son argent à cette petite sangsue au visage angélique.

Prestation remarquable, pourtant elle laissera à tout jamais un souvenir amer dans mon esprit...
Au final je ne sais pas quoi penser de cette fille : ange ou démon ; diamant de gfe ou pure arnaqueuse... malheureusement beaucoup de l'un et... énormément de l'autre.