dimanche au Freudenhaus
Pour la seconde journée de ma virée à Dortmund, je prévois de passer une partie de mon dimanche dans un établissement dont le standard est plus élevé que les Rtc. Le Freudenhaus semble remplir ce critère.Ce club pourrait s'intituler Fkk : il dispose d'un buffet froid très honorable, un espace sauna avec une piscine extérieure chauffée, même en hiver. Ce fut un plaisir de faire quelques brasses avec une température extérieure qui ne dépassait pas les 5 degrés.Il y a également un Jacuzy extérieur (mais qui était sous bâche ) . Une terrasse avec une rangée de transats en font un bon club d'été.
L'établissement est plutôt spacieux avec un Kino ( mais les tv étaient restées éteintes et aucune fille n'y est rentrée) , un espace fumeur.
Depuis la gare centrale de Dortmund (haupbahnof), l'accès en transport en commun n'est pas compliqué : des navettes express font le trajet , moyennant 9 euros, jusqu'à l'aéroport. L'établissement ne se trouve qu'à quelques centaines de mètres , en longeant la route principale.
Le site Internet précisé que le tarif Happy Hours s'applique si l'on est abonné à la Newsletter. Je m'inscris quelques heures avant à la newsletter pour bénéficier de l'entrée à 35 euros au lieu de 40 euros.
Je montre à la thekefrau l'accuse de réception de l'inscription à la newsletter, mais elle ne veut rien savoir et me réclame un code que je n'ai pas. Je lache l'affaire , ne maîtrisant pas suffisamment l'allemand pour contester.
Dans le Lounge, deux écrans géants passent en boucle les photographies des filles présentes , ainsi que leurs tarifs de base ( ceux communs au Rtc : 40 euros les 30 minutes et 70 euros de l'heure) et la liste de leurs options respectives avec tarifs. C'est la première fois que je vois ce système que je trouve judicieux( à la remarque près que les photos sont tellement photoshoppées qu'on a un peu de peine à les reconnaître dans le Lounge...)
En me prélassant dans un transat du spa, je côtoie Zara, une magnifique allemande blonde qui est allongée à côté d'un client local. Elle ne parle qu'allemand et se montre très bavarde, enjouée et sociable. Elle éconduit plusieurs oursons et du peu que je comprenne de la langue de Goethe, je saisis qu'elle est déjà bookée pour toute l'après-midi. Je la croiserai à 2 ou 3 reprises dans la salle du buffet, en pleine discussion avec ses clients habitués.
Malheureusement, aucune de la petite dizaine de filles présentes ne me tape dans l'œil. Je finis par approcher avec ma magie le jeune Rebecca, une Bulgare aux cheveux blonds. La thekefrau et les autres filles accourent pour profiter du spectacle.
En chambre, la session avec Rebecca fut décevante, à des années lumières de la session fusionelle avec Patricia la veille à La Villa Verena : pas de sensualité, pressée d'en finir, mécanique et sans âme. Pas de cartouche au bout de 20 minutes , madame montre son impatience d'en finir et cela me fait débander.Elle consentira néanmoins à terminer par un massage, à ma demande.
Seconde session avec Antonia que je choisis sans conviction... En chambre, elle parvient à me faire venir. Session sensiblement meilleure, mais avec une approche trop commerçante ( si tu veux , je te fais ceci/ cela, c'est x euros ....) .
L'établissement a un positionnement intéressant : c'est un Fkk par ses infrastructures, mais un Rtc par ses tarifs et la Line up. Après une petite journée passée dans le club, je reste un peu sur ma faim, tant l'alchimie avec les filles ne s'est pas produite.
