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Discussion : Belleville : MAE CHAÏ

  1. #


    Inscription
    mars 2010
    Messages
    45

    Par défaut

    BONSOIR
    apres maintes essais de la croiser .....sans réussite
    quelqu'un l 'aurait il vu ces temps ci ....

    merci d avance

    cordialement

  2. #


    Inscription
    avril 2010
    Messages
    158

    Par défaut Maé-Tchaï (ou quelque chose d'approchant)

    Invité, il y a quelques jours, à une soirée sur les hauteurs de Belleville. J’y débarque passé minuit, un peu parti, un peu naze comme le serinait un titre du défunt Top 50. La soirée est un peu partie, un peu naze aussi. Je me barre et redescend cette rue de Belleville qui m’a fait regretter mes deux paquets quotidiens à la montée. Il y a quelque chose dans l’air qui fait penser à une soirée d’été. Je décide d’en profiter un peu et de m’offrir un aller-retour au long de ce terre-plein devenu presque célèbre dans ce fil de Youppie. Oui, mais bon… Pas de quoi prendre la peine de s’arrêter, le même genre de filles que celles croisées un peu plus tôt dans la journée à Strasbourg-Saint-Denis. Toutes entres deux ages, toutes habillées avec ce qui traînait, au matin, au pied de leur lit. Toutes sauf une, qui m’a lancé un regard sans équivoque à l’aller et qui, au retour, m’aborde, franchement, avec un large sourire. Des cuissardes, un micro-short en lurex noir qui permet d’apprécier à sa juste valeur ce qui ressemble beaucoup à un joli cul et un Perfecto en vinyle un peu cheap mais juste suffisamment tendu par ce qui ressemble beaucoup à une jolie paire de seins. Comme dans un autre titre du Top 50, elle m'dit : 60 ? Je lui dis : ça m'tente. Je tente, quand même un 40. On transige à 50… La jeune femme parle français. Suffisamment en tous cas pour m’expliquer qu’on doit pousser à peine plus loin. Je lui emboite le pas. Dommage pour moi, on grimpe à nouveau un bon quart de la rue de Belleville. J’ai un peu les yeux rivés sur son cul et je fais aussi un peu semblant de regarder ailleurs parce que les terrasses des bistrots du quartier sont blindées de monde. Je suis le micro-short à droite, dans une rue perpendiculaire, puis à gauche dans le couloir d’un immeuble. Couloir qui sépare une salle de resto de ses cuisines. Pas très discret, quoi… L’appartement enfin (si l’on peut appeler appartement, une pièce borgne en rez-de-chaussée qui ne doit pas dépasser les 9m2… ). 2 lits superposés à droite, un lit bas à gauche, recouvert d’une alèse. Un truc genre meuble à chaussures sur lequel entasser ses fringues. Ni douche, ni lavabo (en tous cas, je ne les ai pas vus) mais une boite de lingettes sur la table de nuit. Pas un palace, quoi.
    D’emblée, Maé-Tchaï (ou quelque chose d’approchant…) tombe le perfecto, me claque un smack et glisse une main entre mes jambes avec un mmmm pas trop crédible mais excitant, quand même. J’en profite pour coller mes mains sur ses seins, et il y a du répondant, effectivement, comme disait mon grand-père. La jeune femme (difficile de lui donner un âge, d’autant qu’elle est over maquillée, je dirais thirty something) se déshabille rapidement, m’invite à en faire de même. On passe sur le lit. Elle a bizaremment gardé son soutien-gorge, et celui-là, basiquement blanc, n’est pas des plus sexy. Quelques caresses, un début de branlette, capote et elle commence à me sucer. Lentement et profondément. Bonne surprise. Je réussis à faire sortir ses seins de leur enveloppe blanche, les pelote doucement, m’occupe aussi de son cul, et de sa chatte, loin d’être rigoureusement épilée... Son corps a de vraies formes (on aura donc le droit de lui trouver un peu de ventre, aussi), mais reste ferme. Au bout de 2-3 minutes, elle passe en amazone, et se donne vraiment du mal entre oui, oui … encore et gémissements. Comme on entend, au travers du mur, les clients du resto d’à côté, ils doivent profiter également de notre séance. M’en fous. C’est plutôt bon. Elle me demande si « je veux l’aimer, comme ça » et s’allonge sur le dos, les jambes bien écartées. Missionnaire donc. Levrette, ensuite. Mais comme je suis, comme expliqué plus haut, un peu parti, un peu naze, je me dis que ça va durer des heures avant que je parvienne à jouir. Je me retire donc. Et elle se précipite pour prendre une aute capote, dans l’idée de me faire venir dans sa bouche. Je préfère qu’elle se remette sur le dos, qu’elle vire enfin cette saloperie de soutien-gorge. Je me branle au dessus de ses seins, mes yeux dans les siens. Elle me caresse les couilles une demi-seconde avant que je jouisse, glissant même un doigt jusqu’à mon anus. Ensuite, ce sera un autre smack, au moins dix merci. Merci à toi plutôt, Maé-Tchaï (où quelques chose d’approchant) pour cette petite heure finalement très agréable (malgré la chambre un peu glauque…).

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