J'ai rencontré ce soir dans le VIe : http://www.escortguide.tv/fr/escorte/20088/Julia_UK_.

Nationalité : Ukrainienne.
Age : probablement 20 ans.
Couleur des cheveux : brune (cheveux mi-longs).
Yeux : bleus.
Taille : 1m75 (plausible : particulièrement grande).
Corpulence : mince.
Pointure : 39.
Caractère : adorable.
Compétence linguistique : niveau d'anglais faible ; connaît quelques mots français (elle m'a dit "au-revoir" avec un charmant accent lors de mon baise-main final).
Agence : vip.ukrainian_models a priori.
DFK : oui.
Réalisme des photos : j'ai dû mal à croire que ce soit elle... même si, en même temps, ce ne serait pas déconnant que ce soit effectivement elle. Difficile à dire en fait. Le visage est beaucoup plus charmant que ce que suggèrent les photos (un peu typé avec des yeux de couleur et un air malicieux) et constitue le premier élément qui donne envie de poursuivre la rencontre. En revanche, le corps n'a pas l'apparence nickel chrome idéalisée des photos, même si l'on reconnaît bien l'"architecture" générale : forme des seins, longueur des jambes, fesses, apparence des mains et des pieds. Son ventre - quoique plat - semble porter les stigmates d'une grossesse antérieure.

Vous l'aurez compris : Julia n'est pas une Vénus et il sera inutile de chercher le nombre d'or dans les proportions de ses lignes mais ce qui est remarquable, outre son joli minois, c'est son comportement. Elle est d'une fraîcheur et d'une spontanéité... Elle s'embrasse comme on cueillerait une petite fleur bleue dans une prairie.
On lui lèche la chatte comme si le cunnilingus était érigé au rang des choses essentielles, comme s'il était aussi légitime que la consommation de l'eau de source qui vient de la montagne.
Elle lèche, elle embrasse, met son front contre le sien. Elle est comme une inconnue que l'on a toujours connue. Et elle sent bon, si bon, avec son parfum. Et elle est tellement douce, tellement gentille, on se sent en sécurité dans ses étreintes... Aucune vulgarité, j'en oublie les remords que j'ai éprouvés au distributeur lorsque je suis allé chercher les 250 euros...
Et elle prend ma main pour se caresser la poitrine, pendant que je la lèche méthodiquement et pénètre sa fente avec ma langue.
Peu de mots sont échangés, mais l'échange verbal semble inutile, la communication se fait par câlins. Il n'y a rien à négocier, nul besoin de convaincre, pas de transaction à bien mener, il suffit d'être soi, de s'abandonner au plaisir...