Hier soir, apres avoir vu le film Bangkok Dangerous avec Nicolas Cage sur Canal+, j'ai loué lady bar 1 et 2 sur arte vod, que j'ai donc vu apres mon sejour en Thailande d'il y'a 3 semaines.
Il y'a des passages intéréssants, plutot réalistes, meme si des fois je trouve que le scenario parait un peu caricatural par moment, mais pour un telefilm c'est quand meme du bon travail. Je conseillerais de le regarder avant de partir pour la 1ere fois en Thailande, ne serait ce que pour relativiser le discour des filles, qui peut être déconcertant pour un européen mal armé, ce qui fut mon cas il y'a 3 semaines.
C'est aussi intéréssant de le regarder meme si on n'a pas l'intention de se rendre en Thailande, mais en amérique du sud, où les rapports avec les filles se ressemblent un peu, je suis tombé amoureux d'une dominicaine au Surinam, et j'ai pu reconnaitre des points de détail qu'on peut retrouver dans ce telefilm que j'ai vécu, en particulier l'envie de la sortir de là...
INFO PROGRAMME
vendredi, 5 octobre 2007 à 20:40
Rediffusions :
06.10.2007 à 16:05
14.10.2007 à 15:50
21.10.2007 à 00:55
Lady bar
(France, 2006, 97mn)
ARTE F
Réalisateur: Xavier Durringer
Image: Guillaume Schiffman
Musique: Christophe Gerber
Montage: Laurence Bawedin
Avec: Bruno Lopez, Dao Paratee, Eric Savin, Jean-Pierre Léonardini, Tak Bongkoch, Margot Abascal (La française)
Auteur: Xavier Durringer
Décors: Eric Durringer
Production: 7ème Apache Films, ARTE France, Flash Ciné Services, Quasar Pictures
Producteur: Bruno Petit, Xaver Durringer
Rédaction: Arnaud Jalbert
Son: Madone Charpail
En Thaïlande, Jean, quadragénaire esseulé, fait la connaissance de Pat, une belle "lady bar"... Une chronique amoureuse où rire et sérieux s'entremêlent, dans les quartiers chauds de Bangkok et de Pattaya.
ARTE F
Jean s'est mis au golf le jour où sa femme, Caroline, s'est trouvé un amant. Cela fait trois ans qu'il joue et deux ans qu'elle l'a quitté. Il se remet difficilement de cette séparation. Pour lui changer les idées, son ami Polo le traîne en Thaïlande. Mari infidèle rodé au tourisme sexuel, celui-ci pousse Jean à l'accompagner dans un bar à hôtesses de Bangkok. Réticent, Jean trouve dégradant de payer pour faire l'amour. Le lendemain, il s'inscrit dans une agence matrimoniale locale. Sans succès. Les deux amis partent pour Pattaya, une station balnéaire. Là-bas, Jean se laisse entraîner dans un autre bar. Il y fait la connaissance de Pat, une magnifique Thaïlandaise, et passe la nuit avec elle...
INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
Love, sex and money
C'est lors du tournage de Chok dee, en Thaïlande, que Xavier Durringer a eu l'idée de ce film. Plongeant dans l'univers des ladies bar, des danseuses traditionnelles et des masseuses, il a cherché à savoir si, au-delà des poncifs qui accolent vacances en Thaïlande et tourisme sexuel, une histoire d'amour entre un Européen et une prostituée était possible. Dans ce film, il met en scène des rapports de couple, où le mercantilisme sert davantage de prétexte que d'obstacle. Pat, la jeune femme, peine à aimer et à dévoiler ses émotions, rongée par la peur de l'abandon. Se servant de l'argent comme d'une barrière protectrice, elle se prive d'amour par peur d'être déçue. La communication hasardeuse - dans un anglais hésitant - entre les deux protagonistes ajoute à la fragilité et à la complexité de cette relation. Si Xavier Durringer s'attaque à un sujet grave, il le manie toutefois avec humour et dérision, à la manière d'une comédie romantique anglaise. Le personnage de Polo, mari infidèle sans scrupule, amène légèreté et burlesque au film. En arrière-plan, les quartiers chauds de Bangkok et de Pattaya grouillent, bruyants et chaleureux, et la musique traditionnelle thaïe vient envelopper cette idylle fragile de sa force envoûtante.
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