J'ai fait une petite visite au World le 11-10. Désolé pour avoir tardé à poster surtout que j'ai fait la première d'Anna-Maria... Que j'ai vue débarquer avec ses valises.

Je suis arrivé vers 14:00 et à peine me suis-je fait servir l'apfelschorle de rigueur que Katia (bulgare 1.65 mince, de jolis seins naturels, visage très moyen) m'aborde. Je lui dis que je veux attendre un peu car je viens de faire de la route et que je voudrais me détendre. Elle prétend vouloir m'aider à me détendre... Bon, je ne suis pas très enchanté car j'aime bien regarder mon plan de travail avant de me mettre à l'oeuvre, mais je la laisse s'installer sur le sofa à côté de moi. Discussion assez banale, mais elle est sympatique. Aparemment elle n'aime pas se donner en spectacle et me demande de l'accompagner dans la salle de cinema, mais non je préfère une chambre.
Bonne prestation sans plus.
Je me douche et je descends vers les saunas pour essayer de me détendre un peu. Je ne suis pas là depuis 5 mn qu' Eva (une petite bulgare brune) vient se frotter à moi. Je lui dis que je viens de faire un numéro mais ça ne la dérange pas elle reste là et s'attaque gentiment à l'apanage de ma virilité qui réagit en bon soldat. Tu vois que tu n'es pas fatigué me sourit-elle. Bon je profite un peu des caresses ça ne fait pas de mal, et comme l'envie revient je me décide à aller lui faire un sort dans une chambre. Elle me suce, sympa, sans plus, et comme je suis un peu fatigué, je ne lui rend pas la galanterie. Après un moment elle me demande si je veux la prendre. Ma foi, je veux bien moi. Bizarrement je commence à sortir de ma léthargie et je me sens tout à coup d'attaque, et quand je commence à l'entreprendre elle est un peu surprise de voir que l'animal qu'elle avait pris pour un cachalot échoué est un véritable tigre en rut. (Je me vante un peu juste pour la qualité littéraire ).
En fait dans l'exercice je ne sais pas ce que j'ai déclenché, mais une odeur assez forte commence à émaner de son entrecuisse. Je me dis que j'ai bien fait de sauter le hors d'oeuvre. Enfin je finis mon affaire. Douche et direct dans le wirlpool où je sais que je ne serai pas dérangé. C'est un de ces jour où je suis faible et ne peux pas dire non... Mais le prochain coup je veux bien le choisir.

Pendant que je suis à l'abri dans les bulles des oursonnes me saluent, me complimentent, moi je biche comme un pou sur une cravate neuve... je repère une fille, je pense qu'elle doit être polonaise, un corps plantureux comme je les aime, et surtout ce regard plein de sous entendus que je reconnais. Celui des bon coups. Je me promets à elle dès que je serai un peu recomposé.
Je sors enfin de mon refuge et me lance plein de courage à la recherche de ma belle (polonaise?). Mais il devait étre écrit que je ne serais pas mangé à la soupe de cerise ce jour-là, car sur mon chemin se dressa la scupturale Anna-Maria. Je ne pouvais plus passer. Des seins magnifique brouillaient mes sens, de longs cheveux noirs et bouclés me faisaient oublier que... Comment t'appelles-tu ? Anna-Maria. D'ou es-tu? D'espagne, de Madrid. Ah bon ? Et j'attaque la discussion en espagnol. Elle me répond dans un accent qui me semble portugais . Tu es brésilienne? Non insiste-t-elle, espagnole. Puis elle continue moitié en allemand-moitié en italien.
Pendant ce temps nous nous dirigeons vers la première chambre disponible.
Elle a un corps magnifique, j'ai tout le loisir d'en apprécier les détail pendant le 69. Je ne sais pas commbien de temps j'ai passé sur la levrette, mais apparemment ses voisins l'on faite chasser de chez elle. Elle crie à faire trembler les murs. Moi je sais que c'est pour rire mais bon, c'est quand même plus agréable à entendre que le sempiternel Komm ou Bist du gekommen?
Comme je vois que ça va durer un peu et qu'on n'est pas fiancés, j'arrête les frais et la laisse me finir à la bouche. Je dois un peu réfrêner ses ardeurs c'est une vraie brute. Suavecito, doucement! Elle me propose la CIM pour 50€ de plus. Comme je vous l'ai dit c'est mon jour cavestron, je ne peux rien refuser.
Je lui remllis donc l'arrière sourire de mon hydromel.
En somme un numéro très sympa. Une belle menteuse, une grande simulatrice, mais on devine un si grand coeur. S'il faut, j'y retourne.