Discussion : Paris : OMPHALE (se déplace)

[BDU1000]

Je ne sais pas si tout le monde partage mon point de vu mais je trouve que depuis quelques années il est de plus en plus difficile de rencontrer de vrai libertine.

Heureusement il y en a encore quelques unes et Omphale en fait partie.

Rencontrer Omphale, c'est le risque de trouver vos autres rencontres insipides, sans saveur.
Omphale a ce petit quelque chose en plus, cet investissement qui fait toute la différence dans la rencontre et qui vous transporte au 7eme ciel.
Elle se livre totalement, vous fait lâcher prise et est experte dans l'art de l'amour.
Vraiment une véritable libertine comme il n'en existe plus beaucoup.

[raphben]

Oh non pas du Pascal Obispo ! quoiqu'il en soit, merci M64 pour ce beau récit et il me tarde de revoir la belle héroine dont vous parlez si bien!

[raphben]

Ben de rien mon cher Samourai. Faut surtout la remercier elle!
Sinon, je l'ai revue. C'est parti
Rédiger le compte rendu d’une expérience extraordinaire relève de la gageure car son auteur est voué à l’échec car, à moins d’être un génie littéraire (ce que je ne suis absolument pas), il est incapable d’en restituer toute la magie, d’évoquer ce qu’il a eu le privilège de vivre, de suggérer la chance qu’il possède à jamais grâce au souvenir de ressasser à volonté ces moments à la fois fulgurants et éternels. Dans le pire des cas, ses mots maladroitement articulés les uns aux autres, ses formules se voulant être plaisantes et distrayantes, ne feront que flatter son égo et asséner aux autres l’ampleur de sa satisfaction d’avoir partagé des situations uniques, semant l’envie parmi ses pairs les plus plaisants ; l’aigreur et la suspicion pour chez les plus atteints des tristes sires , prêts à cracher sur les plaisirs qu’ils n’imagineraient jamais dans de telles circonstances vénales, persuadés de l’impossibilité de l’éclosion de conjonctures extatiques partagées.Et même de l'indifférence. Qu'importe, je suis là avant tout pour me faire plasir et partager cela....Omphale,Laurra, mmmhhh!
Comme mes piètres interventions le rappellent à intervalles réguliers, je suis très attaché à Laurra qui m’accorde l’honneur et le bonheur de la rencontrer très régulièrement. Nos entrevues sont sans cesse plus puissantes, plus complices et j’en passe. Je ne m’étendrai pas plus sur nos relations. Néanmoins, nous aimons nous voir aussi en compagnie d’autres filles qui sont aussi plus que de simples connaissances pour nous deux. Ayant envie d’étendre notre horizon des plaisirs ou tout simplement désirant être surpris ou émus, nous souhaitions découvrir d’autres femmes qui nous soient inconnus au moins à l’un d’entre nous, voire aux deux (une blonde magnifique hantant ce forum aurait pu s’adjoindre à nous mais Laurra ne pouvait pas au jour fixé, mais ce n’est que partie remise). Quelques tentations nous attiraient ou nous divisaient. Mais lorsque je lui évoquai ma rencontre récente (extraordinaire) avec la délicieuse Omphale, son intérêt se focalisa sur cette dernière car ses photos splendides lui avaient tapée dans l’œil, sollicitant l’affolement de ses sens, chatouillant sa libido. La réponse d’Omphale enthousiaste à l’idée d’entrelacer cette affolante créature aux courbes spectaculaires, pour des raisons tout à fait valables, tardait à venir pour la date désignée, Cela ne faisait rien car nous souhaitions absolument la mêler à nos jeux, tant je désirais de mon côté renouveler la beauté de ma première rencontre avec cette hétaire, partager la délicieuse personnalité de cette courtisane , faire connaitre la sensualité et la fougue de cette femme si belle à Laurra qui ne demandait qu’à la connaitre et à la «dévorer ». Les images anticipant une telle mêlée, ces désirs naissants et s’assouvissant, l’orgie de beauté à venir , des ébats doux et délicats tournoyants, les étreintes non feintes et vives, la chaleur de nos épidermes, l’agilité des langues, l’explosion des plaisirs s’immisçaient en moi, toujours changeante et prometteuse. C’est peu que de dire que la fiction fut très en dessous de l’ivresse de la réalité qui allait se déchainer quelques jours plus tard.
Finalement, les modalités furent arrêtées, le cadre déterminé. Etonnamment et heureusement, compte tenu de ma grande expérience des rencontres plurielles vénales ou non, je restais excité par celle qui allait venir. Rendez vous compte, j’allais avoir le privilège d’assister à la première rencontre entre deux des plus fascinantes femmes que je connaisse. D’autant que c’est une première pour moi ce trio entre deux nymphes qui ne se connaissent que par mes récits réciproques et par de somptueuses photographies, pâles reflets de ce qu’elles sont vraiment (N’en déplaise à ces damoiselles !). Effectivement, au cours de mes tribulations d’amateur de sexualité plurielle, mes compagnes de trio n’étaient pas des inconnues les unes pour les autres. Là, la situation était d’autant plus exaltante car, comme je l’ai indiqué par ailleurs, elles souhaitaient se voir depuis que je leur ai suggérée. Deux amatrices de femmes non simulatrices, pratiquant la bisexualité avec gourmandise ! J’allais être comblé.
Le jour J ! J’attendais au rez de chaussée de l’établissement qui serait le cadre de nos étreintes imminentes. La première à arriver fut Omphale, gracieuse, belle, élégante, heureuse mais un peu angoissée de ne pas plaire à Laurra. Je tentais de balayer d’un revers ses doutes en lui affirmant que notre compagne en retard ne feignait pas son envie de la voir et je louais sa gentillesse. D’ailleurs cette dernière ne tarda pas à nous demander de venir la rejoindre dans son antre luxueuse. Je sens Omphale tendue. La porte s’ouvre, nous sommes aveuglés par le sourire charmant de Laurra qui accueille en véritable amie Omphale. Les questions précèdent les réponses avant de revenir. L’atmosphère est chaleureuse, enjouée, amicale, délicieuse. La température ne va pas tarder à monter. Mais avant, les filles se découvrent, s’apprécient, se congratulent, félicitent la beauté l’une de l’autre. Je les regarde tout en participant à la conversation riche et foisonnante, dont je tairai le contenu ici, hormis le fait que les deux naïades ont tenté, en vain, de me convaincre de l’intérêt du jazz avec des musiciens comme Duke Ellington ou John Coltrane.
Laurra allume naturellement le feu en nous qui va embraser la pièce et notamment le grand lit qui nous servira de terrain de jeu, de champ de bataille, de villégiature érotique. Je dois noter que depuis que je suis avec Omphale, mon érection ne faiblit pas et pour cause. D’habitude, bien qu’il n’y ait pas de schéma pré établi, Laurra et ses copines m’entourent avant de m’en faire voir de toutes les couleurs sans s’oublier les unes et les autres. Là, c’est Omphale qui se trouve au milieu. Face à elle , Laurra qui l’embrasse délicatement, qui part à la découverte du corps qu’elle désire avec ses mains. Je me trouve derrière Omphale et je la hume, la caresse, me fait plus audacieux. Son regard se fait sauvage, ardent. Elle aussi se lance dans l’exploration de l’épiderme de Laurra. Très vite, nos langues s’emmêlent, nos corps se frottent tout les trois, mes mains sont humides, nos pores sont submergés par la transpiration. Le lit est dévasté, parcouru , humide. Je ne sais plus quel corps m’enlace, quelle bouche m’aspire, quelle chatte je goûte, quelle bouche m’avale. Tempête, ouragan, mes sens sont submergés Les filles ne s’oublient pas, je ne perds pas une miette de leurs ébats quand je ne succombe pas aux poussées de tendresse et de sauvagerie, nous sommes trois à nous fondre dans le même torrent de délices. Leurs doigts , leurs mains, leur bouche m’explorent sans répit quelque soit ma posture. A plusieurs reprises, je me tords de plaisir .Les râles, les soupirs, les rires s’élèvent depuis le début, notre complicité ne cesse de se renforcer pour le bonheur de tous. Harassé par de telles montées d’adrénalines, de flux sanguins, de collisions entre mes neurones euphoriques et désorienté par ce maelstrom de félicité orgasmique, de jubilation, je m’écarte pour me faire exploser en les regardant s’ébattre toutes les deux. Omphale s’applique sur Laurra qui se jette en arrière tout en me lançant des regards qui en disent long sur les bienfaits du traitement qu’elle subit. Leurs deux corps ne cessent d’aller l’un vers l’autre, deux valkyries qui s’entredévorent, leur beauté explose à mes yeux triomphante et fière, tendues l’une et l’autre vers le plaisir. J’ai joui depuis quelques minutes mais ça ne les arrête pas, je caresse le visage de Laurra qui s’accroche aux draps, le visage d’Omphale est enfoui entre les cuisses de sa proie du moment…la suite, je me la garde.J’en ai que trop dit, et mal par-dessus le marché.
Epuisés, extatiques, heureux, couchés les membres emmêlés, le charme agit encore, nous parlons comme des amis qui se découvrent, ce qui est le cas en fait. Expérience sublime pour nous tous. Laurra devant régler les affaires courantes, je repars en compagnie d’Omphale, magnifique (mais si je t’assure). La laisse à hauteur de son vélo, je repars flottant dans les airs, mes pieds n’ont toujours pas touché le sol , ne manquant pas de me retourner pour la voir repartir avec élégance (effectivement Paul, cette vision me rappelle notre impressionnante courtisane), le cœur serré par tant de luxure et de beauté, moment hors du temps comme le fut cet après midi là
La conclusion de ce récit maladroit, vivement que je les revois toutes les deux !!Et merci !!!