Il ne suffisait que de ça pour me faire bouger et franchir la porte de ce caftard comme disent les Belges...
Je me suis donc pointé pour faire le même constat : c'est plein ...de meufs ...mais beaucoup moins garnis en terme de peïs comme disent les Bruxellois... (où sont ces valeureux punters qui faisaient les beaux jours du Coin ?
Certes, ce ne sont pas des bombes de 19 printemps (quoique, j'ai connu Roxanna à cette âge-là ...et d'autres encore) mais ces dames sont de bonne volonté, souriantes et disponibles.
Et comme je reste avant tout un aventurier, je ne me contente pas de simplement passer prendre un thé... je dépose un acte certifié (tu sais comme l'huissier qui ne fait que ça depuis que le gaz coûte 15 fois le prix d'une pipe) en vous livrant une rapide EV concernant Bia qui a pris ses quartiers au Coin (mais qui se balade aussi au 5th voisin).
Oui l'ami ! C'est un café. Et si tu veux faire plaisir à une dame* et une autre, y a de quoi trouver ton bonheur ;-)
(*si tu veux faire plaisir à un monsieur, je suis là ...au cas où)
C'est toujours amusant de lire avec quelle délicatesse mes congénères parlent de ces sales putes...
Encore plus drôle quand on se met à la place des filles qui déchantent souvent quand un bonhomme passe la porte du café. C'est qu'il est rarement en 3 pièces ajusté, le client ; souvent avec du gyproc ou du cambouis dans les pattes, pas toujours frais du jour et souvent bedonnant ou disgracieux...
Elles doivent bien rire en se disant peut-être qu'un jour un bel éphèbe racé et bien rasé viendra les cajoler le temps d'une petite heure bien joyeuse.
On sent que la crise fait mal ...chaque pièce compte ...peut-être pour ça que le bar prévoie encore d'accueillir de nouvelles filles.
Allez, réjouissez-vous, on ne vit qu'une fois !
Et puis, cassez pas les couilles et faites des EV !
P.H