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Discussion : Nostalgie... ou les filles qu'on n'oubliera jamais

  1. #


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    octobre 2019
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    Par défaut Petite Marie

    Citation Posté par blackjohn Voir le message
    Il m'arrive parfois, comme à beaucoup d'entre nous , de traverser des moments de déprime , de vague à l'âme , de cafard ,de mélancolie .

    Dans ces périodes ,j'ai mon traitement, mon médicament, ma médecine .

    Cette thérapie avait pour nom : La Petite Marie.

    La Petite Marie est , comme l'on dit "une fille de coins de rues ", cette jeune femme , je dis" jeune femme" alors qu'en l'occurrence le terme est inapproprié, mais j'utilise toujours cette expression pour qualifier les femmes que j'aime ou que j'ai aimées , fait partie de celles qui officient encore dans les villes de province, du début à la fin de l'après midi, silhouettes qui s'estompent et qui bientôt disparaîtront , victimes des textes ou autres arrêtés votés par des gens de qualité qui ont décidé de nous apprendre les bonnes mœurs et le sens du mot vertu .

    La Petite Marie , je l'ai connu il ya quelques décennies , du temps ou elle comme moi , nous étions jeunes et beaux , pour la beauté surtout elle soyons modeste ,elle avait tout juste 18 ans et moi 25 peut être.

    La Petite Marie ,dans ces temps maintenant révolus , me prenait dans ses bras et me faisait l'amour de façon naturelle ,car" Le Fléau " n'était pas encore apparu avec son poison qui aujourd'hui vous oblige, avant d'aimer, à vous couvrir de plastique, acte mécanique, mais obligatoire, sous peine d'y laisser votre santé si ce n'est votre vie.

    La Petite Marie ,pour elle comme pour moi le temps a passé , sa taille s'est épaissie , son ventre c'est alourdi, ses seins trop tripotés, aux mamelons trop sucés accusent le poids des années ,mais ses yeux d'un bleu délavé reflètent toujours sa beauté passée .

    La Petite Marie la dernière fois que je l'ai rencontré ma dit que pour elle le temps était venu de s'en aller ,non par ennui ou manque d'amitié ,mais car le quartier où elle était née, avait vécue puis travaillée ,selon l'avis de doctes personnes qualifiées, devait être "urbanisé" terme technique et aseptisé pour dire Rasé !!

    La Petite Marie cette fois c'est fait ! , les bulldozers ont eu raison de "ton coin de rue" !!

    La Petite Marie , s'en est allée emmenant avec elle une partie de mon cœur et le souvenir de mes jeunes années .

    Adieu, mais jamais je ne t'oublierai La Petite Marie !
    Très bien

  2. #


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    mai 2008
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    Au fond de la gorge (mais pas du tarn)
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    1 484

    Par défaut

    Deux filles je penses
    Nora il y a 10 a 15 ans grande blonde rue aerschot des pays de l’est première partie de la rue sur le moment je me suis pas rendu compte que je me fessait un avion de chasse et en plus il y avait un petit je ne sais quoi entre nous

    et évidemment la déesse Manolita

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  1. #


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    octobre 2006
    Messages
    163

    Par défaut Nostalgie... ou les filles qu'on n'oubliera jamais

    Bonjour à tous,

    C'est presque Noël. Il fait froid, il fait triste, il fait sombre... C'est une période de l'année qui ne me convient pas. Alors, je suis nostalgique, je gamberge ...
    Il y a les filles dont on ne se souvient plus, dès qu'on les a quittées; celles dont on garde un bon souvenir pendant quelques jours, quelques mois, parfois plus.
    Et puis, il y a celles qu'on n'oubliera jamais.
    J'ai rencontré plus de 200 filles au cours de ma "carrière" et, trois fois sur quatre au moins, je suis reparti content. J'y ai repensé, plus ou moins souvent, et parfois j'y repense encore. Mais il n'y en a que trois, jusqu'à présent, que je n'oublierai jamais.
    D'abord Barbara, une blonde splendide qui travaillait dans un bar des environs de Saint-Trond, en Belgique. Si je devais la revoir aujourd'hui, il est probable que la trouverais moins craquante. Mais j'étais encore bien innocent quand je l'ai visitée, trois fois en quinze jours, cela fait plusieurs années déjà. C'est elle qui m'a fait apprécier le sexe tarifé. C'était en décembre. Le premier janvier de l'année suivante, elle a arrêté de travailler. Ses clients lui avaient payé sa maison, sur les hauteurs de Liège, m'a-t-elle dit. Je ne l'ai jamais revue.
    Puis il y eut Sarah, une gentille allemande aux cheveux noirs, belle comme un coeur, qui travaillait à l'Aspasia à Vaals, aux Pays-Bas. Je l'ai rencontrée une bonne vingtaine de fois, pendant un an et demi. Quand j'allais à l'Aspasia, ce n'était que pour elle. On s'entendait bien, on se connaissait. Elle aussi a disparu à la fin d'un mois de décembre, il y a deux ou trois ans. Il parait qu'elle est mariée. Tant mieux pour elle, si elle a trouvé le bonheur.
    Et puis, il y a Liliane, du Babylon à Elsdorf. Quand Dieu créa la femme, c'est à elle qu'il a pensé. J'y suis allé hier, et elle n'y était pas. Elle est retournée dans son pays. J'ai un mauvais pressentiment, je crains qu'elle ne revienne pas après les fêtes. Fin décembre, encore... Ce n'est rien, lorsque j'irai à K...., la ville d'où elle provient, je demanderai au premier venu où habite la plus jolie fille du coin. Il m'amènera à Liliane, c'est sûr. Je la reverrai. L'espoir fait vivre... et la longue attente fait mourir.

    Décembre... C'est un mauvais mois, un mois de grands changements dans les clubs... et ailleurs. Ca me rend nostalgique, et je n'aime pas çà.

    Et vous, y a-t-il aussi des filles que vous n'oublierez jamais?

    Protea

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