Un recit avec un peu de retard, d’une soirée au 5 vers le milieu de Novembre. C’était un mercredi, je crois, l’endroit est animé, du monde, de la musique, des filles qui dansent, le 5eme était en habits de fête comme souvent en milieu de semaine. J’ai longtemps hesité sur Maria, jeune Brésilienne blonde, recommandée par un habitué, ou sa copine (prenom ?) mais trop entourées pour ma timidité naturelle. Il y avait aussi Maya, Tatiana et d’autres, en beauté, qui me paraissaient d’excellentes alternatives quand arrivât Bruna. Je ne l’avais pas vue depuis plusieurs semaines et son entrée m’a subjugué. Elle attire les regards, habillée « classique », sourire permanent sur son joli visage qui ne m’empêche pas, on ne me changera pas, de porter mon regard sur son popotin d’enfer et son décolleté hallucinant. A ma grande surprise, je fais partie de ceux qu’elle salue en arrivant. Très vite, la voilà happée, se voit offrir un verre par un habitué, je me dis que l’approche se complique mais après quelques minutes, elle voit bien que je la regarde et vient vers moi, decontractee, maniant de mieux en mieux le Francais et d’une gentillesse desarmante. De fil en aiguille, on se decide pour aller en chambre mais non : c’est complet en haut et il nous faut attendre. Qu’importe, on s’assied et on attend. La belle est sympa et bavarde. Je réalise à quel point elle très sollicitée durant notre conversation mais elle décline poliment pour passer ce temps d’attente à papoter avec moi, en une forme de préliminaires jouissifs. La suite ? La douceur « Brésilienne », une sensualité qui emerge de ce petit corps irrésistible et un crescendo vers l’explosion : quel festival !! On a depassé les 30 minutes, j’ai proposé un supplément sans qu’elle ne le demande, et sans hésiter. Quand le service est au dessus des attentes, faut le reconnaître. Quelle nana, cette Bruna, je comprends mieux sa popularité.