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Discussion : Martigny : Adonis Redrose, Night Club La Croisée, rues de la Batiaz et du Léman

  1. #


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    juillet 2023
    Messages
    1

    Par défaut Adonis bar / RedRose valais

    Bonjour, l’adonis bar à été entièrement rénové et est devenu actuellement le RedRose Valais.

  2. #


    Inscription
    avril 2010
    Messages
    158

    Par défaut Martigny : Adonis Redrose, Night Club La Croisée, rues de la Batiaz et du Léman

    Puisque (hormis quelques exceptions comme le Globe), on ne peut pas vraiment dire que nos voisins suisses francophones se bousculent sur ce forum pour nous faire partager les bonnes adresses de leur pourtant si riche (dans l’absolu et surtout pour ce qui nous concerne ici !) pays, il fallait bien que quelqu’un s’y colle.... Voici donc, suite à quelques jours passés dans le Valais, quelques adresses où je me suis un peu laissé aller. La visite commence par Martigny. Et si vous me laissez un peu de temps (pas qu’ça à foutre, moi !), je vous donnerai quelques autres plans sur Sion et Sierre.

    Les « bars »

    - Adonis Bar : place Saint-Michel, 6. Tél. : 076-379-26-10. Ouvert tous les jours de 16 h à 1h. À la sortie de la ville, sur la route du Grand Saint-Bernard. Tout au bout du Bourg, un des vieux quartiers de Martigny. D’ailleurs, cet Adonis Bar fait un peu bistrot de quartier, posé à côté d’une pizzeria, avec une porte largement ouverte dès les beaux jours et une petite terrasse où traînent un peu certaines des filles (pas le top donc pour ceux qui recherchent la discrétion !). L’adonis est une fleur qu’on peut dénicher quand on randonne dans le Valais mais le nom de ce bar fait plutôt référence au bel Adonis de la mythologie grecque : parce que l’Adonis était autrefois un bar … gay !
    Entrée gratuite. Cadre très banal. Petit comptoir rouge avec deux-trois tabourets, une ou deux tables de bois à côté. La serveuse est black, pas sexy du tout, plutôt du genre rigolote à la Whoopie Goldberg. La Heinekein bouteille est à 6 Fs. Les verres pour les filles démarrent autour des 15 Fs. Quatre filles (il y en a, paraît-il, une dizaine le week-end…) s’ennuient entre la salle et la terrasse quand j’y passe en ce début de semaine à l’heure de l’apéro (soit vers les 19 h). Je suis le seul client. Sinon pour les filles, quota habituel de ce genre d’endroit : moitié latinas, moitié filles de l’Est. Plutôt dans la bonne trentaine. Sur les quatre, il n’y en a qu’une plus jeune et à peu près jolie mais elle garde le nez dans son portable le temps que je termine ma bière et, plus tard dans la soirée, reste collée à un mec qui semble bien être le sien...
    Je termine quand même cette soirée en repassant à l’Adonis vers minuit (et le bar s’est un peu rempli). Adonis où je flashe vaguement sur une fille qui vient de descendre des étages : Iris, une grande black, habillée plutôt classe (pas du tout pute, si vous me passez l’expression). Née au Gabon, Iris vit à Lausanne, est venue se « mettre au vert » quelques semaines à Martigny et je trouve qu’elle se distingue vraiment des autres filles de l’Adonis. Elle m’annonce 200 Fs la demie heure, je négocie vaguement à 150. Pour ce prix là, Iris me prévient gentiment, pendant qu’on partage un verre en terrasse, que je n’aurai droit qu’à une fellation mais que, sait-on jamais, puisque le feeling semble passer entre nous… Je suis son très joli cul dans les escaliers jusqu’à sa chambre. Chambre qui est celle d’un ancien hôtel (garni, comme on dit encore ici). Petite mais nickel. Avec une salle de bains dans laquelle Iris me laisse tout le temps que je veux pour me doucher. Et avec, comme souvent dans les hôtels en Suisse, deux petits lits jumeaux. Iris se déshabille pendant ma douche et, merde, ce cul si excitant à suivre dans l’escalier est zébré de vergetures. Même chose pour ses seins, de taille très moyenne… Du coup, je crois que je vais me contenter d’une pipe. D’autant que je suis complétement naze et que les quelques bières englouties dans la soirée n’ont pas amélioré mon état. Pour être franc, je suis même presque surpris d’avoir une érection… Carrément pas partant, je suis : même pour ce 69 qu’Iris me suggère… Je laisse donc Iris me sucer (avec...). Et, merde bis, elle ne suce pas terriblement bien. Pas dramatiquement mal non plus, mais… Bon, j’ai pris mon temps quand même avant de jouir dans sa bouche et de traîner encore un bon moment dans sa chambre à fumer des clopes et à parler des émissions à la con sur M6 ou Direct 8 dont cette fille semble fan. Euh, sinon, il y avait deux, trois accessoires SM accrochés au mur, s’il y a des amateurs…

    - Blue Night La Croisée : rue du Léman, 45. Tél. 027-722-23-59. Ouvert (en principe…) tous les jours de 17 h à 1h. À peine à l’écart du centre, dans le prolongement du quartier de la Batiaz (on trouve sans aucun problème l’adresse sur Google maps avec photos et tout). Une vieille enseigne annonce encore café-restaurant mais il est à l’abandon. Il devait bien y avoir des pompes à essence sous l’auvent de béton. Elles ont disparu. Une adresse de bord de route qui s’est un peu cassée la gueule quand l’autoroute a été tracée plus loin. Le genre d’endroit qu’on rencontre au long de la route 66 ou de la Nationale 7 où, de jour, rien mais vraiment rien n’incite à s’arrêter. De nuit, le vieux bâtiment en longueur s’éclaire de néons, on suit, sur la gauche, l’allée discrètement bordée de tuyas, on pousse la porte (l’entrée est gratuite) et, surprise, on découvre un petit club plutôt classe (même s’il y fait très sombre). Tout le monde a les yeux rivés sur le match de foot diffusé sur écran géant. Tout le monde soit le jeune mec sympathique au fort accent italien qui fait le barman et trois filles. Il doit être 22h et quelque et je suis le seul client. La bière (pression) est à 8 Fs, la coupe pour les filles à 35 Fs. Puisque ces jeunes filles (venues tout droit d’Europe de l’Est) ne semblent carburer qu’au champagne. Enfin, c’est ce qu’elles m’ont toutes les trois réclamé. Parce que posé au bar, j’ai droit au défilé des filles, chacune à son tour : jeunes et mignonnes, ces filles d’ailleurs. La dernière, une petite brune piquante l’était vraiment-vraiment mignonne (je crois qu’elle s’appelait Tani ou un truc comme ça). Mais ce truc de me demander quasiment d’emblée de lui offrir un verre m’a un peu fait chier (et elle avait à peine atteint la vingtaine et, j’sais pas, je l’ai trouvée un peu jeune). Il y a, a priori, un coin plus tranquille avec canapés au fond et des chambres évidemment (dont, du coup, je n’ai rien vu). Ah ouais, les tarifs … 200 Fs la demie heure…

    Les « studios »

    - La rue de la Batiaz : la Batiaz est, avec le Bourg, un des vieux quartiers de Martigny à cinq minutes (par un pittoresque vieux pont couvert ) de la place centrale. Et au milieu de la rue principale de ce vieux quartier (la rue de la Batiaz, donc !), aux n°s 6 et 7, deux maisons, l'une en face de l'autre, accueillent chacune des studios où travaillent des filles « en tour » qui annoncent sur Anibis, Sex4U, Escortromandie, etc (voir la rubrique sites internet Suisse). Les habitants du quartier font apparemment un peu la gueule, ont obtenu à coup de pétitions la fermeture (ou la non-ouverture) de certaines de ces maisons mais ces deux là sont toujours ouvertes. Enfin, ouvertes, il faut sonner. Les pseudos des filles sont sur les sonnettes. J’ai tenté le coup, vers 23 heures, avec une certaine Cleopatra au rez-de-chaussée du 6. Elle m’ouvre la porte, genre « je sors du lit », pas maquillée, les cheveux aussi gras que le visage, habillée d’un tee-shirt qui lui descend jusqu’aux genoux. À part ça, comme on dit, c’est bien la fille des photos (vu la paire de seins qui tend le coton de son tee-shirt…). Sauf que là, pour les raisons évoquées deux lignes plus haut, et bien non. D’autant que Cleopatra m’explique en espagnol (elle ne parle pas un mot de français) que c’est 300 francs suisse la demie-heure, enfin qu’elle va prendre son temps, me faire tout ce que je veux, et que ça peut être 200 Fs la demie heure… J’ai trouvé une excuse bidon et je me suis cassé de cette chambre un peu bordélique…

    - La rue du Léman : au n° 45, juste au dessus du Zanzibar (bar discothèque pour trentenaires tout ce qu’il y a de plus traditionnel – il n’y a pas de filles qui y travaillent, même si certaines de celles qui reçoivent en ville viennent parfois y faire la fête). Il faut grimper l’escalier extérieur sur la gauche (signalé jour et nuit par une applique rouge) pour arriver dans un couloir. De part et d’autre, scotchés sur les portes de bois, les photos des filles sorties d’une imprimante et les descriptifs des prestations écrits à la main sur des bouts de papiers. Filles qui annoncent évidemment aussi sur les sites suisses…

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