- Brasilia America Bar : 14, rue des Échutes. Tél. : 076-633-51-41. Ouvert tous les jours à partir de 17 h. Jusqu’à 1 h ou 2 h en semaine, 4 h le week-end.
Un peu à l’écart de la ville, quand on en sort direction le val d’Hérens, vers le stade, l’hôpital et le golf, à la fois facile et un peu galère à trouver quand on ne connaît pas (mais les progrès récents de la technologie devrait largement vous faciliter la tâche). De l’extérieur, une boite classique, avec un grand parking devant. Le bâtiment (qui ressemble vaguement à certains immeubles Art Déco de Miami Beach) abrite d’ailleurs également une boite classique, le Diam’s, qui partage la même entrée que le Brasilia America (je me suis d’ailleurs demandé comment ça se passait quand, en fin de semaine, les clientèles se mélangent …). Le Brasilia America c’est, pour vous situer l’endroit, un peu l’équivalent d’un club espagnol en Suisse. Entrée gratuite et même pas de portier. Une grosse dizaine de filles quand j’y passe vers les 23 h, un soir en milieu de semaine. Que des Latinas. Pas de canons à en tomber à la renverse, pas de quoi fuir en courant non plus… Et, bon point (enfin, peut être pas pour les timides), ces filles ne se montrent pas trop insistantes, beaucoup se contentant de faire tapisserie sur les banquettes. Trois-quatre clients seulement qui semblent être là juste pour boire un verre en compagnie de jeunes filles légèrement vêtues. La bière (et il y a un petit choix à la carte) est à 6 FS, les verres pour les filles sont à prix raisonnables aussi (tout dépend de ce que la gérante et barmaid verse dedans !).
J’engage la conversation avec Isabel, une petite Mexicaine, fausse blonde, dans la trentaine. Pas la plus belle des filles présentes, loin de là, mais celle qui m’excite le plus dans sa mini robe qui moule une bonne paire de seins et des fesses à l’avenant. Une fille avec des formes donc, dont je me doute bien qu’une fois la robe envolée, elle sera un peu grassouillette. Mais qui s’avère très sympathique, tient une conversation -3/4 en espagnol, le reste en français- pas passionnante mais pas chiante non plus. Et qui, dès que je lui propose un verre, commence à sérieusement me chauffer, se frotte à moi en dansant, effleure mes lèvres avec les siennes, pendant qu’à même pas un mètre, un trans ondule autour de la barre (les trans semblant d’ailleurs être comme l’assiette valaisanne une spécialité de ce canton !). J’ai déjà largement remonté sa robe sur les fesses d’Isabel quand on prend l’ascenseur pour grimper jusqu’à sa chambre. La pelle toute langue sortie qu’elle me roule alors que la porte ne s’est pas encore complétement refermée, son cul que je me vois malaxer dans le miroir de la cabine… dans mon caleçon, ma queue monte plus vite que cet ascenseur qui nous emmène vers le deuxième étage ! Un autre presque interminable french kiss (hé, cette fille embrasse très bien) marque notre arrivée dans la chambre, petite mais agréable (et qui abrite une jolie collection de godes…). Isabel refuse que je lui donne les 150 Fs dont nous avions convenu pour une demie heure (« après »…). Je prends tranquillement une douche et Isabel m’apporte une vraie serviette de bain pour m’essuyer (c’est un détail mais ça compte). Ensuite, ça a été une vraie bonne séance de baise (P.S.E. écrit-on souvent ici) avec une fille certes bien en chair une fois moins comprimée dans sa mini robe (avec un peu de cellulite et une vilaine cicatrice sur un de ses seins) mais qui se donne vraiment à fond et qui sait franchement comment faire plaisir à un mec : je crois qu’elle m’a caressé et léché à peu près partout où ça fait de l’effet. Et d’une bonne pipe (avec) au tour des positions classiques, tout ça a duré largement plus d’une demie heure. Seul truc un peu naze, cette lumière noire (tu sais, le genre qui fait ressortir les pellicules sur tes épaules quand tu es en boite…) posée à côté du lit…
Sinon, il y a pas mal d’autres chambres dans cet immeuble où les filles reçoivent également en journée (et toutes ne descendent pas au Brasilia America le soir). Vous pouvez tenter votre chance en y passant (photos et prestations sont affichées sur les portes) ou faire le tour des sites suisses sur lesquels annoncent toutes ces demoiselles.

Les salons n’étant pas vraiment mon truc (je préfère les clubs où tu peux te poser avec un verre et où tu as le temps de laisser monter ton envie pour une fille), je n’ai pas visité ceux de Sion mais je vous signale quand même celui là dont on m’a parlé -en bien : bon accueil, jolies filles…- :

- Salon Désir : rue des Carolins 28 (c’est au 1er étage, on voit l’enseigne depuis la rue). Tél. : 027-203-16-30. Drôle d’endroit où installer un salon. Quartier pas franchement glamour (on est en pleine zone industrielle) tout sauf discret dans la journée. Un truc marrant (enfin, façon de parler !), le même immeuble, abrite, entre autres entreprises, une fabrique de pierres tombales...