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Discussion : FKK Artemis : Vos récits de visite

  1. #


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    novembre 2006
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    Visite à l'ARTEMIS les 09 et 10 Juin (Dimanche et lundi).
    D'accord ce n'est pas les meilleurs jours mais je n'avais pas le choix.

    Ma dernière visite datait de 2013, j'ai découvert les installations extérieures, mais sinon rien n'a changé hormis le tarif passé de 80 à 90€

    Line-Up: correct mais ce n'était pas la foule du week-end.
    Ration fille/client: 50/50

    J'ai appris que l'Artemis offrait l'entrée à 50€ le dimanche pour les retraités et les chauffeurs de taxi.
    De fait, le public était assez âgé.

    Deux sessions sans intérêt avec une Bulgare noire de cheveux et une Ukrainienne blonde dont j'ai oublié les prénoms.

  2. #


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    juin 2008
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    Suite du post précédent :

    Ah, mes amis, depuis quelques jours, depuis cette dernière visite à l’Artemis je ne cesse de repenser au coït avec la sublime Aissa et ne cesse de vivre dans le regret de ne pas avoir su être plus concis sur mes expériences vécues ce soir-là dans l’antre berlinois de la baise , expériences qui étaient certes nécessaires à la bonne tenue de ce fil mais finalement négligeables – je m’en rend compte maintenant- au regard de l’importance que revêt la nécessité de décrire un peu mieux ce moment d’exception vécue à la belle courtisane. Certes il était important de décrire la baise en public au Kino avec la belle Pénélope, certes il était important de décrire mon approche de l’Aissa ! Mais le plus important est je crois de vous décrire en quoi ce moment fut exceptionnel , afin que vous sachiez la débusquer en temps voulu, la chasser , la conquérir et enfin la mettre à votre tour .

    Je ne recommettrai pas l’erreur de trop développer sur certains moments avec la jolie putain au risque de me faire rappeler par notre Modo adoré la nécessité de concision requise par les règles de ce noble forum . Je me contenterai de vous faire part de deux moments , d’une élégante bestialité, l’approche et la conclusion ayant été décrits dans mon post précédent.

    Tout d’abord ce 69 exceptionnel le long du miroir qui failli lui-même éclater d’excitation ! Le miroir lui aussi se souviendra de 69 incroyable, interminable, à la fois doux et animal. J’ai devant les yeux , un voile , le voile du souvenir , de la nostalgie de ce moment incroyable , où la vulve de la belle était à portée de langue , son beau trou du cul bien serré malgré les innombrables pénétrations anales subies au cours de ses années de bordel, dans le but d’assouvir les joies de son compte en banque mais sans doute aussi , vu l’animalité de cette catin , dans le but d’assouvir aussi ses besoins sexuels , ses besoins de domination car n’oublions pas que la femme sodomisée et une femme dominante . J’ai ce voile nostalgique du souvenir de cette tulipe parfaite ouverte devant moi, au pourtour plus brun que la corolle elle-même. Ma langue a encore la sensation à ce jour de son clitoris enfermé dans son capuchon, se décalottant lentement et gonflant lentement mais sûrement sous les mouvements de rotation de la pointe de celle-ci . Je sens encore la première sensation au goûter de la belle huitre à ma disposition . Une des meilleurs huitres jamais dégustées. Je sens encore ma langue, fouillant cette belle huitre baveuse à l’envie se perdre dans l’interstice existant entre sa perle bien dure et sa capuche de protection naturelle . Je cherchais à la fouiller toujours plus. J’entends encore les gémissement de la roumaine, étonné que son client ait la patience, voire l’obsession de vouloir faire gonfler à en crever ce clitoris pourtant sollicité chaque jours par de nombreux punters et sans doute, le pauvre, un peu blasé par ces sollicitations ennuyeuses et incessantes . Car un clitoris est comme une belle putain racée de bordel : il doit avoir son repos . J’entends encore avec émotion , les ahanements de la sublime garce occupée à me travailler la tige de sa bouche refaite, essayant de son concentrer sur son boulot mais déconcentrée par son propre plaisir montant inexorablement . Je sens encore la peau de son sublime cul bronzé frissonner de plaisir à chaque fois que ma langue insatiable venait à modifier son parcours dans les méandres chauds et humides du millefeuille roumain, surprenant à chaque fois la belle catin. Je revois encore ce spectacle incroyable de nos deux corps enchevêtrés par le désir commun de nous donner du plaisir mutuellement , le spectacle de ces deux énormes boobies gonflés de désir et de passion que je malaxait en alternance avec mes caresses sur ses belles fesses. Mes mains , ma langue , mes yeux ne savaient où donner de la tête. Nous étions en pleine communion . Le rapport commercial pour quelques minutes était oublié, seul notre plaisir nous guidait dans une symbiose que je ne connus personnellement que rarement dans un lieu où l’horloge pointeuse devient hélas le métronome qui rythme les passes en chambre, car oui, au Kino, les petites prostituées sont généralement plus attentives à bien se donner en spectacles et à parfaire leur réputation et n’hésite pas à gratifier le client de quelques minutes de baise en plus . Comme expliqué et relaté dans mon post précédent après l’expulsion de sa cyprine dans ma bouche, qui attendait anxieusement de recueillir et d’enfin goûter la substance que tout homme normal considère comme un liquide divin, je le relevais la belle garce , et celle-ci après un échange de baiser qui tenait plus du roulage de pelle que du baiser Hollywoodien (tout en lui malaxant ses énormes morceaux de silicone pendouillant pour attirer mes mains qui ne demandaient que ça) , me confia « My God ! This did not happen to me very often » ! C’était le paradis …notre paradis ! Nous étions unis par les liens du plaisir sexuel.

    Le deuxième moment incroyable que le voile de la mémoire évoqué plus haut me rappelle obsessionnellement depuis cette chambre avec Aissa , fut cette position du crabe devant ce même miroir . La belle putain roumaine dont j’étais déjà fou amoureux après ces longues minutes d’enchevêtrement soixante-neuvesque et après avoir joui abondamment dans ma bouche en ahanant comme une belette en rut , se reposait quelques instants en m’astiquant le jonc au risque déclencher le reflexe fatal , et de me faire perdre ainsi un éjaculat précieux et une pénétration promise. De temps en temps je l’attirais à moi tout en observant ce corps magnifiquement hâlé, aux formes parfaites, ce corps que peu de putains de bordel peuvent se targuer de posséder, mais que je n’allais pas tarder à posséder moi-même. Je vous passe les missionnaires, et autre levrettes ducales, les positions sphinx entreprises pour alterner nos sensations et se découvrir à chaque seconde un peu mieux… Quand je repense à cette approche au bar où la belle catin jouait avec mes nerfs sur de l’effet de sa beauté sur mon désir, j’en viens presque à pleurer tellement ce moment fut magique . Je me concentre ici sur le souvenir cette position du crabe qui mis un terme notre coït et eu raison de mes résistances .

    Imaginez-vous la sublime liane bronzée aux seins absolument énormes montée sur moi , moi allongé sur le dos de notre couche (hélas pas nuptiale), elle-même assise puis couchée sur mon ventre en train de se faire mettre ainsi devant le miroir . Imaginez ses énormes loches siliconées pendants de chaque côtés de son buste par leur poids inimaginable , et appelant mes mains à les soutenir, à les malaxer, à les ramener l’un vers l’autre . Imaginez ce couple putain/client unis dans un bonheur, bonheur dont l’essence même dépassait toute transaction financière. Imaginez ce couple s’observant par miroir interposé . Je me rappelle cette question posée ingénument par votre serviteur pendant la pénétration: « Do you see how beautiful we are ? » , et la belle roumaine de répondre « yes ! it is gorgeous . et je continuais de longues minutes à te la mettre ainsi , coït élégant et bestial. Vous pouvez également imaginer mes mains chargées à la fois de malaxer les deux mamelles mais aussi chargées d’établir un mouvement régulier vertical du corps de la belle afin de rythmer la pénétration . Je croisais une dernière fois ses magnifiques yeux bruns révulsés. Avant de venir en beuglant comme un porc, je la mis ainsi en la faisant couiner par saccades: car oui il fallait que je te la mette , il fallait que je te la pénètre, que je possède cette sublime femme qui à ce moment précis n’était plus une putain mais la femme que je désirais le plus au monde .

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  1. #


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    octobre 2006
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    FKK Artemis : Vos récits de visite

    Copie d'un message de Stano (octobre 2005):

    En me dirigeant vers le kino (c'est bien là que j'ai le plus de chance de rencontrer Tania), je talonne sans le vouloir une blonde dont le petit cul bien ferme se dandine devant mes yeux ... wouaw . Et puis voilà que brusquement elle se retourne. Alors là .... ... incroyable ! Quelle paire de nibards ... Les amis, devant moi, à 1 mètre, et toute nue, s'offre à mes yeux, en 3 D et en live, la plus belle femelle que j'aie jamais vue de toute mon existence. Plus érotique et plus sensuelle que toutes les filles de Playboy et de Penthouse, de ce siècle et du siècle passé, réunies !!!! Pfffffffffffffffffff quel rêve insensé. Une poitrine incroyable, volumineuse, ferme et apparemment naturelle qui surmonte une silhouette fine à souhait, des hanches bien galbées, un petit minou à croquer, des jambes qui, ... qui, .... un visage d'ange, des yeux moqueurs qui me fixent, des lèvres pulpeuses qui sourient en coin .... et savez-vous ce qu'elle me dit ?
    - "Hass du lust in mich" (As-tu envie de moi) ?"
    Là je suis mort, scotché la bouche ouverte ... après quelques secondes elle me demande :
    - Wie heiss du ?
    - Hem, Stano ... und du ?
    - Marina, ich komme auss Rusland, St Petersburg ...

    - Marina, veux tu m'accompagner au kino ...
    - Naturlich ...
    Et là je n'en mène plus large ... en la suivant je pense : "va falloir assurer maintenant" !
    Pour ceux qui ne sont pas familiers des fkk, le kino (ou cinéma porno) est l'endroit idéal pour faire connaissance et entamer les préliminaires. Donc là, sur une couchette, elle me déclare qu'elle sait très bien sucer ... jusqu'au bout ... que je peux éjaculer dans sa bouche si je le désire ... ou baiser dans toutes le positions et me demande ce que je veux faire. Un peu déstabilisé par des mots aussi crus dans la bouche d’une telle déesse, je répond : "un peu de tout ... sauf l'anal".
    Et voilà, c'est parti pour les petits bisous sur tout le corps, les embrassades à pleine bouche et, bien sûr, pendant ce temps j'en profite pour malaxer ses fabuleux lolos ... Damned, c'est vrai, ils sont 100 % naturels, quelle texture !
    Ensuite Marina s'agenouille devant moi et commence à me sucer ... divinement !

    Après quelques minutes de ce régime il est grand temps de rejoindre une chambre et je la suis donc à travers le club … en bandant comme un âne, mais, heureusement, la taille entourée d’une serviette.

    Dans la chambre c’est l’extase … En y repensant, j’ai une envie folle de sauter dans ma bagnole et d’avaler les 350 km qui me séparent de Burgolzhausen …

    Je prend d’abord le temps de l’embrasser, debout, en pétrissant ses fesses adorablement douces et fermes. Elle, les seins collés sur ma poitrine, me donne des petits bisous dans le cou, me lèche le lobe de l’oreille et me caresse les cheveux … La plus belle femme du monde est là, dans mes bras, et se comporte comme si elle était follement amoureuse. Et pourtant, je ne rêve pas.

    Ensuite elle se couche sur le dos, écarte les jambes … et je passe 10 bonnes minutes à lui lécher le minou et titiller le clito en continuant à lui malaxer assidûment la poitrine… Seule petite déception, elle ne se laisse pas doigter …
    Et puis c’est l’enchaînement classique mais toujours aussi divin : fellation nature et superbement bonne (sa langue de velour explorant et s’attardant dans tous les plis et replis autour de mon gland)… 69 de légende … pose du capuchon et première cavalcade en cow-girl, ses seins magnifiques se balançant à portée de mes mains et de ma bouche.

    Chers collègues, avez-vous déjà aussi constaté comme moi que bon nombre de femmes, y compris des professionnelles aguerries, ont des difficultés à bien maîtriser la gymnastique de la cow-girl. Question d’équilibre, je crois et de souplesse du bassin, des hanches et des cuisses.
    Mais Marina, après quelques mouvements lents pour bien huiler la mécanique se met tout à coup à monter et descendre sur moi à une vitesse inouïe ! What a fucking bitch ! Jamais rien vu de pareil ! Cette russe n’est pas seulement hyper belle, mais elle est aussi hyper bonne … Une vraie perle rare, tant il est vrai que ces deux qualités ne sont que très peu souvent réunies dans la même femelle.

    Après quelques secondes je suis déjà au bord de l’explosion … et je l’arrête pour passer à une autre position, ma favorite, la levrette.
    Evidemment, avec une vision paradisiaque sur son cul de rêve, ses reins arqués à l’extrême, son dos caressé par ses cheveux d’ange, et en entendant ses petits soupirs haletants (juste ce qu’il faut, pas trop bruyants), ça n’a pas duré longtemps avant que je ne craque …
    C’est ça le seul problème avec une fille de cet acabit : difficile, vraiment très difficile de faire durer le plaisir … j’serai jamais acteur porno, moi …

    Bien sûr, j’aurais pu demander une extra ball … mais figurez-vous que je n’y ai même pas songé … j’étais sur un nuage, dans un autre monde, je n’arrivais pas à croire ce qui venait de m’arriver … et pourtant, croyez-moi, j’ai déjà pas mal d’heures à mon compteur …
    Nous avons encore parlé pendant quelques minutes en se caressant mutuellement … puis elle se leva … the game is over …
    Je n’ai pas la moindre idée du temps que nous avons passé en chambre, mais, j’en suis certain, ces quelques dizaines de minutes hanteront encore longtemps mon esprit et alimenteront mes fantasmes …

    En résumé :

    Nom : MARINA
    Origine : Russie (St Petersbourg)
    Age : 23 ans
    Cheveux : blonds et longs
    Poitrine : D naturelle
    Taille : +/- 1.65 m
    Silhouette : mince
    Visage : 10/10
    Corps : 10/10
    Fellation : 9,5/10
    Baise : 9,5/10
    Cunni : 10/10
    Enthousiasme : 7/10
    Autres caractéristiques : embrasse du bout des lèvres, ne se laisse pas doigter
    Cote générale : 9,5/10

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