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Discussion : Arnaque

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    août 2008
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    Par défaut Arnaque à Kuurne...

    Où le parfois classique dans un bar-club en Belgique…bon, c’était il y a quelque temps.
    Pour cette raison, je ne l’ai pas répertorié dans la rubrique Flandre Occidentale…

    Il est presque 19h.
    Je n’ai pas envie de rentrer chez moi. L’appel de la Belgique se fait sentir dès que je prends la rocade en provenance de Valenciennes direction Gand-Bruxelles.
    Je ne souhaite aller traîner du côté de Wevelgem, je connais trop ce terrain de jeu, j’ai besoin de nouvelles sensations. Bien que « Youppie » n’ait pas fait encore son apparition dans ma vie, j’ai entendu parler de Kuurne…
    Quand j’arrive sur cette nationale, je suis émerveillé par le nombre d’enseignes lumineuses, de tous ces établissements que je ne connais pas encore, qui ne demandent qu’à être prospectés.
    Ce type de soirée peut se dérouler de trois manières suivantes :
    - La soirée « loose » où je passerai de club en club, jamais convaincu ni par le lieu (hygiène) ni par les hôtesses. (probabilité : 44%)
    - La soirée « semi-loose » où je vais hésiter en espérant trouver mieux ailleurs pour finalement revenir sur mes pas à moitié convaincu, pour une soirée au final décevante (probabilité : 55%)
    - La soirée « tip-top », que vous pouvez compter sur les doigts d’une main, celle qui vous laisse des étoiles dans la tête …(probabilité : 1%)
    A travers toutes ces visites dans ces clubs, il y a un paramètre commun contre lequel il faut lutter en permanence pour ne pas se retrouver avec un mal de crâne épouvantable le lendemain, en regardant ses facturettes de carte bleue ; c’est l’Arnaque…
    L’objectif dans un club reste quand même de vous faire consommer le maximum de champagne.
    Je dirais même plus, le côté GFE tant recherché par certains d’entre nous auprès des hôtesses ne se développera qu’au fil des bouteilles alignées les unes après les autres…c’est tout le talent quasiment artistique de certaines filles…
    J’ai choisi le Malibu Club comme premier bar, où je vais aller poser mes fesses. Je ne sais pas pourquoi mais cette enseigne m’attire…
    Le malibu, c’est la boisson de ma jeunesse étudiante, celle où je prenais des cuites avec mon meilleur pote sur le parking de la Cathédrale d’Amiens chaque samedi soir, dans ma 104 style Z (une fois sur deux, l’un apportait la bouteille d’alcool, l’autre le jus d’orange, les gobelets et on inversait…)
    On riait alors bêtement, rapidement saouls. On parlait gonzesses, de culs, de seins, de pipes…On bandait dans nos slips en s’inventant des histoires pour faire fantasmer l’autre. On se donnait du courage avant d’aller attaquer la belette en boite, où nous revenions systématiquement bredouilles.
    Un soir, en rentrant de la boite de nuit, alors que je roulais à 140 km/h, complètement bourré, sur la nationale à l’entrée d’Amiens, je n’ai pas vu le nouveau terreplein en construction dans cette zone de chantier, j’ai freiné trop tardivement et j’ai senti la Peugeot s’envoler avant de s’écraser de longs mètres plus loin dans un monticule de terre. La voiture était foutue mais nous en sommes sortis vivants sans une égratignure. A un mètre près, je percutais un engin de TP.
    Cela s’appelle : « passer entre les gouttes… »
    Je n’ai plus jamais bu de Malibu depuis ce jour-là.
    Voilà, à quoi je pense, quand je sonne à la porte d’entrée après avoir garé ma voiture sur le discret parking perpendiculaire à la route principale (j’en ai plus rien à foutre, je suis divorcé).
    Je trouve que c’est le moment le plus excitant. Tous mes sens sont en alerte, notamment l’ouïe ». Un joli bruit d’escarpins qui claque en se précipitant (j’adore !) avec une douce voie féminine souriante qui chante « J’arrive ! » est souvent un heureux présage !
    Là, rien…pas un bruit ni même un frottement…
    Je vais sonner de nouveau quand j’entends la clinche du judas qui s’ouvre. Quelqu’un m’observe sans un bruit ! Cela dure un temps interminable mais la porte finit par s’ouvrir…
    Vous voyez Josiane Balasko dans « Gazon maudit » ? Et bien, c’est la même ! En pire ! Une grosse flamande lesbienne, cheveux gris courts, tee-shirt blanc-gris immonde avec la forme de deux pies qui tombent à 180 degrés, un jean crasseux aux bords retroussés à la Fonzie dans Happy Days… (qui s’en rappelle ?)
    Je murmure un gentil « bonsoir »…elle ne me répond pas. Elle se contente d’hausser les épaules tout en s’écartant pour me laisser entrer. Pourquoi n’ais-je donc pas fait demi-tour ?
    Par contre, le club est FAN-TAS-TI-QUE ! L’un des plus beaux dans lequel je sois rentré. On traverse d’abord une salle de restaurant avant d’atteindre un long bar dans une salle qui ressemble plus à une discothèque. Il n’y a personne. Je demande à Miss Broute-Minou s’ils font également resto. Elle se contente une nouvelle fois de soupirer sans me répondre (c’est vrai que ma question est particulièrement conne) pour finalement me dire : « vous buvez quoi ? »
    Cela fait donc partie des établissements où l’on doit consommer pour voir…
    Je commande une Jupiler à 10 €.
    « J’vous préviens : je n’ai qu’une fille ici. J’vous la présente ? » Me demande-t-elle agressivement
    « Ecoute, ma Beauté, ce n’est pas la peine. J’ai un gros coup de cœur pour toi. Prenons direct une chambre à 200 roros. Et n’oublie pas d’attraper ton gode ceinture attaché au porte-manteau avant de monter… »
    Ou « Quoi ? Madame ? Vous me choquez ! Je ne suis pas là pour ça ! Je suis en fait critique gastronomique spécialisé dans la dégustation de Jupiler à travers le monde. Je trouve d’ailleurs votre prix de vente particulièrement audacieux, si je peux me permettre… »
    Bien évidemment, je préfère murmurer un timide : « Ben, oui…. »
    Miss Im « Monde » retraverse le bar, le restaurant pour aller tout au fond (mon Dieu que c’est loin) ouvrir une petite porte. Elle revient quelques minutes plus tard en aboyant toujours aussi gentiment : « Elle arrive. Elle finit de se préparer. »
    Je vois déjà le tableau : la nana dans l’arrière boutique, en robe de chambre, en train d’alterner clopes/chewing-gums devant des séries débiles. Avec ma chance, elle ne se sera pas lavée depuis un bout. Elle puera la cigarette, le foutre et la foufoune sale…en plus, elle sera moche, avec du percing et des tatouages partout…
    La porte s’ouvre…au début, je ne distingue qu’une forme lointaine…mes yeux cherchent, clignent et s’écarquillent.
    Oui, je dis bien OUI, sans aucun doute, c’est à mes yeux l’une des plus belles filles que je n’ai jamais vue dans ma vie.
    Grande, blonde aux cheveux de boucle d’or, svelte mais avec de splendides formes dont une poitrine parfaitement naturelle (90B/C à première vue, naturelle parce que ses seins suivaient les mouvements de sa gracieuse démarche et n’avaient pas la forme de deux obus plastifiés qui vous observent en permanence…), un visage d’ange…une poupée non pas dans le sens péjoratif du terme…une merveilleuse poupée…
    Une tenue parfaite : longue robe de soirée noire qui suggère les bretelles en dentelle de son soutien-gorge, des escarpins…
    Quant elle s’approche, je vérifie l’hygiène en un coup d’œil par un détail souvent implacable : la propreté des ongles (pieds et mains). Ceux-ci sont délicieusement entretenus et vernis avec goût.
    Quant elle s’assoie sur son tabouret, elle prend appui sur ma jambe en laissant trainer une main qui ne quittera plus mon genou, j’ai besoin d’un dernier test, vital pour moi, son odeur…
    Je respire à plein poumon, je sens des effluves sucrées de fleur d’oranger, de miel et d’amande…
    J’ai compris : je vais rentrer dans la troisième catégorie, celle des 1% de chance.
    Ma carte bleue essaye de se planquer dans mon veston, elle sait qu’elle va changer de couleur.
    Je ne suis pas pris par le temps. Personne ne m’attend. Je savoure les dernières gouttes de ma Jupiler.
    Elle s’appelle Helena. Elle est russe, de Saint-Pétersbourg. Elle est en France depuis près de trois ans et parle la langue de Molière couramment avec un délicieux accent qui me fait vibrer dans toutes mes tripes. Entre slaves, nous nous comprenons…
    Je sens à son sourire que le trouble est réciproque. Elle est apparemment aussi contente que moi.
    Elle respecte les 3 minutes de social-time avant de demander avec son sourire ravageur si elle peut partager un verre avec moi. Alors que je m’oriente prudemment pour un Piccolo (50 € quand même), je sens sa main qui commence à me caresser le genou. Elle s’approche de moi, en rapprochant son tabouret, m’enlace pour me chuchoter à l’oreille avec le bout de sa langue qui effleure mon lobe : « Prenons une bouteille, mon Chéri…j’ai VRAIMENT envie de faire connaissance avec toi. Tu me plais énormément… »
    Je déteste quand on m’appelle « Mon Chéri ». C’est pour moi d’une grande superficialité et toujours d’un mauvais présage. Un « Mon Chéri » est précieux et indispensable dans ma vie amoureuse. Pas dans ma vie sexuelle.
    Mécaniquement, je sors mon portefeuille en demandant les prix des bouteilles. Je ne veux paraitre ni radin, ni pigeon alors je prends le deuxième prix le plus bas, à 200 €, pardon 220 € parce que je paye avec une CB…
    Miss Im « Monde » disparaît probablement dans une grotte…
    Nous nous installons dans un coin cosy ouvert (mais nous sommes seuls), j’ai vraiment l’impression d’être en boîte de nuit. Helena est somptueuse, d’une grâce et d’une classe incomparables. Nous levons nos verres pour boire une gorgée et nous reposons nos coupes. Helena m’embrasse. Mon Dieu ! Quel baiser ! Langue profonde ! Passionné ! Je fonds tellement j’adore…
    Helena reprend sa coupe et se lève : « Mon Chéri, j’ai oublié de mettre de la musique. Tu aimes quoi comme musique ? » (j’ai dû répondre de la musique cool, des slows ou un truc comme ça…)
    Je la vois au bar allumer la chaîne. Elle revient 5 min plus tard, avec sa démarche chaloupée de princesse russe qui me chavire…Bob Sinclair hurlant dans les enceintes et…sa coupe vide.
    (« Je suis vraiment un habitué des bars-clubs belges, je connais toutes les techniques » ne puis-je m’empêcher de penser…)
    Pour détourner mon attention, elle prend ma tête dans ses mains et m’embrasse de nouveau. Elle rentre sa langue dans mon oreille (j’en gémis), elle me mordille les lobes (je hurle de plaisir) puis elle se ressert…
    Elle se relève de nouveau.
    « Excuse-moi mon Chéri, je me suis trompé de musique, tu voulais de la musique cool, je crois, c’est n’importe quoi et beaucoup trop fort ! »
    « OK Helena mais tu laisses ta coupe ici, s’il te plait. C’est vraiment du gâchis, tu sais. On a le temps, non ? Cela fait à peine 5 min que nous sommes installés. »
    Un voile traverse ses yeux. Avec le recul, je dirais un voile de méchanceté, une brusque apparition de sa vraie nature…avant de sourire de nouveau, de tenter de retrouver son masque angélique.
    Elle revient. Sa démarche est moins assurée. Elle m’embrasse de nouveau. Mais c’est un peu moins chaleureux. Elle essaye de se reconcentrer, de retrouver la face…elle déboutonne ma cheville, rentre ses mains, commence à me titiller les tétons. Elle entreprend un délicieux massage buccal de mon torse. Elle se relève, elle siffle sa coupe avant d’immédiatement se resservir…(j’en suis à ma deuxième).
    On parle un peu. Elle m’explique que ce n’est pas son vrai métier. Elle en a un autre à Paris. Elle est en fait escort-girl. J’explose de rire dans ma coupe. « Mais c’est quoi la différence ? ». Elle ne sait pas me répondre mais je l’ai froissée. Elle me dit que la concurrence est rude à Paris et qu’elle a besoin de faire une semaine par mois en club pour se renflouer. Elle veut absolument que je l’invite à passer la nuit avec elle lors de mon prochain déplacement parisien.
    « Je vais tomber amoureuse. Tu me plais mon Chéri. D’habitude je demande 2000 € pour une nuit complète mais toi, je ne te demanderai que 1000 ou 1200€. Allez, on dit 1200 €, tu es d’accord ? »
    Depuis que nous nous sommes installés, j’ai l’impression de glisser sur une piste noire dangereuse. Cette fille me plait physiquement, j’aime son côté GFE, mais elle finit par me dégoûter…je souhaite juste passer un moment agréable, c’est tout ! C’est compliqué ? ». Cela fait 15 min tout au plus que je me suis assis dans le salon et la bouteille est presque vide…elle presse et accélère…elle se ressert d’ailleurs la dernière coupe avant de retourner la bouteille dans le seau. Je me demande comment elle va s’y prendre pour me faire commander la deuxième bouteille. J’ai bien l’intention de ne pas me laisser faire.
    Elle repose de nouveau sa coupe. Elle a retrouvé une certaine fougue dans ses baisers. Pendant qu’elle m’embrasse langoureusement en s’occupant notamment de mes oreilles, elle ouvre la braguette de mon pantalon où elle y rentre sa main comme un serpent fouineur. Elle tombe sur mon sexe dur. Je sens chez elle un frisson de satisfaction. Elle doit se dire que cela va être « fingers in the noise » pour la deuxième bouteille de champ. Elle évite de me branler (j’en souris, ce serait trop con que je jouisse, elle a dû avoir de mauvaises expériences).
    Elle me masse les testicules tout en laissant trainer un doigt annonciateur de futures promesses près d’une autre zone érogène.
    Le poisson est ferré. « C’est le moment » doit-elle penser.
    « Mon chéri, je remets une deuxième bouteille…tu peux préparer ta CB ? »
    Et nous voilà parti dans une longue discussion chargée d’électricité où je lui explique qu’il est hors de question de mettre une deuxième bouteille…elle essaye de contrer tous les arguments mais je suis déterminé. J’invoque la sécurité routière, la peur de perdre de mon job et surtout je lui explique je ne suis pas Crésus…je finis par me redresser et me rhabiller. Pas un instant, elle me propose une chambre. Elle boude.
    « Tu es comme les autres alors que j’ai des sentiments pour toi… »
    Je souris : jeu d’actrice de série B, assez médiocre.
    Alors que je me dirige vers le bar, elle m’empêche de partir. Voilà, nous y sommes ! Nous parlons chambre ! 150 € la demi-heure, 200 € l’heure. Je ne veux pas mégoter pour 50 € même si je sais que je ne vais pas rester 60 min. Elle appelle sa matrone. Elle essaye de me vendre un supplément de 50 € pour aller dans une chambre avec un écran géant qui diffuse des films de culs.
    « Non, regarder des mecs qui baisent, ce n’est pas mon truc ! « lui ais-je répondu.
    J’en reprends pour 220 € avec les frais de carte. Juste au moment de payer, Helena se fait soudainement plus câline. Elle m’enlace, elle m’embrasse fougueusement. Cet élan est justifié par sa nouvelle et pressante demande :
    « Mon Chéri…on reprend une bouteille là-haut. A deux. Tu restes une heure. On aura le temps. Je vais te faire plein de trucs inimaginables avec le champagne ! »
    Pas question. Avoir le sexe qui pique après une fellation au champagne, je l’ai déjà fait…
    On monte. Elle est devant. Elle fait la gueule.
    La chambre est digne d’un hôtel 4 étoiles. Très propre mais décoré avec goût…à l’image du club.
    Helena se déshabille nonchalamment, me désigne la salle de bains où je dois me toiletter tout seul pendant qu’elle m’attend lascivement sur le lit.
    L’acte est froid et mécanique. Elle refuse de m’embrasser. Elle donne l’impression de faire simplement son devoir. Ni plus, ni moins…
    Son côté GFE s’est évaporé dans nos dernières bulles de champagne.
    Au bout de 20 min, je me rhabille pour quitter cet endroit. Le visage d’Helena est devenu dur.
    Avant de redescendre, je lui pose clairement la question sur son comportement.
    Sa réponse est limpide :
    « Je ne suis pas une fille que l’on baise pour 400 €. Moi, je n’en gagne que 200 sur les 400. Ici c’est un club à champagne. Il y a un minimum de respect à avoir…on n’est pas à Wevelgem! »
    Je n’en reviens toujours pas…
    Je n’ai jamais remis les pieds ni dans ce club, ni sur Kuurne…

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  1. #


    Inscription
    février 2012
    Messages
    62

    Par défaut Arnaque

    Bonjour à tous,

    Je ne sais pas si cela est considéré comme du racolage mais voici ce qui m'est arrivé hier :

    Je prends contact lundi avec une nana de 21 ans sur un site, elle s'appelle A.

    Le feeling passe bien et je décide de la faire venir chez moi et lui prends ces billets de train aller retour pour hier.

    Elle devait venir durant une douzaine d'heures.

    Vendredi soir, elle me recontacte me disant qu'elle a une super proposition à faire, c'est à dire d'invite une de ces copines ( nommée J.) à venir avec elle pour quelques petits billets de plus, je ne dis pas non et je me laisse avoir....elles me disent que cela sera mieux avec 2 nanas, qu'elles ont préparé pleins de petits shows,etc...

    Hier je vais les récupérer à la gare, on va manger un petit morceau dans un resto puis on rentre chez moi.

    Dans la voiture, la proprio de la nana A. aurait essayé de l'appeler concernant son appart sur paris et une fois arrivée chez moi, il faudra qu'elle la recontacte.

    Bref on arrive chez moi, on boit un verre et je leur file leurs petits cadeaux.

    La nana A. sort pour appeler sa proprio sur le palier de mon appart puis au la nana J. la rejoins 5 min après. Je ne m'en fais étant donné qu'elles ont laissé leur sacs de fringues à l'appart.

    Au bout de 15 min, je me demande ce qu'elles font, je regarde dehors et ne les voit pas.

    Je les rappelle mais aucune réponse, j'envoie texto et pas de réponse.

    Au bout de 30 min, elles me répondent qu'elles cherchaient un endroit pour capter du réseau et qu'elles se sont perdues.

    Elle me prennent pour un con pendant une bonne trentaine de minutes en me disant qu'elles sont à un endroit puis à un autre pour me dire qu'au final qu'elles se sont perdues; qu'elles ont paniqué et qu'elles rentrent chez elles, avec l'argent bien sur......

    Je les rappelle, la nana J. me répond et m'avoue qu'au final elle est mineure et bim plus de batterie...

    Jamais je n'avais été au courant qu'elle était mineurs car lors de l'appel du vendredi soir la nana A. m'a toujours dit qu'elle avait 22 piges puis même dans les textos qu'elles m'avaient envoyé, elle me l'a bien stipulé....

    Puis-je faire quelque chose contre elles?

    En sachant que j'ai le nom, prénom et date de naissance de la nana A., et ces numéros de téléphones...

    Merci de votre aide.

    Si c'est pas le bon file, merci de me dire ou mettre cela....

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