J'ignore si ce phénomène touche la Belgique aussi, mais en France, notre pays reçoit quotidiennement son lot de prostituées en provenance notamment d'Espagne et d'Amérique latine. Il y avait déjà celles provenant de l'Est généralement organisées en réseau mais les prostituées locales ont des cheveux blancs à se faire car de plus en plus de concurrence : les occasionnelles pour les fins de mois, les étudiantes pour se nourrir et aussi les propriétaires de logement qui "offrent" un logement contre des services sexuels !
A tout cela, la crise économique de l'UE appauvrira les consommateurs qui rencontreront donc moins nos amies escortes ou autres appellations
La crise touche aussi le secteur de la prostitution, rapporte Sud Presse. Les "bars à serveuses" disparaissent et les prostituées se font une "concurrence déloyale". Mais, quelques fois, des femmes plongent dans la prostitution pour contrer la crise.
En effet, de nouvelles filles vendent leur corps, remarque la police, citée par Sud Presse: les femmes qui souhaitent boucler leurs fins de mois.
Le commissaire Metens, de Gembloux, détaille: "Je peux vous citer l'exemple d'une femme d'ouvrage qui ne parvient pas à nouer les deux bouts et qui se prostitue en fin de mois le week-end. On a même vu une jeune Française payer ses études universitaires en travaillant 3 semaines par an dans un bar. Ses parents pensent qu'elle part en stage."
Une femme d'ouvrage se prostitue pour arrondir ses fins de mois.
Alors prêt à augmenter les petites salariées pour qu'elles ne vendent pas leurs charmes?
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