Année 2023 et une récente découverte !
Après une visite en demi teinte au Grimberg, il ne faut qu'une petite poignée de kilomètres pour me rendre au Salomé et y faire une découverte.
Je savais pertinemment qu'il était tôt pour arriver au club, mais je me suis laissé la chance d'attendre la présence d'une vingtaine de filles (jusque 20h30) pour avoir une idée plus concrète. Nous sommes un vendredi et j'imagine que ça décollera aisément en soirée ?
Au début, je découvre les lieux : ça s'apparente à un labyrinthe mais on comprend vite que tout tourne autour des deux salles principales.
Les extérieurs sont plutôt rustiques (ou vieillots), une forte odeur de friture se fait sentir dans la cour, je comprendrai pourquoi ensuite.
A l'intérieur, encore aucune musique, je me trouve d'abord dans une première salle d'environ 50m² (qui comprend un sauna), c'est un peu vétuste, ajouté au fait qu'il ne fait guère chaud et les quelques filles présentes viennent même se réchauffer dans le sauna afin de gagner quelques degrés. Un léger bruit de fond alterne avec les décibels de télévision diffusent la RAI italienne. Je tente de me reposer dans le petit espace de repos, mais la télévision m'en empêche.
A cette heure, trois ou quatre filles (d'une équipe C) sont présentes et je semble être le premier ourson en place ! Elles ne tentent même pas de m'approcher ou de nouer le contact, elles semblent encore passives.
Dans la salle principale (d'environ 80m²), c'est davantage réussi : une ambiance plus nocturne qui tente de décoller, en vain. Beaux canapés en place.
Quelques filles arriveront mais, toutes en surpoids (ou alors typées, du style Rose/Babylon). Certaines tentent d'accrocher un regard, une communication, mais elles ne sont pas du tout à mon goût.
Ce n'est que vers 15h que la musique a démarré dans cette salle.
Alors que le repas est prévu à 14h, il est passé 15h qu'une dame viendra déposer au coin repas (vieillot, lui aussi) une grande manne de nuggets industriels, à côté de quelques légumes, disposés ci et là. C'est tout ce qu'il y aura à grailler jusqu'au soir. Les quatre nuggets avalés, j'ai même eu légèrement mal au ventre, mais je ne veux pas noircir le tableau.
On est loin des images alléchantes des buffets présentés sur la page internet.
Au soir, seront ajoutés des frites (froides) et des pillons de poulet (industriels, eux aussi). Enfin, une soupe chaude et fortement salée, m'a rempli l'estomac.
J'ai déambulé, encore et encore... J'ai aperçu jusqu'à une bonne vingtaine de filles. Deux ou trois bulgares sont venues me parler, dont une, Jessy, qui avait encore un visage agréable, un peu grassouillette (et il m'a semblé, pas de seins) mais qui semblait dépitée d'être là.
En soirée, trois ou quatre oursons turcs seront de la partie. L'un deux s'approche d'une fille au canapé et j'aurais pu compter cinq petites secondes (chrono) avant qu'ils ne se dirigent en chambre.
Plus tard, un autre ourson, non loin du bar, croise une autre demoiselle et, d'un simple hochement de tête, les voilà dirigés vers une chambre, la fille avançant deux mètres devant lui. Ambiance !
Vers 20h30, en quittant les lieux et ayant vu tout ce qu'il fallait voir, je croise une dernière fois le regard de Jessy, la mine déconfite, se faire embarquer en chambre par un ourson turc.
Voilà une découverte « intéressante » qui n'amènera pas de récidive me concernant.
Je décide donc de faire la moitié du chemin retour et me poser au Samya, ou l'ambiance (et le nombre de filles) sera à l'opposé du Salomé.
La « Danse des Sept Voiles » sera donc pour plus tard !