Sandra, je l'ai connue à sa meilleure période, de août à décembre 2006 au 192. C'est bien simple, elle est de toute les filles que j'ai connu dans la rue, celle qui a la plus grosse et la plus belle paire de seins naturels, une denrée rare dans cette rue... Pour le reste, elle était mince avec un joli petit cul, un tatouage dans le dos.

Mais je prefère en revenir à sa poitrine, qui était la plus belle partie de son anatomie. Lors de ma première visite chez elle, j'ai passé bien dix minutes à caresser ses seins, à jouer avec, ils étaient gros, fermes, doux, soyeux et quand je passais mon visage dessus, ses tétons tout durs me grattaient le visage. Ca me changeait des poitrines siliconées soit trop dures, soit trop douloureuses pour la fille. A l'inverse, les poitrines naturelles sont souvent trop molles, flasques et pendent jusqu'au nombril de la fille. Mais là, rien de tout ça, la perfection mammaire juste à portée de mes mains et en plus, ils sont naturels. Après, j'ai pu lui lécher la chatte (j'étais déjà adepte des passes à 100 € à l'époque), puis passer à la pipe.

Puis, au moment de passer au 69, voilà que la sacro-sainte minuterie sonne la fin des hostilités. C'était de ma faute, je me suis trop acharné sur ses seins, j'ai passé trop de temps à jouer avec, la suite allait être pour la prochaine fois. Après être sorti du 192, j'avais encore la sensation de ses tétons durs qu'elle frottait sur mon visage...

Quand elle est passée au 194 (jusqu'à juin 2010, date à laquelle je ne l'ai plus jamais vue derrière sa vitrine), ça a été le début de la décadance pour elle, elle a commencé à porter des tenues qui ne soutenaient plus sa poitrine correctement, donc ils ont commencés à pendre de plus, elle a aussi commencé à gonfler comme un ballon. Bon, j'arrête là, car je ne voudrais pas tuer le mythe de la beauté slave aux gros seins naturels et fermes que je garde d'elle, c'est un hommage après tout...