Quelqu'un se rappelle (pour les anciens qui allaient à la rue durant l'été 2015 - shift de nuit) d'une femme aux cheveux noirs et à la peau claire qui fumaient a la porte de sa vitrine avec sa longue robe blanche transparente avec des gros seins, avec un fessiers exceptionnels et qu'un tas de clients de potentiels s'arrêtaient devant sa vitrine. Elle avait une allure à la Monica Bellucci. C'était une moitié albanaise du père absent moitié Bulgare de la mère présente donc jusqu'ici on voit que la vie ne lui a pas fait de cadeau même si elle a un corps de malade. Cette femme ne semblait pas savoir beaucoup encaisser mais elle aimait qu'on soit à son écoute et quand on l'était, elle nous le rendait bien. Elle commençait sa prestation en prenant votre tête et en la pressant contre ses seins en disant "c'est la tradition de la maison". Elle aimait beaucoup les fessées mais pas beaucoup la levrette lorsque c'était trop brutal. Je voulais faire une levrette (vu le cul qu'elle avait, je pouvais pas m'en passer) mais elle rechignait car elles disaient que les clients étaient trop brutal avec cette position. Je lui ai proposé d'aller à son rythme et que j'allais tenir parole des que je vais trop fort, elle a cas me le dire. Elle accepte, je vais très doucement je lui demande si ça va et me répond oui. Donc je vais plus rapidement jusqu'a que j'entends ses gémissements puis je lui dis ça va comme ça et elle me répond oui. Puis je vais plus vite et là elle me dit tape moi les fesses. Je tape timidement puis elle me dit plus fort. Je tape un peu plus fort et elle me dit non plus fort. Je la tape et ça claque soudainement elle me dit oui comme ça encore. Puis bah je claque et elle gémit de plus en plus fort. Ensuite je finis et elle me dit " je n'ai rien à gagner a te dire ça mais tu es vraiment gentil". Si quelqu'un la reconnaît, j'aimerais savoir ce qu'elle est devenue car je l'ai vu une fois puis elle a disparue.
Dahlia et sa soeur ... mais vu les pelles qu'elles se roulaient .. j'ai un petit doute !!
Posté par Opé
Dahlia travaillait au n° 50, je crois. Elle était roumaine, grande et bien bâtie, avec un corps aux belles proportions. Elle avait un sourire magnifique, des cheveux foncés, mi longs, une belle poitrine ample mais naturelle et un fessier à damner un saint, surtout qu'elle s'était fait faire un tatouage au bas du dos : deux yeux qui semblaient te regarder quand elle s'empalait sur ton chibre en te tournant le dos. Malheureusement, elle a cessé d'officier il y a déjà quelques années. Je ne l'oublierai jamais.
Elle était donc copine avec une autre roumaine qui s'appelait Elena, moins jolie qu'elle mais avec quelque chose d'excitant dans la manière de bouger. A deux, elles formaient un sacré duo d'autant qu'elles aimaient bien, apparemment, se caresser l'une l'autre.
Croisée récemment dans une brasserie ...
M'a fait un énorme sourire et une tape sur les fesses en la croisant seule dans un couloir.
Pas seule.. donc je la laisse tranquille !!!
Jour au 34 aussi avec Luna !!
Que de bon et beaux souvenirs !!
50 jour / nuit
puis au 34 avec Luna
Ses fameux yeux tatoués au bas de son dos qui en ont hypnotisé plus d'un .. dont moi !!
Posté par castorCana
Hello a tous
Trou de mémoire sur un prénom ...
En fait j'ai croisé la dame, en civil, a la sortie des toilettes
,. .. et our la première fois de ma vie une nana m'a mis la main au panier !!
Avec un sourire coquin ... Elle sortait .. je rentrait .. court mais intense !!
Donc
De jour
Roumaine la quarantaine aujourd'hui
Un chouia potelée
Poitrine moyenne mais naturelle
Cheveux noirs lisse
Regard de braise
Elle a fini sa carrière en officiant au 38
Presque toujours en robe moulante
Elle venait de la double vitrine du 42 qui est toujours fermée je pense
Elle fut un temps très court madame au 38
Helena ou Sophia ... Je ne sais plus !!
Très svamie avec sa collègue de nuit qui avait un bouda vert dans leur chambrette
Finalement, si je comprends bien, la "prise de pouvoir" de la rue d'Aerschot coïncide avec la chute du Mur de Berlin et l'arrivée des filles de l'est. Il est clair en effet pour moi qu'entre les filles de Matheus et les filles d'Aerschot, entre 1990 et 2010, on n'a pas seulement vieilli, on a aussi changé de monde.
Je me retrouve assez dans vos commentaires sur cette déjà lointaine époque et sur les différences qu'il y a entre celle-ci et l'actuelle. Je précise tout de suite que je ne regrette pas ce passé, ne pense pas que c'était mieux avant : ça a changé, voilà tout.
J'ai commencé de fréquenter l'ancien quartier chaud au moment où lui commencait à péricliter : en 91 précisément. Je n'ai donc pas connu son heure de gloire, si heure de gloire il a eu. Je l'ai suivi tout au long de sa lente destruction, maison après maison, pâté après pâté, avec ces terrains vagues qui avancaient, qui bouffaient littéralement les briques à coup de pelleteuses. A la fin il ne restait plus que la rue Matheus même, délabrée, fantomatique : toutes ses vitrines, qui avaient abrité tant de moments secrets, tant de souvenirs intimes, étaient béantes, brisées, avec des rideaux volant aux quatre vents.
De fait, à la fin (vers '92, '93 peut-être) le paysage un peu de fin de monde de ce quartier m'a marqué autant que les filles que j'y ai connu.
Pour les filles, c'est vrai que c'était des Belges, des Françaises, principalement. Des Noires aussi, débarquant entre autres du pays qu'on appelait encore Zaïre... C'est vrai aussi qu'en général, il faut bien l'admettre, elles étaient moins mignonnes et moins jeunes. Je me souviens de quelques filles canon, mais elles n'étaient pas la règle (l'une notamment, magnifique, à qui j'ai maladroitement, dans un mouvement, mordu le mamelon...).
L'atmosphère était-elle moins lourde? Je ne sais pas... Il y avait peut-être un côté plus intime, moins industiel, mais à dire vrai je ne sais trop. En tout cas je ne m'y suis jamais senti en danger, même en pleine nuit (bien que j'y aie eu l'un ou l'autre problème, mais c'était sur la fin). Une population plus variée, c'est vrai, car c'était un lieu de passage.
Pour finir il est évident que l'arrivée de filles de l'est a tout chamboulé, et encore une fois ce chamboulement fut symboliquement matérialisé par l'anéantissement d'un quartier et la prise de pouvoir d'un autre. On peut même aller plus loin : La chute du Mur signa le triomphe du libéralisme, ce furent donc des tours qui cernèrent et écrasèrent le vieux quartier chaud.
Aurélio, pour le bouquin, il me semble l'avoir déjà feuilleté dans une librairie, mais je me demande si je ne me trompe pas. J'irai voir la prochaine fois.
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