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Discussion : Łódź

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    Citation Posté par didierbxl Voir le message
    Bonjour je vais a Lodz Pologne et recherche info, quartier rouge, site etc un grand merci
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    Bonjour je vais a Lodz Pologne et recherche info, quartier rouge, site etc un grand merci

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  1. #


    v79 Guest

    Łódź

    Les carnets de route de José Beauvit. A la recherche du meilleur service au meilleur prix en Pologne centrale et sub-centrale : José Bovit à ?ód? (Agencje towarzyskie w ?od?i), août 2004. Modifié en août 2007.


    ?ód? est la plus grande ville (environ un million d’habitants) de Pologne après Varsovie : elle est située au centre de la Pologne, un peu au sud-ouest de la capitale. C’est un ancien centre textile et industriel. C’est aussi un centre universitaire important.

    Sans mériter le qualificatif peu flatteur d’ « immonde trou à rats » dont Roman Polanski, qui y fit ses études cinématographiques, l’affubla naguère, ?ód? n’offre, au point de vue touristique, qu’un intérêt limité : en particulier, elle ne possède pas un centre historique ancien comme ceux de Kraków (Cracovie), Gda?sk, Pozna? ou Wroc?aw (Breslau pour les allemands) et n’offre donc pas le charme de ces villes.

    ?ód? n’en est pas moins une ville relativement plaisante, où il est loisible de flâner sans être importuné comme à Cracovie, par des hordes de touristes en goguette, ni être « étrillé » financièrement en consommant dans les nombreux bars ou restaurants du centre.

    C’est notamment un plaisir que de déambuler le long de la grande artère piétonne centrale et commerciale, Piotrkowska ulica, en la remontant vers le Nord depuis les allées Marsz. Józefa Pi?sudskiego jusqu’à la place Wolno?ci (photo 2008 ; voir aussi les miniatures plus anciennes annexées au présent message) :




    On peut y « mater » les jolies étudiantes, souvent en mini-jupe l’été, nombreuses à s’y promener, y faire du lèche-vitrine jusqu’à rassasiement, s’y désaltérer ou s’y restaurer à prix raisonnables soit sur la rue elle-même, soit dans une des nombreuses cours intérieures des immeubles, aménagées en bar- restaurant, souvent de manière fort agréable. Si vous êtes fatigué de marcher, vous pouvez soit emprunter le tramway qui circule dans les rues parallèles à la rue Piotrkowska ou transversales par rapport à celle-ci, soit vous faire transporter en pousse-pousse rue Piotrkowska pour un prix modique. La rue Piotrkowska ne comprend pas, à proprement parler, de monument historique ; mais elle est bordée de chaque côté de fort beaux immeubles décorés style 1900 ou belle époque – mes excuses aux puristes, je suis nul en architecture (photos 2008) :







    Il y a seulement une dizaine d’années, ils offraient un aspect pitoyable, avec leur façade noircie, trouée d’éclats provoqués par des tirs d’armes automatiques durant la seconde guerre mondiale. Aujourd’hui ces stigmates ont largement disparu : au fil des années, la plupart des immeubles de la rue Piotrkowska ont été progressivement restaurés. Il reste à réhabiliter les nombreux autres immeubles d’époque 1900 implantés dans les autres rues du centre de ?ód?.

    Un monument vaut éventuellement le déplacement à ?ód? : le Pa?ac Pozna?ski, édifice aux dimensions impressionnantes, de style néo-baroque, implanté au nord-ouest de la place Wolno?ci, le long d’un parc fréquenté par les joueurs d’échecs de la ville, le Park Staromiejskie. Derrière ce palais, la Manufaktura, ensemble de vastes bâtiments industriels naguère dédiés à la fabrication de coton et construits au début du siècle, a été entièrement réaménagée. Le maître d’œuvre est une société française. La Manufaktura abrite désormais une importante galerie commerciale, un complexe de cinémas, des restaurants, des cafés, bientôt un musée pour les enfants…

    Si vous vous rendez en voiture à ?ód?, de préférence laissez-la dans un parking gardé (parking strzezony). En effet, la ville est réputée pour la fréquence des vols de voitures… Si la situation s’est globalement améliorée ces dernières années, mieux vaut, malgré tout, rester prudent.

    Mais j’imagine que, si vous vous rendez à ?ód?, ce ne sera pas uniquement pour vous faire prendre en photographie dans Piotkrowska ulica ou devant le Pa?ac Pozna?ski ou encore pour consommer une bière polonaise attablé dans un café du centre-ville. Désireux d’accomplir un périple complet, vous aspirerez sans doute à goûter aussi aux fruits défendus de l’ancienne capitale polonaise du textile…

    Pour trouver de bonnes adresses sur ?ód?, le plus simple est encore de consulter les pages jaunes de l'annuaire téléphonique polonais (polska ksi?zka telefoniczna). A l'attention de ceux qui auront accès à l'internet en Pologne en se rendant dans un cybercafé (kawiarnia internetowa, en voici l'url : http://www.pkt.pl/ .

    Après avoir accédé au site de l'annuaire, cliquez sur l'onglet strona g?owna ("page principale"), en haut à gauche ; puis, la page principale apparue à l'écran, dans la case sous branza wybierz ("choisis une branche d'activité"), tapez : towarzyskie agencje ; enfin, cliquez sur szukaj ("cherche"). Une liste d'une centaine de kluby ou d'agencje towarzyskie, parmi lesquels quelques-uns de ?ód?, s'affiche alors, avec téléphone, adresse et heures d'ouverture. En dessous de leur coordonnées, vous pouvez cliquer encore sur reklama (publicité) ou wizytówka (carte de visite), pour avoir davantage d'informations sur l'agencja towarzyska considérée.

    Vous pouvez également consulter la version papier de cet annuaire, région ?ódzki, dans un bureau de poste quelconque de Pologne. Pour information, il existe une bureau de poste en plein centre de ?ód?, Piotrkowska ulica 19, pas loin de la place Wolno?ci.

    Vous pouvez encore consulter les petites annonces de certains journaux polonais. Ainsi, par exemple, le quotidien ?ódzkie dziennik publie, entre autres, des petites annonces dont pas mal d’escorts, sous la rubrique Us?ugi towarzyskie (services de compagnie), en mentionnant uniquement leur numéro de téléphone : il suffit de les appeler pour connaître les conditions et savoir où les rencontrer, à l’hôtel ou en appartement (prywatnie).

    Les agencje towarzyskie de ?ód? sont nettement moins nombreuses que celles de Warszawa. Cela est logique, puisque ?ód? est moins grande que Warszawa et offre moins de possibilités en termes de clientèle aux agences.

    N’ayant disposé que d’un temps fort limité, lors de mon passage à ?ód? à l'été 2004, j’avais testé pour vous deux agencje towarzyskie du centre de la ville seulement, la première superficiellement, la seconde de manière plus approfondie.


    1. J’avais, tout d’abord, fait un saut à l’Agencja towarzyska Amazonka, ulica Piotrkowska 6 ; tél. 0 42 632 71 86

    L’agence, dont j’avais découvert l’existence tout simplement en consultant les pages jaunes de l’annuaire téléphonique polonais, était située dans un immeuble tout proche de la place Wolno?ci. Elle était donc implantée dans une zone très centrale de . Une pancarte la signale à l’entrée de l’immeuble. Vous franchissez le porche d’entrée de celui-ci, l’agence se situe au rez-de-chaussée dans la cour, au fond à droite.

    L’agence était ouverte de dix heures à vingt-trois heures. Il était difficile d’y accéder avec discrétion, car dans cette cour assez vaste, les habitants de l’immeuble vont et viennent, si bien qu’on devait sonner à la porte, peinte d’un rose vif, au vu et au su de tous . Enfin, bref, il faut savoir assumer ses vices…

    Les locaux de l’agence se composaient d’un bar, éclairé par une lumière tamisée, et de différentes chambres. Il y règnait une odeur un peu renfermée. J’y avais été accueilli agréablement par deux polonaises, habillées en soubrette, pas mal du tout : une brunette dans les vingt-huit ans, bien faite, joli visage ; une blonde un peu plus âgée (milieu de la trentaine), mais au visage plutôt avenant, bien roulée et d’apparence sympathique. Les tarifs étaient dégressifs : 60 z? les quinze minutes (« masaz »), soit approximativement 16 €, 80 z? la demi-heure (fellation + amour), soit approximativement 22 €, 100 z? l’heure, soit approximativement 27 €.

    Je n’avais pas poussé plus loin mes investigations, faute de temps. On pouvait regretter le choix restreint en filles que l’établissement proposait : à Varsovie, dans les agencje towarzyskie de dimension respectable, ce sont souvent six ou sept filles entre lesquelles le client peut choisir…


    2. Je m’étais, ensuite, rendu à l’Agencja towarzyska Bonanza, ulica Henryka Sienkiewicza 35 ; tél. 0 42 630 00 92 ou 0 42 639 80 39.

    Voir la carte de visite de l'agence ci-dessous, en miniature attachée, recto.

    L'agence présente l’avantage d’être implantée, comme Amazonka, de manière très centrale, bien que ce soit dans un autre quartier de la ville que cette dernière. La rue de Henryk Sienkiewicz (ulica Henryka Sienkiewicza) – l’auteur de Quo vadis, comme chacun sait – est une rue parallèle à la rue Piotrkowska et donc perpendiculaire aux allées du maréchal Józef Pi?sudski (aleje marsz. Józefa Pi?sudskiego). L’agence est assez proche de l’hôtel Ibis, ainsi que de la galeria Lódzka (centre commercial), lesquels se trouvent précisément implantés sur les allées du maréchal Józef Pi?sudski. Elle se trouve sur la gauche de la rue Henryk Sienkiewicz, en remontant cette rue vers le nord, après l’intersection avec la rue Julian Tuwim (ulica Juliana Tuwima) et avant celle avec la rue Moniuszki : voir ci-dessous, en miniature attachée, la carte de visite, verso. Enfin, l’immeuble qui l’abrite se situe juste en face du commissariat central de police de la ville de ?ód? .

    L’agence était annoncée par une flèche métallique accrochée à la façade de l’immeuble, avec les lettres « Bonanza » gravées verticalement en rouge. Mais cette flèche a été décrochée depuis mon dernier passage, sans doute par souci de discrétion. Pour accéder à l’agence, vous entrez sous le porche de l’immeuble. Immédiatement à gauche, vous montez quelques marches et vous vous trouvez dans la cage d’escalier d’un immeuble à usage d’habitation et professionnel, comportant quatre ou cinq étages. Deux ou trois appartements se trouvent sur chaque palier. , car l’agence se puis vous gravissez les escaliers, car l’appartement de l’agence se situe au premier étage. L’intérieur de l’immeuble et la cage d’escalier sont assez délabrés et peu engageants. Il n’existe pas d’ascenseur. L’agence est située au deuxième étage. Aucun signe particulier ne l’annonce de l’extérieur, si ce n’est un petit cœur en papier collé sur la porte blindée.

    Naguère, une porte fermée empêchait l’accès libre à la cage d’escalier. Un interphone situé au rez-de-chaussée, à la hauteur des marches d’entrée, devait être utilisé pour que l’ouverture de la porte soit commandée de l’intérieur de l’immeuble. Il fallait donc presser sur le bouton « Bonanza », afin que quelqu’un de l’agence actionne le mécanisme d’ouverture de la porte d’accès à l’immeuble. Mais cette porte a été, depuis lors, supprimée et, désormais, le visiteur accède librement à l’immeuble. Il lui suffit donc de gravir deux étages et de sonner directement à la porte de l’agence, en évitant de se tromper de porte...

    L’accueil est simple et bienveillant. Le client est conduit dans une vaste pièce à usage de bar-salon, décorée dans un style « western ». La salle est plongée dans une semi-pénombre, comme le reste des locaux, d’ailleurs. Il est invité à s’asseoir dans l’attente des filles. Quelques minutes plus tard, plusieurs filles entrent dans la pièce et s’assoient, à leur tour, en arc de cercle dans la pièce. Le client peut alors les interroger pour connaître les prix et les conditions : l’une d’entre elles répondra. Puis il lui appartient soit de donner suite, soit de prendre congé, s’il n’est pas convaincu par les filles qui lui ont été présentées. La procédure est donc celle en vigueur dans la plupart des agencje towarzyskie polonaises et peut être rapprochée de celle appliquée, par exemple, en Belgique, à la Porte bleue, et aux Pays-Bas, à l’Aspasia.

    A la période de ma première visite à Bonanza, en 2004, cinq filles travaillaient dans l’agence, mais le jour où je m’y étais rendu, trois seulement étaient disponibles, d’un physique allant de correct à mignon, d’un âge compris entre vingt-cinq et trente-cinq ans. J’avais donc disposé d’un choix assez restreint.

    Bonanza est un établissement hybride : dans la journée agencja towarzyska, le soir et la nuit klub nocny avec bar, strip-tease, piste de danse, etc… Mais, de toute façon, de jour comme de nuit, le prix des « prestations sexuelles » est identique : 80 z? la demi-heure (22 € environ), 100 z? l’heure (27 € environ), toutes relations avec préservatif. La fellation non protégée est possible, moyennant un supplément de 50 z? (un peu plus de 13 €). Attention : dans cette agence, le sablier commence à s’écouler dès que le client et la fille sont entrés dans la chambre et que la fille a été payée, par conséquent avant la toilette. Cela ampute d’autant la durée de la prestation proprement dite . Une fille, la plus âgée des trois disponibles, m’avait précisé que, pour une heure, deux rapports sexuels complets (fellation + coït) étaient possibles. Je rappelle au passage que, dans une agencja towarzyska, les conditions sont, en théorie du moins, identiques pour toutes les filles. Dans le cas contraire, cela doit être précisé au client.

    J’avais choisi d’aller en chambre pour une heure avec Ilona, polonaise, jolie brunette de vingt-cinq ans, pas très grande, mais aux longues jambes et au corps mince et même élancé, au visage pas désagréable, à la poitrine plutôt menue mais bien dessinée, aux cheveux longs et ondulés. La chambre où Ilona m’a emmené était sombre et obscure : les chambres de certaines agencje towarzyskie de Warszawa ont, par comparaison, nettement plus hospitalières et soignées. Un grand lit occupait la majeure partie de la pièce, sur lequel Ilona posa un drap propre ; aucune glace n’ornait les murs, que je serais presque tenté de qualifier de lépreux . A la chambre était annexée une salle de douche, propre quant à elle, que je me suis empressé d’utiliser étant donné la chaleur qui régnait à ?ód? ce jour-là. A noter qu’Ilona ne s’est lavée ni avant ni après, en tout cas pas en ma présence .

    Ilona avait un corps attirant, pour ceux qui aiment les filles minces mais bien faites. Elle m’a prodigué une fellation superbe, à l’efficacité nullement entamée par la présence du préservatif, si bien que si elle ne s’était pas interrompue avant, j’aurais tout lâché dans sa bouche, plus exactement dans le préservatif… Ensuite, elle m’a activement chevauché en amazone et, au bout de cinq minutes, n’en pouvant plus de ce traitement et du spectacle qui s’offrait à mes yeux, je me suis abandonné dans un râle de plaisir .

    Comme il ne s’était guère écoulé que vingt minutes depuis le début des opérations, je comptais bien renouveler une seconde fois cette agréable expérience . Mais c’est alors qu’une surprise un peu désagréable est survenue L. Au bout de quelques minutes de conversation à bâtons rompus, en effet, Ilona m’expliqua que, pour une seconde relation sexuelle, même dans l’heure allouée, il faut « repasser à la caisse » en payant 50 z? supplémentaires (un peu plus de 13 €), tout en ne bénéficiant d’aucune prolongation de temps au-delà d’une heure . Je lui fais part de ma déception, puisque j’avais pris soin de me faire préciser au préalable, je le rappelle (voir ci-dessus), en un polonais que j’ai l’immodestie de croire clair et intelligible, que pour 100 z? une heure, deux rapports sexuels étaient possibles.

    Devant mes demandes d’explications, Ilona m’assura que c’était pour toutes les filles pareil, qu’avec 100 z? le client aurait certes droit, soi-disant, à autant de sexe qu’il veut, mais « tylko do pierwszego zadowolenia » (« seulement jusqu’à la première satisfaction » – « la première jouissance »), précision qui avait été omise au départ et qui change évidemment tout … La manière dont les choses m’avaient été présentés avant que je ne me décidasse, me semble donc n’avoir pas été parfaitement correcte. Selon Ilona, les conditions qui m’ont été imparties seraient celles de toutes les agencje towarzyskie de ?ód?. Cela reste toutefois à vérifier, car dans les agencje towarzyskie de Warszawa, en tout cas, il en va souvent différemment : 100 z? donnent droit à deux jouissances si le client le souhaite, pourvu qu’il ait pris la précaution de l’exiger au préalable.

    Du coup, mon heure s’est trouvée réduite de facto à quarante minutes. En effet, comme, d’une part, je n’avais pas envie de payer 13 € supplémentaire sans bénéficier d’une rallonge « temps » en contrepartie, comme, d’autre part, j’avais épuisé les sujets de conversation avec Ilona, j’ai pris la décision d’écourter ma visite après avoir repris une douche. A dire vrai, j’avais désormais davantage envie d’une bière bien fraîche que de rester à papoter dans les lieux. Nous nous sommes néanmoins quittés, Ilona et moi, en bons termes et je dois reconnaître que, hormis l’ambiguïté confinant à une manière d’induire en erreur, avec laquelle le contenu des prestations m’avait été initialement présenté, je fus plutôt satisfait de ma visite : quoiqu’assez bref, mon moment de sexe fut assez jouissif.

    Certes, les locaux de Bonanza sont d’un standing moyen, comme l’est celui de la plupart des agencje towarzskie. A titre de comparaison, le Bankog de Piotrków Trybunalski (ul. Dzieci Polskich 3 Piotrków Trybunalski 97-300 tel. 48 (0) 44 648 69 70), autre ville située dans la même région que ?ód?, à titre de comparaison, offre des locaux plus cossus et avenants. Mais les prix y sont beaucoup plus élevés et, à mon avis, excessifs pour la Pologne.

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