En déplacement à Paris, je décide d’aller me faire masser, pour cette St Valentin en solitaire. Je pénètre donc dans ce salon du 10ème où j’avais eu un mois auparavant un bon massage et une cerise convenable.

Je retombe par hasard sur la même masseuse, chinoise, la quarantaine, pas super physiquement mais aux talents de masseuse indéniables et qui parle bien français. Comme elle me reconnait, le massage se passe en discutant pas mal (ce que je n’aime pas trop d’habitude), de nos vies (divorcés tous les deux), de la Chine (elle est du nord de Pékin, j’ai vécu à Shanghai), etc. Au fil de la discussion, elle me propose de l’attendre après son travail pour aller diner ensemble et me faire visiter son appartement. Le massage se terminera sans cerise car "tu dois garder des forces pour moi".

Nous nous retrouvons donc vers 22h dans un restaurant près de la Gare du Nord, pour un diner agréable, puis nous partons bras-dessus, bras-dessous vers son petit nid d’amour, une chambre de bonne au 7eme étage sans ascenseur, du côté du square Montholon… En chemin, elle me demande « tu as des capotes ? » car je suis officiellement le seul homme à être reçu chez elle. Evidemment, j’en avais !

A peine la porte refermée, elle se rue sur moi et entreprend de nous déshabiller. Son soutien-gorge push-up enlevé, elle dévoile de petits seins et un peu de ventre. Pas bien grave, elle compense par une fougue inattendue. Elle est réellement en manque de sexe, comme elle l’avait sous entendu.

La nuit qui suit est torride, french kiss à gogo, premier round avec peu de préliminaires tellement elle est impatiente, un massage pour me redonner de la vigueur, deuxième round. Puis dodo, enlacés, son sexe entièrement épilé collé contre ma cuisse… Au petit matin, elle enfourche volontiers mon érection matinale avant d’aller chercher les croissants pendant que je me douche. En partant, je lui laisse 110€. Elle me propose de revenir lors de mon prochain voyage à Paris, elle cuisinera pour moi puis « on fera l’amour toute la nuit ». Je le ferai peut être, qui sait...

Donc le père Noël n’existe pas, mais ce bon vieux Saint Valentin, si !

PS : pour des raisons de discrétion, je ne mentionnerai ni le nom du salon de massage ni celui de ma Valentine d’un soir, le but n’étant pas ici de faire une EV.