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Discussion : SONIA (ghanéenne - rue de la Prairie n° 42)

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    août 2010
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    NBN: Oui! C'est bien cette vitrine là avec l'affichette dont tu me parlais, juste en face il y a le "Palace Chaochow".

    Pour info, Sonia est déménagée au n°3 (là le numéro était marqué ) à l'autre bout de la rue pour un mois avant de revenir dans cette vitrine là selon ses dires.

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  1. #


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    août 2010
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    SONIA (ghanéenne - rue de la Prairie n° 42)

    Première vitrine immédiate sur la gauche au tout début de la rue de la Prairie, je n'ai pas vu de numéro précis donc merci de le rajouter le cas échéant. J'ai mis n°1 à titre indicatif afin de bien situer le lieu d'exercice de la fille.

    Sonia est ghanéenne et m'annonce 26 printemps. On se met d'accord sur les modalités et j'entre.

    Contrairement à l'impression extérieure la chambre est clean, assez spacieuse, confortable, un divan, un lit, même un écran plat et une mini chaîne hifi. Bref ce n'est pas un taudis sordide comme il en existe beaucoup dans ce quartier et dans le quatier rouge de Schaerbeek en général.

    Après les banalités d'usage de début de séance, je me déshabille avant de la voir revenir. Sonia est assez carrée et de taille moyenne, visage correct, pas un top, pas un thon non plus.

    Elle n'enlève que le bas et sort un peu les mamelles (à ma demande) sans enlever complètement le haut. Elle n'a pas une si grosse poitrine que ça, beaucoup d'africaines du quartier ont des nichons nettement plus volumineux qu'elle. Je lui passe ma main dessus sans toucher son sexe, pas totalement épilé ce qui n'est pas pour me déplaire vu la dictature de la mode rasage intégral du pubis qui règne chez les femmes.

    Bon, je m'allonge. Elle sort le sopalin qu'elle place autour de ma verge pour commencer la fellation, j'aime moyennement ça mais bon passons, voyons ce que donne la succion. Je n'entreprends pas de lui toucher le sexe, juste un peu les seins, toucher minou je n'aime pas et je ne fais jamais ça avec une prostituée pour raison d'hygiène, donc le cunni encore moins. La fellation est très moyenne, pas très profonde et manquant cruellement d'artifices et d'allant. Ceci étant, c'est suffisant pour faire durcir un peu l'appareil, elle demande de passer à la suite (trop vite à mon goût) je lui demande de continuer un peu. Bof, c'est vraiment pas terrible. Il va sans dire qu'elle ne fait rien de spécial pour vous chauffer, c'est, comme bien (trop) souvent, assez mécanique. J'ai oublié de dire que c'est moi qui a dû enfiler le préso ce qui était déjà un signe avant coureur d'un manque criant de technique et de savoir faire.

    Là je demande la levrette, et surprise elle se positionne non pas sur le lit en parallèle mais se redresse hors du lit et se penche moi debout derrière elle et donc pas à genoux sur le lit et elle en levrette. Ok on y va. A peine embriqué, elle me lance un agaçant "do it gently!" alors qu'elle était tout sauf secouée et que je venais à peine de la pénétrer, je vais à un rythme modéré mais elle n'est pas très active et manque cruellement d'entrain. Poursuite des opérations cette fois ci en levrette plus classique cad elle sur le lit à quatre pattes et moi derrière à genoux toujours avec ses "gently, gently" ou encore ses "you do it rough" alors que c'était loin d'être le cas, je modère la cadence. Si elle considère que ce n'est pas le cas, elle vous met la main sur la cuisse pour vous le faire comprendre...

    Missionnaire next. Au bout de quelques secondes, voyant sa passivité et son manque de participation qui consiste à tourner la tête regard clos en attendant que ça se passe, enfin passivité sauf pour mettre son gel à deux ou trois reprises en tout, je lui redemande la position levrette elle me dit "oui mais on ne pourra plus revenir au missionnaire" (en anglais dans le texte). Retour donc à la position du début jusqu'à ce qu'elle se mette assise queue en main pour finir la chose, pas de chance ça ne vient pas donc on continue encore un peu et là je sens le sirop d'érable monter mais sans expulsion finale, je dois admettre que si parfois avec une fille de joie on a l'impression de ne pas être "dedans" tant l'orifice est formaté et souvent enduit de gel réduisant un max les sensations (sans compter l'effet préso) faisant qu'on ne sent quasi rien, elle je sentais vraiment quelque chose. Finition classique à la main. Social time minimum et plaisanterie sur le fait qu'avec la quantité de liquide sortie de mes attributs, il y avait matière à faire deux bébés.

    La prestation sans être désastreuse est de faible qualité et reste insuffisante sur beaucoup d'aspects, avec plusieurs éléments négatifs tangibles et rédhibitoires. Pas de seconde visite, en conséquence. Même si il n'y a pas d'arnaque typique et caractéristique du quartier des blacks avec elle. Pas besoin de faire un dessin à ceux d'entre vous qui le fréquentent et qui y ont forcément "gouté".

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