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Discussion : SELESTA (ex.d'Escort4u) (russe - brune)

  1. #


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    novembre 2014
    Messages
    28

    Par défaut Toujours mieux...

    Je l’ai revue plusieurs fois pendant le tour qui s’achève ces jours-ci. Ce fut un enchantement, elle conserve cette fraîcheur et cette gaieté presque inespérées qui la rendent si spéciale. C’est le contraire d’une fille dont on peut se lasser, l’entente physique et la complicité ne cessent de progresser au fil des rencontres, c’est une sensation vraiment très agréable.

    J’espère qu’il n’y a pas eu trop de déçus, elle m’a dit avoir été contrainte de refuser beaucoup de de demandes, d’abord parce qu’elle est assez accaparée par son fan-club et ensuite parce qu’elle a l’intelligence de ménager son si joli petit corps.

  2. #


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    juillet 2015
    Messages
    51
    Rencontrée il y a 4 ans maintenant, les photos sont les mêmes mais très bon souvenir d'une rencontre hyper GFE

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  1. #


    Inscription
    juin 2010
    Messages
    145

    SELESTA (ex.d'Escort4u) (russe - brune)

    Pseudo : Selesta
    Prénom : Tatiana
    Date de naissance : 30 mars 1990
    Signe : bélier
    Taille : 1m65 (elle avait gardé les talons sous la toise )
    Poids : 42 kg
    Mensurations : 85-53-85 bonnet b (oui, petit b)
    Visage: souriant, souriant et … craquant
    Cheveux: bruns et longs
    Photos: tout à fait ça, en particulier, celle de dos avec la fleur, celles en rose et celles ci-dessous
    Langues parlées : russe et un peu anglais (suffisant pour le social time). En français, seulement : téton, bite, chatte. Bravo les punters précédents pour la richesse du vocabulaire . Moi, je lui ai appris, je t’aime (je suis un romantique)
    FK/DFK: DDDFK à volonté
    Agence : escort4u 0079063224797 escort4uparis@gmail.com
    Liens internet : agence
    escortguide ancienne version
    escortguide nouvelle version
    Tarif TTC : 250€/1h 450€/2h 550€/3h

    Lieu : son hôtel du côté de la porte Maillot
    Durée : 1h

    Introduction :
    Vu mon grand âge, j’hésite un peu à booker des escorts trop jeunes, souvent, ça me bloque un peu. Ses photos m’ayant fait craquer, j’ai dérogé à la règle.

    Booking :
    Comme indiqué sur le site de l’agence, le premier contact doit se faire par mail. Un peu de piano sur le clavier et l’affaire est conclue. Les réponses sont claires et rapides. Une évaluation sur escortguide mentionnant qu’elle était maigre et non mince, j’ai fait préciser à la manager que ce n’était pas le cas.

    Le meeting :
    Plus d’une demi-heure d’avance, j’attends donc tranquillement dans un troquet et reçois un sms me demandant si je compte toujours venir. Je confirme et en profite pour avancer le rendez-vous. Le diabolo menthe est donc avalé (et oui, j’évite l’haleine de chacal ) et je file à l’hôtel que je ne connaissais pas encore. Les ascenseurs sont au fond, mais fonctionnent à carte. A cette heure, les touristes sortent plus qu’ils ne rentrent. Je poireaute donc avec comme unique compagnon un gars qui vocifère dans son portable parce qu’il n’a pas la carte pour monter .
    Arrive enfin une cliente qui monte. J’en profite pour monter avec elle. Elle met sa carte et appuie sur le cinq. J’appuie sur mon étage et là, surprise, ça ne fonctionne pas.
    Pas de souci, je lui demande de bien vouloir remettre sa carte pour que je puisse accéder à l’étage souhaité. Il suffit de demander poliment …

    Arrivé au bon étage, j’enfile le couloir à la recherche de la bonne chambre. Pas de numéro sur les portes, ni au-dessus, ni à côté. Mais comment font les clients pour trouver leur chambre ?
    Pauv’ tâche, le numéro est inscrit sur la moquette

    Toc, toc (j’ai pas trouvé la sonnette non plus, je sais, la canne blanche me guette).
    Derrière la porte, ça s’engueule en ruskov.
    La porte s’ouvre. Selesta est là, en nuisette rouge et me sourit. Elle me prie d’entrer. Sa cothurne fait la gueule. Oh, elle a pas l’air commode celle-là quand elle est fâchée.
    j’écris pas que c’est Esthel pour pas qu’on me soupçonne de vouloir la casser .

    Selesta s’excuse d’être toute chamboulée de s’être disputée avec sa colocataire, mais me roule un premier patin, à la recherche de mes amygdales. Tu peux toujours chercher, on me les a retirées.

    Comme j’ai une lettre pour elle, elle me remercie et me dit “Shower ? Here are clean towels” en me montrant la salle de bains.


    Nenni, ma mie, j’ai d’autres plans en tête.
    Je tombe la veste, ôte mes chaussures et lui propose de commencer par découvrir les saveurs de nos terroirs.
    “Oh, I like cookies so much”

    “Te goinfre pas comme ça, tu vas t’étouffer. Et voilà, t’as gagné, Allez, prends un coup de muscat pour faire passer”.

    Celui-là, c’est du dégeleur de banquise, introuvable dans le commerce car soupçonné d’impacter fortement le réchauffement climatique.
    Bonum vinum laetificat cor hominis … et non contristat cor mulieris.
    Youppie, le seul forum où trouve des citations latines, à recommander à toutes les étudiantes en langues.

    Selesta apprécie, vérifie avec sa langue que j’ai toutes mes dents. Pendant qu’elle recalcule, j’en profite pour aller prendre une petite douche.


    Quand je reviens, elle est sur le lit, toujours en nuisette. Chic, je vais pouvoir déballer tranquillement mon cadeau.

    Elle se laisse faire avec amusement et en profite également pour explorer le mien.
    Je découvre un corps adorable. Tout est ferme sans être dur. Aucun os ne vient rompre les courbes.

    Par pitié pour vous, je ne vous raconte pas ce qu’elle découvre de son côté.
    Comme j’ai la vue basse, je vérifie mes observations visuelles avec les mains et la bouche (c’est mon côté scientifique : investigation et contrôle des paramètres avec plusieurs outils de mesure).
    Elle me prodigue également câlins et caresses à profusion, toujours avec son sourire incroyable. On roule dans un sens, puis dans l’autre.
    Aujourd’hui, je n’ai pas envie de lui faire un cuni. J’essaye de travailler mon côté mufle, c’est pas facile, il y a du boulot. Par contre, elle ne se gêne pas pour commencer une fellation bien baveuse. Une petite main au départ, puis c’est parti en gorge profonde.
    Nous repassons ensuite à une série de câlins divers avec conviction.

    Soyons honnête, même si ça va vous peiner, j’ai bien compris qu’elle est tombée amoureuse de moi. Il me suffit de voir les regards qu’elle me lance.

    Prudent, je lui propose de mettre la bâche avant que la pluie n’arrive. Elle passe donc au-dessus de moi pour aller chercher un préservatif, fait mine de déraper et tombe délicatement sur moi en riant de son espièglerie. De mon côté, j’ai la banane et le tronc qui va avec.

    Sacré Selesta, j’en mangerai bien à chaque petit déjeuner. Tiens justement, passe moi les cuillers. On ne trouve pas le bon rythme, soit, qu’en dit le missionnaire. Est-ce que tu peux toucher tes boucles d’oreilles avec les genoux ? Quelle souplesse !
    Les positions défilent, les rythmes alternent. Transitions toujours effectuées avec entrain et sourire. Pas la peine de demander ou d’expliquer ce que je veux, dès que j’amorce un changement, elle comprend et exécute pour mon plus grand plaisir, qui ne tarde pas à arriver.
    Quelques câlins pour revenir doucement sur terre et je pars faire un tour à la douche.

    Nous échangeons un peu sur nous. Je devine son prénom et son signe du zodiaque. Elle est un peu étonnée, je lui explique comment j’ai fait.
    Elle me raconte un peu sa vie, sa famille, qu’elle est artiste et fait de la peinture.
    Quel heureux hasard, j’ai justement apporté mon pinceau. Je fais de la peinture monochrome. Pas comme Soulages qui explore les nuances de noir. Ce serait plutôt le blanc … avec lequel je ne tarde pas à lui badigeonner les amygdales.
    Allez, reprends un peu de white spirit, ça nettoie bien.

    Nous continuons nos échanges. Elle me fait écouter Ramazzotti qui chante en russe. Elle danse un peu, rit encore (j'adore).
    SMS : la manager informe que le temps est écoulé.
    Une heure, déjà, ça passe trop vite !

    La revoilà assise sur mes genoux. Je sens qu’on va jouer les prolongations, d’ailleurs, ça reprend de la vigueur en sous-sol.
    Quelle sorcière cette Selesta.

    Epilogue :
    En repartant, j’ai croisé sa colocataire qui faisait toujours la tronche, mais avec le muscat, elles vont se réconcilier.

    Maintenant, j’ai vingt ans, j’ai retrouvé ma petite fiancée d’alors, en plus délurée.
    Rien que d’y repenser, j’ai la banane et … oups, excusez-moi, je reviens tout à l’heure.

    Avis aux phacochères :
    toute cette histoire n’est que le fruit de mon imagination débridée, n’y allez surtout pas, elle est vieille, laide, méchante, bête et scrofuleuse.
    faudrait pas qu’ils me la gâchent !



    Concernant sa coloc, ne prenez pas mes remarques comme une évaluation de ce qu’elle peut donner en meeting. Elle est surement très bien aussi. Je n’étais pas son client, elle venait de se fritter avec sa pote, ça la gonflait d’aller se peler dehors.


    Ah oui, ne pas oublier le pouce levé qu'il a dit l'ami.

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