En 1997 ou 1998, ayant passé la nuit chez un ami parisien et m'apprêtant à rencontrer une connaissance, l'idée me vint de traîner mes guêtres rue Saint-Denis. à l'époque la rue chaude se découpait en deux : les plus belles et les plus chères dans le 2° arrondissement (pipe à 200 francs [30€] et passe à partir de 300 F [45€] et les meilleurs prix, souvent des africaines ou des putains défraichies dans le 1° arrondissement (150F [23€] la pipe et 200 francs [30€] la passe).
Pourtant, dans ce vivier il y avait des cpoups à faire. Je me suis tapé trois fois une belle ivoirienne de 20 ans, Jenna, je crois, qui se laisser caresser les fesses et le string lors de la montée des marches et qui la première fois a accepté de me lécher les couilles pour la pipe que j'avais demandé contre un supplément de 100F [15€]. Charlotte, une africaine peu active qui se faisait défoncer la chatte en missionnaire de manière très passive mais qui m'avais excité à bloc car son lit était séparé d'un autre lit par un simple rideau translucide qui m'avais permis venir de voir une autre pute se préparer en attendant de descendre tapiner, en haut de la rue, près d'un porche je me suis payé Nora, belle marocaine, jeune et bien cochonne qui regardait en les commentant les cassettes pornos qu'elle avait entrevu dans un sachet que j'ai déposé sur la chaise avant de m'habiller et qui me disait en regardant la fille se faire enculer sur la jacquette qu'elle ne comprenait pas qu'on achète ce genre de cassettes au sex-shop du coin qui les vendaient 4-5 fois plus cher et qui me disait en me regardant que la baise c'est mieux en vrai et que les putes sont là pour ça.
Revenons à ce matin de printemps dans la rue et dans ma braguette
Avant d'aller à mon rendez-vous pour déjeuner dans le quartier latin, je me concocte une balade dans les rues chaudes , à cette époque c'était encore "plaisir des yeux". 10h, je sors le cœur palpitant du métro Strasbourg Saint Denis (la montée des marches de ce métro me coupe toujours le souffle car j'anticipe à chaque fois le spectacle des putains en attente de clients, seins et bas en évidence, regards coquins et petits mots d'appel. La matinée était encore calme dans la partie haute de la rue Saint Denis, je décide alors de franchir la rue Réaumur (tout un programme :-) pour voir les femmes du 1° arrondissement. Je découvre alors vois une magnifique putain noire, belle et grande, visage un peu marqué mais montée sur escarpins de salope et laissant voir un porte jarettelles. Elle discute avec une femme européenne, maquillée comme une voiture volée et bien plus âgée. Je la regarde de loin, me rapproche et tente un "c'est combien?". Sa voix m'envoie un souffle de braise dans le pantalon : 200F et nous voilà partis pour une passe (pipe+pénétration) à 30€!
Elle me dira plus tard son prénom : Marie. Nous voici tous deux sur le pallier immobiles. Qu'est-ce qu'on attend? "Ma copine est avec un client" me répondra-t-elle. Et ça dure 5-7 minutes peut-être. Je me rapproche d'elle et entreprend de lui caresser la chatte et les fesses. Elle me laisse faire, se colle à moi pour que j'aie facilement accès à son cul puis devant ma fougue, regardant autour d'elle montre un peu de gêne avant enfin de puis se retourner et de frotter ses fesses contre mon jeans et de me masser la bite.
Mes mains caressent ses seins, on est sur le palier, devant sa porte fermée d'où filtrent quelques râles. Je bande comme un fou et la glace se rompt, elle semble gênée de cette intimité exposée à la vue du premier venu. De putain qu'on paie pour éjaculer elle devient femme soucieuse de préserver une part son intimité. Elle n'est pas actrice porno, doit-elle penser?
La porte s'ouvre finalement, un couple (elle brune maghrebine et lui ado à peine majeur) sort, le lit est à nous! On rentre , je paie et on continue notre discussion. Sa bouche est charnue, je voudrais tant la lécher, la mordiller. Je le lui dit pendant qu'elle me caresse la bite, pendant qu'elle m'enfile la capote et pendant qu'elle me suce, moi debout et elle assise sur le lit, en porte jarretelles et les seins à l'air. Je regarde et commente cette belle bouche, ces lèvres qui m'aspirent la bite, cette langue qui me lèche avant de pomper à nouveau.
Je parle, je parle pendant que je la fourre en la regardant dans les yeux et mes mots doux et crus la soulent .Je lui demande si elle accepterait une partie à trois avec la belle pute qui est sortie de la chambre avant la passe. C'est 200F*de plus. Va les prendre au distributeur! Vous imaginez, je ne vais pas me rhabiller, ce sera pour un prochain coup lui dis-je!
Et ça chauffe, ça monte, tant est si bien qu'au moment où je sens le sperme arriver je lui balance un "Belle Marie, ma belle salope, ma putain africaine, je vais jouir, ça vient,…" elle m'embrasse tout à coup à pleine bouche, me dit de jouir en elle. Nos langues s'entrecroisent alors que mes couilles se vident en elle et elle continue à balancer son bassin et à me rouler une pelle.
Quelques instants plus tard, toujours face à moi elle se rhabille pièce par pièce et me dit "regarde si c'est pas beau" en nouant délicatement son string coloré (c'était un string ficelle noué du côté droit, façon bikini). On sort de la chambre, dernier baiser en pleine bouche et je remonte la rue, vers le nord. C'est pas ma direction mais j'ai envie de voir les putes m'interpeller en pensant, j'ai fait l'amour avec une magnifique femme noire de 35 ans qui embrasse, ne fait pas d'histoires et commente ses petits dessous coquin à son amant. De client, je suis devenu l'amant d'un beau matin de printemps !
15mn plus tard, je repasse devant elle, sur le trottoir d'en face, échange de regards et de sourires et la voici qui glisse deux mots à l'oreille de la magnifique beurette avec qui on aurait pu partager un bon moment à trois.
Deux heures plus tard, je suis attablé avec mon rendez-vous, épouse d'un copain qui m'invite à déjeuner en toute amitié. En regardant, face à moi, cette jolie blonde aux aux clairs, petite fille d'un ancien producteur de films X et donc chasse gardée, j'écoute sa voix suave et tendre (je lui ai souvent dit qu'elle avait une "voix vaginale" et qu'elle pourrait faire du sexe au téléphone) et, sur cette musique douce je plaque, sans lui dire les images qui reviennent en boucle : Marie nue en portes jarretelles, son corps noir contre le mien sur le palier et dans le lit, sa bouche qui me suce la langue et avale ma bite... Marie que j'aimerai tant gouter à nouveau.
Un dessert avant l'heure, impression sucré-salé! Après le café je lui claque la bise et remonte à pieds vers la rue Saint-Denis, il est 14h, Marie n'y est plus, elle s'est évanouie dans la nature me laissant ce souvenir chaud et vif, dans la tête et dans la braguette.