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Discussion : France, Grenoble : les dérives prohibées d'une relation sado-masochiste

  1. #


    Gillette Guest

    Par défaut J'ai tout compris

    Il y a 2 choses que je comprends mieux désormais:
    1. On s'est beaucoup interrogé sur les 40 000 étudiantes se prostituant (https://youppie.net/showthread.php?766&page=2), mais cela devient plus clair si c'était organisé par la hiérarchie
    2. Sud-Etudiants qui a publié le chiffre ne nous avait pas dit que cette dénonciation s'inscrivait dans un rapport maso-syndical plus classique

  2. #


    v79 Guest

    Par défaut France, Grenoble : les dérives prohibées d'une relation sado-masochiste

    Une peine de six mois de prison ferme a été prononcée mercredi à l'encontre de l'ancien président de l'université de Grenoble-I accusé de "proxénétisme et abus de faiblesse" dans le cadre d'une relation sado-masochiste.

    Le tribunal l'a en effet condamné, à deux ans de prison dont 18 mois avec sursis, une peine supérieure aux réquisitions du parquet qui avait demandé deux ans de prison avec sursis.

    Le prévenu écope également de cinq années de privation des droits civils, civiques et de famille ainsi que d'une amende de 10.000 euros.

    La justice lui reprochait d'avoir incité sa maîtresse, âgée de 38 ans et mère de trois enfants, à se prostituer pour lui et à s'infliger des violences "gravement préjudiciables".

    Il avait perçu 900 euros à la suite de trois "passes" effectuées par la jeune femme.

    Le couple s'était rencontré sur un forum internet dédié au sado-masochisme et avait entretenu une relation de deux ans et demi. Après la rupture, qui était intervenue sur son initiative, la jeune femme avait porté plainte. Le prévenu, ancien premier vice-président de la Conférence des présidents d'université (CPU), avait démissionné de ses mandats après la révélation de sa mise en examen.

    Il avait affirmé lors de l'audience du 30 avril avoir eu avec sa compagne "une relation sado-masochiste classique et consentie".

    Dans son jugement, le tribunal s'est appuyé sur la jurisprudence de la cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) qui justifie l'ingérence des pouvoirs publics dans la sexualité lors de "raisons particulièrement graves".

    Selon le tribunal de Grasse, le prévenu a fait appel du jugement.




    Dépêche AFP mercredi 28 mai 2008, 17 h 12
    Lien internet : http://fr.news.yahoo.com/afp/2008052...r-4000a2c.html

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