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Il semblerait que je sois plutôt tourné vers les brunes en ce moment.
J’avais raté Alexa lors de son dernier tour alors c’est tout naturellement que je l’ai bookée à peine descendue de l’avion.
J’avais d’abord prévu un meeting à 18h dès le matin mais il a été repoussé pour se stabiliser à 20h,
son vol ayant eu un peu de retard.
Quartier St Lazare.

Au moment où je reçois le numéro de la chambre, je reçois un coup de fil auquel je ne peux pas échapper.
Je prends la communication et du coup je passe par les escaliers pour ne pas être coupé.
J’essaie d’abréger la conversation. Arrivé devant la porte, je frappe.

WAAooouuuuh ! je perds le fil de la communication.
D’un signe de la main, je m’excuse pour la situation qui n’en finit pas.
Elle me répond d’un signe apaisant avec un beau sourire.

Elle s’assoie sur le bord du lit.
Je reste debout et tout en bavassant au tél je lui passe la main sur l’épaule, sur son visage, dans son dos.
Je perds les pédales et j’abrège la communication.

Elle se lève, me tend délicatement des lèvres très sensuelles avec un sourire délicieux tout en m’enlaçant.
Ses premiers coups de langue discrets mais joueurs sont prometteurs.
Elle est juchée sur des talons trop hauts (j’ai horreur, mais je n’avais pas demandé de dress code), elle a des bas, une culotte fine, un soutif.
Ses photos sont photoshopées pour la mincir. En réalité elle a plus de forme et je m’en réjouis.
Je découvre une peau magnifiquement douce partout où je passe la main.
Je m’excuse encore platement pour le coup de fil.
Elle ouvre le mini-frigo et me propose de boire un verre. Je lui demande si un Jack Daniels lui convient.
C’est ok.
Douche. Tout est nickel. Normal, elle vient d’arriver et je suis sûr d’être le premier.
Elle m’attend sur le lit avec une allure et un regard lascifs. Et toujours ce sourire.
Elle m’invite à la rejoindre.
On reprend nos baisers là où on les avait laissés avant la douche mais nos langues se font plus profondes, plus insistantes, plus curieuses.
Rarement des FK m’ont donné autant de plaisir.
Puis mes lèvres découvrent ses joues, son cou, ses épaules, ses bras, sa gorge, ses seins. Je dégage son soutif.
Ah, ses seins ! Un petit B en pomme, magnifiques, fermes, de belles aréoles, des tétons sensibles.
Un poitrine d’adolescente qui en feraient rougir plus d’une chez AMR.
Elle est très sensible à mes approches successives. Elle pousse des petits gémissements que je pensais feints au début.
Elle me caressent tendrement la tête pendant que je la tète.
Elle est toujours allongée sur le dos. Je descends doucement mes caresses sur son ventre, son bassin, ses cuisses galbées.
La culotte ne résiste pas à ma curiosité.

Je remonte vers sa bouche et on repart dans une série de galoches nettement plus fougueuses et je découvre en la doigtant qu’elle est serrée et peu profonde. Je n’y tiens plus. Je descends en faisant à nouveau une halte sur sa poitrine.
Elle s’agite. Puis mes lèvres arrivent sur sa chatte déjà humide. Elle a des lèvres très foncées et assez développées.
Un bonheur à prendre en bouche, mais un bonheur partagé.
Je vais y rester assez longtemps tellement c’est un régal : je lèche, je suce, je sens, je doigte.
Je crois que c’est le plus long cunni jamais prodigué : elle est trempée.
Je passe à ses fesses dont je caresse avec insistance la rondeur et la fermeté parfaites en la soulevant un peu.
Elle se prête au jeu en cambrant les reins.
Ses bas m’emmerdent (j’aime pas, j’vous dis !). Je les glisse vers ses pieds et j’en profite pour les malaxer. Tout est doux partout. Tout est ferme. Tout est parfait.
Un corps entièrement au top ! Et à moi.
Je mettrais du temps à remonter tant j’étais bien la tête au plus près de son intimité.
Reprise de galoches dans un autre mood : on se lèche la bouche, la langue, elle aspire la mienne comme pour me donner une idée de la suite à venir.
Je me mets sur le dos et la retourne sur moi. C’est à elle de jouer. Elle ne se fait pas prier.
Nos langues sont toujours entremêlées et affinent toujours plus leurs jeux.
Mon bien-être est total et je le voudrais éternel.
Sa main descend lentement vers mon chibre qui, déjà, n’en peut plus.
Elle commence un handjob redoutable. Elle soupèse mes burnes. Les masse avec insistance. Je ne la lâche pas des yeux.
Quand elle s’en aperçoit, elle redouble de vigueur pendant que mes mains essaient d’être partout sur son corps de ses fesses à ses cheveux.
Je sens qu’elle ne joue pas. Son plaisir dans nos jeux est réel.
Puis elle descend me prendre en bouche malgré mon insistance à garder ses lèvres près des miennes.
Elle commence doucement, avec beaucoup de sensualité, joue de sa langue, elle frotte ma queue sur son visage, son front, ses lèvres encore puis se lance dans une série de deep jusqu’aux spasmes.
Je ne veux pas être en reste. Je l’invite donc à un 69 sur le côté. Sa chatte est très humide.
Je suis ravi de retrouver les sensations du premier cunni mais cette fois ma langue se fera encore plus intrusive. Sa rondelle n’y échappe pas. Elle geint. Plus je serre son bassin dans mes bras, plus elle met d’ardeur à la besogne.
Tout se passe comme si on répondait coup pour coup et avec sincérité aux caresses de l’autre. On est en mode échange total.
Et je me rends déjà compte que c’est une de mes meilleures rencontres tant le partage est là, tant l’intrusion sans limite dans l’intimité de l’autre est débridée.
Passage aux choses sérieuses : capote et je l’invite sur moi. J’aime cette position pour le spectacle qui m’est offert.
Mais rapidement je passe en missionnaire parce que je n’ai pas l’impression que la position initiale lui convienne.
Je sens qu’il lui manque un petit quelque chose pour mieux en profiter.
Mais à peine dans cette position, je suis pris d’une envie de la défoncer.
J’y vais sévère avec un premier coup de rein au plus profond qui n'aura rien d'un coup de semonce.
Elle est surprise, me regarde presque inquiète. Elle sent que notre rencontre prend maintenant une nouvelle tournure.
Nos lèvres, nos langues, repartent dans un balai vaudou au plus profond pendant que je l’assaille des mes coups de rein sans compassion.
Elle m’empoigne les fesses avec force, m’encourage, son corps se couvre peu à peu de transpiration.
Ses pieds froids sur lesquels je reviens régulièrement dans les moments où je relâche un peu mes assauts sont humides.
Elle pousse des cris, puis des hurlements qui atteindront leur paroxysme quand elle jouira au point que je suis obligé de la bâillonner avec la main.
Je relâcherai cette prise doucement en lui malaxant la bouche dans tous les sens.
Quelle bouche superbe ! Sensuelle ! Avide ! Faite pour le plaisir !
Ce premier épisode positif pour elle la rendra encore plus belle et désirable.
Alors que je continue à m’agiter dans son intimité, elle me demande avec un beau sourire d’y aller doucement, de ralentir.
Le temps pour elle de retrouver ses esprits.
Je m’exécute en jouant avec mon nœud à hauteur de son clito. Doucement. Lentement. Mais avec une tendresse et une douceur réparatrices.
En faisant très attention de ne pas sortir.
Elle apprécie et me le montre dans une série de baisers devenus soudainement tendres et câlins. Comme des amoureux.
Sa période réfractaire est assez longue. Peut-être à la hauteur de ce qui s’est passé entre nous.
Quand je sens qu’elle se remet de ses émotions, je la retourne avec précautions sans la quitter.
Nous sommes allongés. Elle est à plat ventre. Je suis sur son dos.
Je recommence mes coups de rein avec une lenteur sereine.
Elle décide de serrer les cuisses. Ca m’va.
Quel bonheur d’être sur ces fesses.
Montée en grade. Elle reprend peu à peu ses petits gémissements.
Quand je la sens prête, je la relève et je descends du lit.
Son corps m’est complètement offert.
J’accélère doucement. Avec maîtrise.
De temps en temps, je vais au plus profond dans un coup sec ce qui la fait réagir immédiatement.
Parfois elle se retourne, interrogatrice, me regarde, s’accroche soudainement aux draps et me fait comprendre d’y aller sans retenue en me donnant de violents coups de cul.
J’empoigne ses épaules assez force, ses fesses claquent sur mon ventre, elle recommence à crier très fort.
D’une main je la bâillonne à nouveau, lui mets mes doigts dans la bouche, sa langue que je sens remuer me fout dans un drôle d’état.
Je suis comme un chevreuil en rut. Un bourrin déchainé. Indomptable.
Elle s’agite. Ne sait plus comment se mettre. Son dos est trempé.
Elle aura un deuxième orgasme que je sentirai au plus près puisque mes doigts fouillaient toujours sa bouche à cet instant.
Très grand moment.
Puis retour au calme. On est mort. On termine nos verres. J’ai la main qui tremble tant je suis à plat.
Blottis l’un contre l’autre, on est tellement bien qu’on ne se dit rien.
Seuls nos doigts enlacés communiquent sur le mode tendresse et reconnaissance mutuelles.
Mais je note qu’il reste un peu moins d’un quart d’heure.
Sans rien lui dire elle comprend qu’elle devra maintenant assurer pour m’achever définitivement.
Je lui propose de se mettre à genoux, par terre, au pied du lit, seul endroit où je pourrais nous voir dans la glace de l’armoire.
Elle n’hésite pas une seconde.
Elle mettra tout son talent dans un savoureux mélange de branlette, de léchage, de succion et de DT à s’en étouffer.
Je ne lâche rien de l’image qui m’est offerte grâce au miroir, je ne lâche pas ses fesses qui m’ont donné tant de plaisir et de bonheur.
Je vais littéralement explosé dans sa bouche en la tenant par les cheveux pour maintenir cet ultime DT qui aura eu raison de ma retenue parfois difficile tout au long de cette heure qui m’a comblé.
Elle est placée au top de mes rencontres.
Je me suis réveillé ce matin sur une béquille presque douloureuse !

Cette miniature de mauvaise qualité qui ne l'avantage pas donne malgré tout une idée de sa sensualité redoutable.
Je peux comprendre qu'elle puisse paraître quelconque pour qui n'aurait pas eu le plaisir de la rencontre.
Mais c'est un choix à posteriori, après rencontre.
Pièce jointe 28597