Louant des appartements à Paris et en province, ils démarchaient les clients via des petites annonces sur internet, a précisé la source, ajoutant qu'ils percevaient 30% du prix des passes.
Ce genre de phrase frise quand même le foutage de gueule : ces prostituées chinoises bossent dans des réseaux contrôlés par des gangs, et le strass et Médecins du monde ne trouvent rien de mieux que de cracher sur la police qui ne laisse, semble-t-il, ô grand malheur , ces gangs faire leur beurre tranquillement !
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire de nos jours.
Sans doute que cette méthode est aussi facile que de vouloir pénaliser le client de la prostitution.
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