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Discussion : ANASTASIA d'Aphrodite Escort (russe - brune)

  1. #


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    mars 2008
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    entre les doryphores et les arriérés...
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    slt,

    quel dommage cette panne... Perso, j'ai déjà fait plusieurs trio 2f et 1h (moi). Jamais eu de panne. Le plus compliqué et de savoir où donner de la tête... Il faut peut être faire un plan d'attaque ! Cela reste quand meme assez instactif...

  2. #


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    octobre 2006
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    ah ah je ne connais pas les 2 filles mais question trio j'ai toujours dit...........que c'était tres compliqué à gérer niveau popaul..Moi c'est un peu pareil j'ai toujours des soucis pour "continuer" à bander avec 2 filles meme hyper sexys et chaudes car il y a plein de paramètres techniques et manuels qui font que je débande!!
    Le début est toujours facile pas de soucisLa fellation a deux bouches ou la fille qui suce pendant que vous faites un cuni à l'autre c'est top..C'est ensuite avec les changements de combinaisons que ca me fou le bordel..Déjà le changement de préso entre les filles!!!ensuite si les filles commencent à s'amuser entre elles,meme en les accompagnant ludiquement ,j'ai mon excitation qui décline.Et puis au fur et à mesure de l'entretien qui se poursuit j'ai mon cerveau du bas qui commence à foirer(et là ca doit etre psychologique mais ca se termine jamais bien au final!!)et lui il a le don de me faire chier meme avec du dopage!!!
    Donc j'adore les trios 2F+1H mais je me fais un film plusqu'autre chose car ca merde souvent..
    Par contre les trios 2H+ 1 fille, je trouve ca vachement plus facile niveau cul,c'est plus en mode animal

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  1. #


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    août 2008
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    ANASTASIA d'Aphrodite Escort (russe - brune)

    Quinze février deux mille quatorze. Potron-minet, un rayon de soleil me chatouille la figure. Paupières collées, goliwok en vrac, le réveil est difficile. Pas pour mon outil qui ne m’a pas attendu pour faire ses étirements matinaux.
    Pourquoi cet état au juste ? Ah oui, la soirée d’hier. Arrosée et bredouille. Bourré la veille, je suis désormais bourru. Je peste à tout-va, la frustration est patente et je porte ce fichu taux de testostérone comme un fardeau. Mais pas grave, pour ces choses-là il y a Mastercard.

    « Computer, le menu de jour s’il vous plait. » Pas envie de jouer la fine bouche à m’humecter les babines pour grumer. Il me faut gouleyer à pleines gorgées, croquer un physique opulent à pleines dents.
    Tiens, elle, Anastasia, avec ses gros seins, ses courbes provocantes et sa tête de cochonne, ça fera très bien l’affaire.
    Coiffé, chaussé, ganté, enveloppé préparée : le petit rituel est bouclé, me voilà fin prêt pour aller sauter ma Russe.
    Ma Portugaise de gardienne s’affaire dans la cour, elle me salue d’un sourire bienveillant. Je le lui retourne malicieusement, amusé de ce qu’elle ignore tout de cette double vie au-dessus de tout soupçon.

    Auto rangée, j’observe toutes ces silhouettes qui défilent et se glissent jusqu’au numéro-dit, des alter ego prostitueurs ? Le signal reçu, une excitation perverse me gagne. Je m’enfile dans l’ascenseur goguenard, sensation d’aller s’encanailler à bon compte. Pendant ce temps-là, un couple s’enthousiasme niaisement de l’heureuse annonce qu’ils s’apprêtent à faire leurs amis. Moi je me frotte les mains de ma basse besogne.

    « Hello ! ». Non, j’ai l’impression de ne pas être le type qu’elle attendait. Elle me reluque de la tête aux pieds, sans-gêne, et me donne l’impression que tout cloche chez moi : ma gueule, mon style, mon physique. Ben faudra faire avec ma vieille !
    Je dépose sur son étendage mon blouson dont le cuir touche l’éponge de sa serviette qui pendouille. Mais on fait pas ce qu’on veut chez elle. Mémère rouspète. Elle m’a fait le coup du « Kundelitch », un remake dans l’air du temps.
    Une coupe de champagne traine sur la table, « the guy before you ». Paye ton romantisme glauque. Mais j’espère que ce fût bon parce que moi je ne suis pas venu ici jouer les Richard Gere. Et à vrai dire, elle non-plus ne force pas la comédie, elle est plutôt grincheuse. Elle a du caractère la miss.

    Elle me dirige jusqu’au plumard qui trône au milieu de la pièce. Ici on pénètre dans son antre. Son côté rustre laissé aux vestiaires, elle se fait plus câline, se collant à moi.
    C’est un bien drôle de petit bout de femme qui se présente à moi, mi danseuse de balai - mi cheval de trait. Une apparence de fer mais souple. Une chair ferme enveloppée d’une peau de velours.

    Elle se dégrafe, je retiens ma respiration. L’ennui avec les gros seins c’est qu’on ne sait jamais quelle surprise ils nous réservent une fois le décolleté affriolant débarrassé. Une roulette russe avec trois balles dans le barillet en somme. Cette fois-là, le chien ne percute pas l’amorce d’une cartouche, je suis sauf. C’est même une heureuse surprise qui me ragaillardi. Contre cette opulence exhibé sous mon nez, je ne résiste pas : je me jette tête première dedans et disparais enseveli sous ses généreux volumes mammaires.

    La voilà maintenant qui gigote et se prélasse telle une succube vengeresse. Elle me prend en bouche tout entier d’un coup d’un seul. Y’a pas à dire elle sait y faire. Pipe gargantuesque, tout y passe.
    Elle se retourne et déploie lentement ses deux guiboles de toute son ouverture, seul son sexe dégoulinant pointe. Ici c’est elle la reine des abeilles et je n’ai d’autre choix que de la butiner. J’honore son offrande en léchant toute son intimité.

    Sa gestuelle sexuelle est une sorte de parade animale. Elle se cabre puis plonge la tête en avant, elle s’étire, elle se cambre, et fait ressortir son arrière-train. Elle remue sa croupe comme une chienne en chaleur qui chercherait désespérant à être remplie. La gredine. Mon cerveau reptilien m’ordonne de venir baiser cette chatte. Je m’introduis en elle par secousses de son cul sur ma queue. Reconnaissante elle m’étreint et m’enlace. Je la sens plus apaisée. Je la prends, je la lève, je la tords, la fais rouler sous ses gémissement orgiaques. Elle pratique la baise totale et maîtrise parfaitement l’espace du lit, son aire de jeu. Et quel beau trou du cul. Mais bon faut pas pousser mémé dans les orties, je n’insiste pas. Pas plus pour le reste d’ailleurs. Ce corps outrageux est taillé pour la luxure et cette chatte serrée est prévue pour faire jouir les hommes. Je lui demanderais bien de me chevaucher de toute sa débauche, mais c’est une grande professionnel, elle ne fera pas de cadeau et m’expédiera en moins de deux.
    Non je préfère profiter une nouvelle fois de cette bouche, qui sait donner tant de plaisir. Un délice. Je me répands de tout ce que j’ai dans cet orifice si accueillant et humide.

    J’ai terminé mon affaire, on a plus rien à se dire. Elle s’affale sur son sofa en tenue d’Eve, et me toise avec dédain de sa posture d’Alice Sapritch.
    C’est fini, elle est contente, moi aussi. Bisous poulette.

    http://www.vipescortaphrodite.com/fr...s/anastasia--/

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