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Discussion : La Havane

  1. #


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    avril 2012
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    Citation Posté par Justin de Sade Voir le message
    au bras d'une créature qui devait faire entre deux et trois fois leur âge.
    L'inverse j'espère !!!

    Sinon merci pour le rapport détaillé !

  2. #


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    août 2017
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    395

    Par défaut Habana Vieja

    Petite mise à jour sur Cuba, revenant d’une dizaine de jours passés à La Havane. Je n’y allais pas pour la bagatelle et pensais même que c’était un pays difficile à ce niveau étant donné la police qui traque les prestataires et des récits lus çà et là, plutôt mitigés ou franchement négatifs, mais l’occasion, un peu aidée, a quand même fait par trois fois le larron. En réalité, Cuba est toujours, comme dit crûment par un Québécois croisé sur une plage, un grand bordel, et l’offre, plus ou moins discrète, y est omniprésente.

    Dans la Vieille Havane, il suffit, par exemple, de se promener, dès l’après-midi, sur le Blvd San Rafael, premier embranchement à droite après l’hôtel Ingleterra, pour croiser des demoiselles, en attente manifeste de clients. A la nuit tombée, on rencontre facilement quelques filles avec des propositions dans les rues touristiques de la Vieille Havane, autour de la Calle Obispo notamment, mais c'est un peu au hasard, car l'on n'y observe pas de station prolongée sur un spot précis, contrairement à ce que l'on peut voir sur le Blvd San Rafaël. A noter également, pour les amateurs du troisième sexe, l’une ou l’autre trans tapinant sur Infantera (quartier Vedado), près du Cabaret Las Vegas, célèbre pour ses spectacles de drag queens. Le Malecon, par contre, semble assez désert, ou seulement fréquenté par des fêtards. Et sinon, dans les lieux les plus divers, musées compris, des dames de tous âges et gabarits vous abordent volontiers, pour taper la discute et plus si affinités.

    Deux filles au total, en provenance du Blvd San Rafael, l’une très bien, prise deux fois, l’autre particulièrement indouée malgré sa bonne volonté. Elles embrassent sans problème et sucent nature. Les prix, par contre, sont alignés sur les standards occidentaux : 40 dollars ou euros la passe. J’ai essayé de négocier à 30 € mais no way.

    Le lieu de consommation fut une casa particular, censée enregistrer les invité(e)s cubain(e)s, mais le propriétaire avait seulement recommandé, lors de la remise des clés, de prendre une photo de leurs papiers d’identité par mesure de sécurité et pour le reste, I don’t care, tout le monde le fait, lui dixit. Ce qui est un peu embêtant, en revanche, c’est qu’on est très vite repérés dans le quartier. Un soir que je fumais sur le balcon une production locale, le préposé aux parkings d’état qui avait son QG dans la rue m’a lancé à la cantonade : « Hey, Sir : no girl, tonight ?! ». Ouais, bon, fieu, de quoi j’me mêle.

    La crainte des filles par rapport à la police n'est pas un mythe. L'une des deux m'a bien recommandé de retenir son prénom (mission difficile pour ma vieille caboche : il était bizarre) et de dire que j'étais son novio en cas de question, tandis que nous circulions en rue. Un contrôle aurait d'ailleurs lieu Blvd San Rafael un des jours suivants, et deux filles resteraient un bon moment encadrées par trois policiers (en attente d'un panier à salade ?). Cela dit, plusieurs touristes sans complexes, quinqua ou sexagénaires, n'hésitaient pas à se promener au bras d'une créature qui devait faire entre deux et trois fois leur âge.

    Comme je ne vais pas vous bassiner avec la musique, le soleil, les cigares, les plages, les musées, ou la situation économique toujours calamiteuse de l’île, car ce serait hors sujet, je m’arrête là. Ah si, un conseil tout de même : bourrez votre valise de PQ si vous vous rendez à Cuba, car c’est introuvable sur place, sauf dans les bons hôtels, et encore. Et aussi, naturellement, potassez quelques rudiments d’espagnol, car la langue anglaise est également une denrée rare à Cuba, sauf parmi le personnel touristique.

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  1. #


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    octobre 2006
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    Bogota
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    1 305

    La Havane

    LA RUE

    Les prostituées tapinant sur le Malecon sont de l’histoire ancienne. Le Malecon et le Prado restent cependant les lieux de rendez-vous préférés pour la population de la Havane. C’est ici que vous rencontrerez les jeunes le soir, ils seront ravis de partager leur compagnie avec un touriste. Venez avec une bouteille de Rhum ou un paquet de cigares, ils complèterons avec la musique et la bonne humeur. Et les garçons ne se vexeront pas de vous voir finir la soirée avec une des filles de la bande.

    Promenez-vous à travers des ruelles de la vieille ville, notamment autour de Calle Obispo, autour de Hotel Inglaterra ou encore sur La Rampa autour de la Coppelia, et amusez-vous à regardez les filles, car elles sont superbes. Certaines vous tiendront le regard, profitez en pour demander n’importe quoi (l’heure, le chemin…). En général elles en profiteront pour poursuivre la conversation. Vous pourrez proposer d’être votre guide pour la soirée. Au pire elle refusera (ce qui est peu certain), mais sera honorée d’avoir été invitée par un touriste.

    Ce paragraphe sur la rue est très différent des descriptions habituelles de prostitution de rue n’est ce pas? Mais Cuba est unique. Son architecture, sa musique, ses voitures de collection, ses cigares, Castro, la Revolucion, et surtout la gentillesse des Cubains…rien n’a changé depuis les années 60. Préparez-vous à tomber sous le charme.

    BOITES DE NUIT

    La plupart des Cubains ne peuvent se permettre de payer l’entrée des boites de nuit. Les filles qui s’y trouvent ont donc probablement gagné de l’argent avec les touristes. Cependant, les lois ne cessent de changer, les Cubaines seules peuvent être interdites dans les Boites de Nuit. Dans ce cas, pas de panique, elles attendent à l’extérieur pour qu’un prince charmant veuille bien les inviter à entrer.

    La Boite de nuit la plus connue pour les touristes à la recherche de Cubaines est le Johnny ou encore le Rio Club. Il est à Miramar, juste après le tunnel. Comptez 50 à 70 CUC pour la nuit avec une fille.

    A El Papa’s disco à la Marina Hemingway Harbour les filles attendent les propriétaires de bateaux, notamment les touristes américains. Elles demanderont 50 à 80 CUC pour la nuit.

    Il y a toujours une douzaine de filles au Barrio China, même si elles sont harcelées par la police le long du Boulevard China. Comptez également 70 CU la nuit.

    Pool à Bosce dans Playa, près de la maison de Castro. La piscine est superbe, il y a un buffet animé la nuit et une demi-douzaines de filles attendent dehors pour être invitées.

    Casa de la Musica à Miramar est un haut lieu pour écouter des groupes Salsa, les prix y sont élevés, et les filles ne peuvent qu’attendre à l’extérieur pour se faire inviter. Il y a en fait un second Casa de la Musica qui lui est au centre-ville.

    Club 1830 et El Castillo sont les Clubs à l’entrée du tunnel de la rivière côté Havane. En face de ses clubs sur le mur du Malecon, il y a toujours des filles qui attendent.

    Les boites de nuit dans le Vedado à essayer sont le Comodoro, Amanecer Disco, Atelier Disco, Las Vegas Cabaret, mais aussi la boite de nuit dans l’hotel Havana Libre.

    Autres boites de nuit dans la vieille Havane, Club 264 et Oasis sur le Prado ou encore Cabaret Palermo près du Capitole.

    Ces informations peuvent évoluer avec le temps : soyez gentils, si vous constatez des modifications, de nous les signaler

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