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Discussion : Casablanca : sex tour story

  1. #


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    juin 2017
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    Je vais me rendre en guyane également, ton retour d'expérience m'intéresse la-bas, merci !

  2. #


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    août 2017
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    388

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    Et même en te mettant d'accord avant la prestation, tu n'es jamais à l'abri qu'elle demande plus ou te fasse un scandale après la presta. On ne prend aucun risque... tu n'es pas en Espagne là.

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  1. #


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    août 2007
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    Paris
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    Par défaut Casablanca : sex tour story

    J0-Aéroport de Lyon Saint Exupéry
    J’arrive le soir, légèrement en avance. Je gagne du temps à l’enregistrement en utilisant les bornes automatiques, les files d’attentes sont longues ; c’est l’été, il y a un gros trafic à destination de Casablanca.
    Durant les premiers moments de présence dans l’aéroport, je remarque une fille splendide, en train de protester pour un supplément de 30 euros pour un sur poids dans ses bagages. Je lui fais signe en lui disant « ca ira mieux à Casa ! ». Et là surprise, la belle engage la conversation, me parle de ses études, de son petit ami qu’elle va rejoindre. Là, je prends un air triste et lui dis ému, tu sais, dommage que tu ais déjà un petit ami, j’étais en train de rêver à nos balades sur la plage. Elle éclate de rire, me dit que son copain travaille, me propose son numéro de téléphone. Nom de code la fille MicheleA.
    Nous poursuivons la discutions, nous embarquons, elle me fait un signe de la main, elle est tout au fond de l’avion, je suis tout au début, l’avion est plein : nous n’osons pas tenter un rapprochement stratégique… Le voyage fut super agréable, j’ai rêvé, rêvé si fort.
    A l’arrivée, la foule nous sépare et cette fois je lui envoie depuis le taxi un sms qui en dit long sur mes désirs. La belle m’en renvoi un encore plus chaud…..
    Je quitte mon taxi et relève quelques SMS de filles que j’avais contactées de façon préalable à cette très dure semaine de travail au Maroc. J’ai a ce moment précis plus de quinze contact, offert par des Youpinautes, collectés sur Abcoeur, Vivastreet.

    J0 – La corniche – Boite de nuit la Calypso
    Je lance mes affaires dans la chambre d’hôtel, appel un taxi dans la rue, négocie 50dh pour aller à la boite de mes rêves. Je remarque une fille vraiment splendide, allure extra, formes formidables, l’air jeune, des yeux noirs, des cheveux idoines et je me décide vraiment rapidement. Il est déjà deux heures du matin et je discute dur avec la fille qui finalement capitule à 800dh à condition d’aller à l’Hôtel de la Cote, juste à coté de la boite de nuit. Et la, nous voilà sur le départ, bras dessus, bras dessous et au moment d’entrer dans la cours de l’hôtel un policier arrive, nous fait un contrôle d’identité. Il prend mon passeport et me dit qu’il faudra passer au poste pour un contrôle. Pas affolé, je lui dis que naturellement je suis à sa disposition et que le moment est venu pour lui de me rendre mon passeport, propriété de l’état Français. Le policier marque un temps d’hésitation, me le tend, mais ne me le lâche pas.
    Je choisi de ne pas faire de cas de cette attitude, et lui indique que je suis prêt à être conciliant en mettant la main à la poche. Le policier me fait un regard noir, me parle du peuple, de corruption, je ne conteste pas, donne 200dh à la fille qui est embarquée, juste après que mon passeport me soit rendu.
    Déçu, je retourne chasser à la Calypso, mais décidément, j’avais bien levée la plus belle ce soir là !
    Presque trente minutes après, la fille refait surface et pour faire court, direction l’hôtel de la cote. Prix de la chambre 1024Dh. Chambre minable, sans eau chaude, heureusement que j’avais besoin de me soulager.
    Douche eau froide pour moi, eau tiède pour la fille et là, là je constate que la plastique est vraiment extraordinaire, c’est à dire en tout point sans défaut ; les courbes du visage, les hanches, les fesses, les seins, beaux, agréables, fermes : bref du matériel de premier choix.
    La fille me fait une fellation assez moyenne et se comporte au lit comme une débutante ; aurais-je de la chance ? Je suis en train de faire son éducation. Enfin ne rêvons pas….
    Pour le second rush, je lui propose la sodomie, qu’elle refuse avec insistance. La je sors mon arme secrète, le tube de gel qui fait passer le morceau sans douleur ; palabre, fellation, différentes positions, usage de gel et vous savez quoi, je me suis trompé d’orifice dans un mouvement in/out un peu plus musclé que d’habitude. Comme aurais dit BrigitteB : Un CRI, elle lance un cri ! J’étais dedans et je calmais le jeu. Victorieux, j’étais victorieux et je savourais cet instant en enfonçant le plus possible mon membre.
    Je n’étais surement pas le premier à passer par cette face nord, mais dieu que mon paupal était à l’étroit et sachons remercier le gel Durex qui permet d’accomplir des miracles. La suite, vous la devinez, shoot, pipe, coup de fatigue, adieu torride, remise des 800dh, descente des trois étages sans l’ascenseur et puis récupération du passeport, taxi et retour à l’hôtel pour un gros dodo réparateur.
    VAINQUEUR.

    J1 matin – la corniche – club de mise en forme Tahiti Fitness
    Je rentre, descend l’escalier, et tombe sur des hôtesses d’accueil à tomber par terre. Je décide de jouer au con, flatte les belles, l’une d’entre elle me propose de visiter, je la flatte, lui dit combien je suis impressionnée, lui parle de ma solitude, le tout selon la technique « tu joue ta vie sur ce coup là ». La belle est troublée, et elle tombe dans les escaliers. Si j’avais imaginé faire de l’effet à ce point la….
    Bref, je l’aide à remonter elle se pose sur un canapé et à une cheville qui gonfle à vue d’œil. J’ai les boules de chez boules…. Une autre hôtesse prend le relais. Elle souffre d’une mamélitte carabinée et à une taille de guêpe. Redescente des escaliers, visite de la salle de sport (bourrée de nana : un gisement à explorer les gars !), des cabines individuelles… et là je ne tente rien, m’en veut, décide de repasser à l’attaque en montant les escaliers. Je lui dis que ce que j’ai à dire est renversant pour les filles, elle se marre, m’embarque dans un espace de ‘closing’ (ouvert sur le monde, pas moyen de tripoter….) et la belle me fait un devis à 3000dh pour une semaine de prestation ; je la joue « what a surprise, we are not in Paris ». Telle une vendeuse de canapé, pour moi et parce que je suis sympa (heu, si elle savait….) elle va obtenir l’accord de son chef pour une méga ristourne. Cinq minutes après, devis tombé à 1000dh, je la complimente sur son allure et lui propose de la ‘sortir’ ce soir. Elle me donne son numéro, me raccompagne à la sortie. J’ai bien essayé de la contacter, mais jamais, jamais la belle n’a décroché.
    ECHEC.

    J1 après midi – la balade sur la corniche
    Deux filles me font un beau sourire ; pour le fun je discute et là, le boudin me propose sa copine ; mais avant ; nous allons manger et tu nous invites, ca te va ?
    Pas bien net le plan de ces deux poules, je fais un peu le clown, fais monter la barre, précise que je veux, non pas la plus jolie, mais la plus moche des deux. Là, les deux filles n’y comprennent plus rien, je précise que j’aime trousser les filles en costume traditionnel ou en habit noir, c’est si bon leur dis-je !
    Fin du sketch, et balade sur la plage : j’en rigole encore. Sur une plage presque propre j’aborde une fille en n’ayant aperçu que son dos et en devinant des formes plus que belles !
    La fille se retourne et m’offre effectivement un corps de rêve mais un visage plein de bouton jaunâtre ! La classe les gars, la classe !
    Déroute, façon retraite de Russie.
    BALLE AU CENTRE.

    J1 après midi – la corniche
    Rien à signaler le matin. je fais un peu de phoning, mais sans trahir la suite du récit, je me dis que j’ai vraiment été couillon de collecter ces numéros, Casablanca est un bordel à ciel ouvert, vous n’avez qu’à être dans la rue, regarder, cibler, attaquer de façon cool et consommer la proie tant convoitée dans un appartement.
    Je retourne donc faire une balade sur le front de mer et je constate qu’il y a beaucoup d’animation, en particulier des filles par groupe de deux ou trois. Pour mettre en application les conseils d’un post, je lance la bataille sur le thème de ‘à l’abordage toute’ dès que je trouve deux belles comestibles. Oui, il faut dire qu’il y a aussi des paires de filles moyennes, voire très moyennes.
    Coup d’essais, coup de maître, les deux filles sont seules et ont un appartement juste derrière notre point de rencontre et finalement, un petit rush pour gagner 20 euros chacune les motive grandement. Cap sur l’appartement avec des consignes ‘ne pas arriver groupir’. Passé le cap de la conciergerie, me voilà dans un couloir, un escalier, à droite, à gauche, une porte ouverte et me voilà dans un gourbi digne des présentations de Paul Verlaine sur ces chinoises à Paris. Restons concentré me dis-je ; je cherche les toilettes, me soulage et reviens dans la pièce principale pour constater que les belles sont en train de se dévêtir. Les filles sont vraiment jeunes, et c’est vraiment un don de dieu. J’ai droit à une fellation à deux bouches quatre mains qui me met en appétit. La plus petite passe en premier sur le canapé, elle s’offre directement en levrette. Pas moyen de décliner l’invitation et malheureusement pour moi, je crache ma semence très vite. Trop tôt, quel gaspillage !
    Une petite pause, des caresses, des blagues, nous rigolons et nous sommes déjà autour de 16heures. Je décide d’honorer la plus grande et lui propose une sodomie. Incroyable, elle me dit qu’elle veut effectivement rester vierge, re levrette ; vous connaissez maintenant le couplet, sur le gel Durex, dieu que ca a été bon, un peu plus long qu’avec sa copine.
    La dessus, adieu, relevage de portable, versement du cadeau, sortie discrète, direction le Macdonald : j’ai faim !
    VICTOIRE.

    J1 après midi – la corniche – Mac Donald 16h15
    Il y a vraiment de tout, je ne trouve rien de comestible, je suis désespéré, je me dis que je perds du temps, que je n’assure pas une tune, que décidément je suis juste bon à prendre des filles à la chaine dans un club a Madrid ou dans un FKK en Allemagne.
    En ayant les boules, je me décide à sortir, et là, je vois cendrillon, tout de rouge vêtue entrer dans le macDo. Je cible, la regarde, jauge, cherche un angle d’attaque, trop de monde, pas moyen, je m’énerve, je panique, je vais louper l’occasion de l’après midi. Je poirote, regarde où s’installe ma cible, refais la queue (sic) pour prendre un grand coca sans glace. J’ai perdu la cible, je suis abattu, et puis, au bout du MacDo, elle est là, une table libre derrière elle. Je fonce, je commence à m’installer à cette table libre et en loseDesespéré, je dis à la belle « je ne peux quand même pas vous tournez le dos, puis-je me joindre à vous ? » Oui dit-elle, je m’installe, mon cœur bat à 200 pulsations, je ne sais plus ou j’en suis lorsqu’un vigile me signale qu’il me faut enlever le pied du banc ; ouf, je me voyais déjà au poste…
    La fille parle mal le français, elle à 20 ans, étudiante en graphisme, seule, sa copine ne viendra pas. Et la, toc le déclic, je fais rebelote sur une partie à deux avec sa copine. Même pas choquée, cendrillon contacte sa copine : pas de bol, la copine travaille. Je suis déçu, environ deux minutes, le temps de comprendre qu’en fait, si pour deux c’est bon, c’est bon pour une. Son plateau MacDo terminé, je lui fais, comme si j’avais fais cela toute ma vie « tu viens passer un moment à ma chambre d’hôtel, je te fais un petit cadeau ; 20 euros, ca te dis ? » La belle me fait pour toute réponse « d’accord, on y va ! ».
    J’ai du mal à croire ce qui m’arrive, la fille se lève et moi j’éprouve des difficultés à marcher. Pourquoi ? J’ai la barre des grands jours. Je m’assure qu’il n’y a pas de malentendu, demande à Cendrillon ce qu’elle aime faire au lit avec un garçon, elle me répond « tout ». Je rougi, personne ne remarque rien et me voilà aussi rouge que cendrillon, dans un taxi rouge en train de dire « Hôtel basma Kenzi ».
    Nous voilà devant l’hôtel, nous entrons, la fille sort ses papiers et là, patatras, Cendrillon n’a pas 21 ans, seulement 20 ans, donc mineure. Me voilà beau. Le responsable parle en arabe, je me vois déjà en tôle, le responsable me dit : vous avez compris le problème, je bafouille oui oui désolé, je m’excuse, Cendrillon aussi et nous nous retrouvons dehors de l’hôtel, sans solution.
    ECHEC.

    J1 soir 20 heures – Casablanca Centre
    Je marche en ruminant dans les rues, au milieu de la foule, et la, je croise deux filles, belles à tomber par terre ; je change mon sens de marche, approche des belles, et me lance dans un abordage « alors ca y est, la journée est terminée ». Contact ! Ca passe plus tôt bien et la, je me rends compte que j’ai vraiment des filles avec plus de 21 ans, une probable vierge, l’autre surement pas. Nous marchons, je propose de prendre un verre, les deux miss ont peur d’être vue et la je la joue carte sur table. Je leur propose de prendre une chambre « toutes les deux « à l‘hôtel, ce qui nous permettrait de faire connaissance et de passer un moment super sympathique. Ouf, elles semblent séduites par la proposition et nous montons un plan d’attaque d’enfer. Nous allons acheter deux sacs à la Medina, (100dh pour le lot de deux sacs), je retire 1000dh pour leur permettre de louer la chambre d’hôtel, je donne mon portable, prends les deux numéros des belles ; elles entrent seules dans l’hôtel. Je me place en retrait en attendant l’appel libérateur ! Pour le cadeau, c’est 20 euros chacune, bon d’accord, si elles sont vraiment top au lit, je double la mise. Correct non ?
    Quinze minutes après, le téléphone sonne, me voilà dans la place, j’ai le numéro de chambre, je plonge dans l’ascenseur, monte au sixième étage, cherche la chambre, la porte est ouverte comme convenue. Je rentre, ferme la porte et s’en suit une seine de joie avec trois lurons aux anges : Super on a contourné le système.
    Pour 20 euros + 20 euros, j’ai droit à une belle prestation. Finalement, la pub à la télé : »deux c’est mieux qu’un », c’était vrai…
    Pour le bonus, en bon français, je ne donne que dix à chacune ; rien n’aurait pas été correct, mais, je donne des explications. Aussitôt, la plus jolie veut une séance de rattrapage. Sa copine veut partir, ca parle en arabe, elles se disputent, oh, ca craint, je flippe, puis séparation, une fille sort, la plus mignonne reste pour gagner ses dix euros de plus.
    Trop dur. Je suis esclave du cul de cette belle. La belle me chevauche et fait intégralement tout le travail qui me conduit à remplir mon préservatif de 90micron d’épaisseur.
    VICTOIRE.

    J2 Soir – Cinéma le Rif, face au bar les fleurs
    J’avais lu sur un post youppie que ce cinéma permettait de passer un moment agréable avec une belle recrutée sur le trottoir devant le cinéma. En fait de belle, il n’y avait ce soir là (mais les autres aussi) que des filles, pardon des matrones âgées en tenues traditionnelles qui tapinait pour ensuite piper dans le cinéma.
    Et là, surprise, une fille sort du cinéma avec un client apaisé (si si, il le portait sur lui) et au passage, le boudin en costume traditionnel fait un bras d’honneur à une des filles sans client et là tout dégénère, crêpage de chignon, hurlement en arabe, début d’émeute.
    J’ai raconté cela à des collègues natifs du pays ; un d’entre eux m’a dit qu’il y avait très peu de cinéma fréquentable à Casablanca, seul deux ou trois, mais au niveau de tout le Maroc ; les autres cinémas, ils sont tous comme cela, avec des nanars Indiens et des filles pour supporter cela…
    Drôle de pays, si l’on ajoute qu’il n’est pas possible de consommer de bière en terrasse, mais que dans le bar, c’est possible. Hum, question d’apparences.
    Et Bien !
    BALLES NEUVES.

    J2 soir –Abordage d’un beau lot en plein milieu de Casa
    Toute en jaune vêtue, jean, talon haut, sweet jaune, moulant de belles formes, sac à main blanc à l’épaule. A l’abordage, nous sommes dans une galerie commerçante, je repère une vitrine de chaussure pour homme et propose spontanément à la fille de me donner un conseil en pointant du doigt la vitrine.
    De façon surprenante la fille me suit et nous voilà devant cette grande vitrine à regarder les chaussures pour Homme. Moi : c’est important d’avoir de bonnes chaussures, qu’en pensez-vous ? Bien sur me dit la belle, quelle marque préférez-vous ? Les jolies filles comme vous lui dis-je du tac au tac. En réponse, la fille me demande simplement si j’habite sur Casablanca. Le fait d’aller à l’hôtel ne lui pose pas de problème, elle me dit qu’elle a un petit problème d’argent. Je lance que naturellement je suis compréhensif et prêt à lui offrir un billet, un billet, bleu de vingt euros qui représente quarante USD et peut-être quatre cent Dirhams.
    La fille éclate de rire, me dit que le tarif c’est 2000 dhs.
    Je m’excuse pour ce manque de moyen, elle est au dessus de mes moyens. La belle tente une approche secours 1000dhs pour une heure.
    Finalement, elle n’est pas si jolie, il lui manque une dent sur le coté. Si jeune…je botte en touche et nous nous séparons comme nous nous sommes rencontrés, sur un signe de la main.
    ECHEC.

    J3 soir la belle black qui attend le taxi avec une petite fille
    Je suis en chasse, les sens en éveil, il y a énormément de monde autour de moi. Pas de cible, radar saturé, mode détresse activé. Désespéré, il est désespéré le chasseur. Résigné, trop de monde, et puis, au détour d’une rue, j’aperçois au loin, une fille, black, belle allure avec une jeune fille. Visiblement elles attendent un taxi blanc qui ne semble pas venir.
    Et bien, en route pour prendre le taxi, Contact « moi : cela fait longtemps que vous attendez ? Elle : non, juste deux minutes ». C’est parti mon Kiki, alors, la journée est fini, et oui moi aussi je suis épuisé, peut-être voulez vous prendre un verre, non pas ce soir, ah bon, cela va être dur de vous revoir, quel dommage, je suis si seule et vous êtes si jolie. Et la, la belle me dit, prenez mon numéro, je vous contacte ce soir. Je note, le taxi arrive, je sifflote et j’ai enfin retrouvé le sourire.
    22h, comme convenu, la belle me contacte et me dis qu’elle est trop fatiguée. Poli, j’accepte, la voix triste. Spontanément, elle me propose un rendez vous le lendemain. Elle n’aime pas les hôtels sur Casablanca, mais comme je lui ai gentiment proposé, elle veut bien passer une partie de la nuit avec moi. Est-ce les 20 euros, est-ce moi, est-ce la misère ?
    VICTOIRE.

    J3 soir la belle fille qui téléphone sous le porche de l’hôtel
    Chemin faisant, une fille somptueuse téléphone sous le grand porche d’un hôtel de bonne facture. Elle respire la classe de la tête au pied ; escarpin blanc, pantalon, chemisier blanc impeccable, petite veste rouge, un sac LV. Allure dingue, la proie est trop belle. Comment, une proie ? Marche arrière, moi aussi je décroche mon téléphone et me lance dans une conversation imaginaire. Par chance, nos conversations respectives se terminent presque au même moment. « Alors, c’est les vacances ? Et non, mon oncle l’ambassadeur m’a réservé une chambre d’hôtel ici et j’attends ma sœur pour aller le voir. Et vous venez d’où ? De Casablanca, je suis étudiante. Super, en quoi ? En commerce international. Je charge, dommage que vous n’ayez pas le temps de prendre un verre ? Effectivement ce soir non mais appelez-moi demain, ce sera plus facile. La belle me dicte son numéro, je teste, elle mémorise le mien.
    Pour la petite histoire, cette aventure ne m’a rien couté, la belle, je l’ai revue le lendemain matin et nous sommes allés direct dans sa chambre. Par quel miracle ?
    L’hôtel comporte un bar avec une entrée qui permet de rejoindre les chambres. La belle utilisa l’entrée principale, récupéra les clefs de sa chambre. Je pris le chemin des écoliers, par le bar. Hôtel assez grand, donc dur dur de repérer les clients ‘males’ de façon précise. Numéro de chambre en tête je rejoins la belle, la porte est ouverte. La belle s’offre à moi après tout un cérémonial de classe international.
    Monsieur l’ambassadeur, permettez moi de vous signaler que votre nièce est une vraie garce. A vingt et un an, elle aligne déjà une expérience impressionnante et je vous confirme que l’ensemble des voies naturelles possibles avait déjà été exploré avant mon passage. Comme nous parlions de cela ensemble, elle me dit que seules ses oreilles étaient encore vierges. Je lui ai offert le contenue d’une giclée répartie à part égale dans chaque oreille pour que moi aussi je sois le premier quelque part pour elle. Et effectivement c’est ce que j’ai fait !
    En jouant cette différence, en étant fun de chez fun, la belle enchaine sur son stage à Paris. Vous savez quoi, la belle débarque à paris en Septembre et … me propose de la revoir. Je m’avoue touché par tant d’attention, je suis rouge de confusion. Pire encore, elle viendra en France avec sa meilleure copine de promotion. Tu sais me dit-elle, j’ai déjà partagé beaucoup avec elle. Je décide de jouer au naïf, me réfugie derrière mon petit doigt, lui parle de la tour Eiffel, des bateaux mouches, de Montmartre, de mon appartement de 50 mètres carrés dans lequel je vis seul. Un problème de logement sur Paris, oui, malgré les relations, c’est dur de trouver un pied à terre. Bon promis, je vais faire le maximum, au pire, pour les dépanner, je peux bien les héberger une semaine ou deux, enfin le temps nécessaire. En guise de remerciement, j’ai droit à une fellation incroyable.
    En descendant l’escalier, je suis pris de frayeur, putain, deux semaines à ce rythme là, je ne vais pas pouvoir assumer…. Et si cela dure le temps du stage ?
    VICTOIRE.

    J3 soir – la corniche – bar le Tropicana
    Je repère deux filles, une bien, l’autre moyenne. Je m’installe à leur table. Bel accueil, c’est comme si nous étions connu depuis des années et des années. Une vraie amitié de trente ans. Nous discutons, je commande un coca-cola, les filles commandent un thé et deux gâteaux. Nous discutons. La plus belle fille à un appareil dentaire avec bagues. Je pense qu’il y a vraiment beaucoup de personne de plus de vingt ans avec des appareils de correction dentaires, la conversation s’enlise, le courant ne passe pas. Ces quiches sont toutes les deux au téléphone, ca parle Arabe, cela m’insupporte de plus en plus.
    Et puis, miracle, le canon des canons, le top des tops, une fille belle, grande, élancée, avec une allure majestueuse fait son entrée. J’ai la gorge serrée, je voudrais faire quelque chose, mais quoi ? Et puis la chance arrive, cette chance qui fait basculer une soirée ou une vie. Cette beauté s’installe juste la table derrière nous, elle me fait face, me lance un sourire, au moment ou une autre déesse vient la rejoindre.
    Je suis perplexe, tant de beauté et moi qui suis planté avec ces deux thons. Il faut agir, vite, il y urgence.
    Le garçon passe, je lui propose de régler mon Coca-cola. 15dh, je lui en donne 20, me lève et vais m’asseoir avec mon verre à la table de derrière avec un geste qui accompagne ma demande de prise de possession du bastion. Trop tard je suis installé, et j’allume la cigarette de la deuxième déesse. Contact !
    Je suis fier, heureux, je suis plein d’espoir. La conversation est suivie, intéressante, disons pendant trente minutes. La mer, le soleil, la beauté des plages, la saison des amours tout est passé en revue, y compris ma solitude.
    Et puis la deuxième déesse reçoit un appel, elle répond, elle est radieuse, elle doit partir, son amie peut rester, Pas de chance, la belle décide de partir, mais me donne son portable et me jure de revenir dans dix minutes. La suite, pas besoin de vous la raconter : elle n’est jamais revenue et n’a répondu au téléphone que le lendemain vers18h. La belle dormait encore. Tu parles, le gars qui a du la monter, il a du tirer l’affaire de sa vie.
    Moralité : une proie ferrée, il faut la consommer au plus vite. Pas de tergiversation, surtout rester verrouiller sur la cible ! Casablanca est un terrain de chasse où la concurrence est à la hauteur de l’offre.
    ECHEC

    J4 soir – Sortie restaurant le Bistronome
    Et bien pas moyen d’échapper à la session de travail avec le client et des collègues de travail. La soirée me semble plantée, je n’imagine pas comment aller en boite après le repas avec ces braves gars et en tout cas, je ne me sens pas de chasser avec eux. La soirée se passe, c’est long, je pense aux bons moments passés, au retour qui s’approche, et puis la semaine prochaine va être chargée. Deux missions flash, une à Madrid, une à Milan.
    Le vin est un gros rouge qui tache, soudain je regarde : 14°. D’urgence faut arrêter, sinon je vais me cuiter complètement ; Les saints jacques sont délicieuses, la crème brulée aussi et puis vers 23h, c’est la délivrance. le client paie et nous voilà sur le trottoir, en route pour la maison. Une pièce au ‘voiturier’ de la rue et je me glisse à l’arrière de la voiture. En continuant d’être absent, je lance un SMS à ma belle black « celle du taxi » pour lui dire que je suis à l’hôtel. Je reçois un sms en retour, un beau message court comme je les aime : « arr dans 30 minutes ». La délivrance est proche.
    PASSE.

    J4 soir – Hôtel – session avec ma belle black « celle du taxi »J’arrive à l’hôtel dans mon beau costume cravate, je prends à part le réceptionniste et lui dit que mon assistante va me rejoindre. Nous avons à finaliser un document pour une importante réunion, les locaux de ma société sont fermés, il me faut rester discret. Seule ma chambre peut offrir toute la sécurité nécessaire. Un billet de 200dh finit de le rassurer sur mes intentions.
    La belle arrive, dépose son passeport à l’accueil, je lui fais remarquer qu’elle est en retard et nous rentrons dans l’ascenseur. Et la : fou rire.
    Session à l’hôtel, ma belle me dit qu’elle a des problèmes avec sa famille. Naturellement je compatis. Son téléphone sonne au moment ou j’avais pris comme trophée son soutient gorge. Elle a une poitrine d’enfer du 95b selon elle. C’est bizarre cette façon de dire 95b. En fait, mettre un soutient gorge 95b sur du 85D ou E doit contribuer à écraser la poitrine et donc à la rendre plus discrète. En fait je n’en sais rien, mais pour moi ce n’était pas du 95b, il y avait moins de tour de poitrine et plus de bonnet. Mais enfin vous dis-je, puisque quand j’étais jeune, j’avais étudié la question.
    Ma belle est assez grande, a des formes harmonieuse, mais me dit qu’elle doit rentrer rapidement, sa sœur doit sortir et c’est à elle de garder les enfants. Je ne fais pas de remarque désagréable, mais je lui décroche la culote. Histoire de lui confirmer mes intentions. la belle confirme que mon souhait est légitime. Elle me demande quand même de faire vite ce que j’ai à faire. Ses seins ont des bouts extraordinairement gros. Presque la taille d’une olive au repos. J’imagine ce que cela va donner une fois sollicité par un massage actif !
    Et bien, le bout s’allonge, il ne double pas, mais le résultat est néanmoins spectaculaire. La belle trouve que je ne suis pas assez pressé. Elle décide de prendre les choses en main, me demande de mettre un préservatif et elle va s’offrir en levrette sur le lit. Je pense alors aux filles de Paris qui font tant de chichi pour pas grand chose. Une fois équipé, assisté par mon gel Durex, je tente un massage anal. Hélas je me fais remettre dans un autre chemin par la belle. Je bande vraiment comme un âne. Heureusement que j’ai un peu picolé me dis-je, je devrais tenir plus longtemps.
    La vue de cette croupe offerte est si belle, mais je ne vais pas profiter de cette poitrine incroyable !
    J’invite la belle à s’offrir sur le coté, elle soupire mais s’exécute. Je burine pendant dix minutes et lui remet le fruit de ce labeur.
    La belle se rhabille et nous voilà en route pour sortir de l’hôtel. Je la raccompagne, elle récupère son passeport, monte dans un taxi, me fais un signe de la main. Et soudain je réalise que cette prestation a été gratuite.
    Je suis fier de moi et décide d’aller explorer les boites de la corniche.
    Je marche pour intercepter un taxi rouge et ne pas payer plus de 50dh le transport sur la corniche depuis le centre de Casablanca. Mon téléphone sonne, la belle me demande « Et mon cadeau ? » Du tac au tac je lui réponds « demain ma bb » !
    VICTOIRE

    J4 soir – La corniche – Le Village
    Je ne m’attarderais pas sur ma visite dans cette boite. Il y avait beaucoup trop d’homme par rapport aux quelques filles présentes. Je tente ma chance avec une belle plante, la musique est trop forte, le chasseur a déjà vidangé et la fille n’est pas assez belle pour aller plus loin.
    PASSE.

    J4 soir – La corniche – le Balcon 33
    En fait, en arrivant devant cet établissement, je comprends que je suis devant une institution. La boite est pleine, les filles font la queue devant, deux hommes viennent de ne pas arriver à rentrer. Je ne désespère pas, arrive comme une feuille portée par le vent sur le sol, un mot gentil pour une fille, un sourire pour une autre, un bonjour amical au premier videur. J’arrive devant le service d’entrée, et la personne m’adresse une phrase du style c’est 100 dh la boite est bondée et ….je lui donne 200dhs en lui disant de garder le tout. Il me remet bon ticket pour une boisson gratuite et me fait signe d’entrer.
    A peine rentré dans la boite, une fille me tombe dessus. C’est vrai qu’elle est belle, mais elle est âgée et soudain je reconnais Hind (petite, les cheveux noir courts, collés sur les joues, une belle poitrine, visage usé quoique très bien maquillé, mais quel gros cul !), une fille qui jadis travaillait au césar, la boite du Sheraton. Je reste agréable, elle et sa copine partent avec un homme à la boite de nuit du Hayat, le Black House. Poliment, je décline l’invitation et laisse filer cette ancienne très belle fille.
    La boite est pleine, beaucoup plus d’homme que de fille, mais elles sont toutes très belles. A moins que ce ne soit le contexte, ce restaurant qui devient boite de nuit au début de la nuit à Casablanca, vers minuit sans doute.
    Il y a trop de monde, je décide de partir, je bois quand même un verre avec une belle fille et je n’arrive pas à accrocher une splendide asiatique. Incroyable, une poitrine énorme, elle est grande, fine, en faisant abstraction de son visage elle à le corps de BB dans ses plus belles années.
    Sur le chemin de la sortie, je croise une fille plutôt petite, mais assez agréable à regarder, je lui paie un verre et nous discutons, le courant passe. Elle est vraiment Mignone, je me dis et pourquoi pas. Je lui propose de venir avec moi, elle me dit qu’elle a dix huit ans, pas de carte pour aller à l’hôtel, et comble du comble elle veut 2000dh. Je lui dis que c’est dommage, avec moi elle aurait eu plus !
    Cette fois, je me décide à quitter ce décor splendide où le rouge domine. Je reviendrais !
    PASSE.

    J4 soir – La Corniche- boite à gauche avant de rentrer dans la rue de la Calypso
    Je lâche 100dh pour rentrer dans cette boite où dans le fond il n’y a pas grand monde, mais beaucoup de jeune (relatif maintenant pour moi, disons moins de trente ans).
    L’ambiance ne casse rien, les filles sont moyennes, le héros est fatigué, un coup de fatigue ?
    A cet instant, une fille très chouette m’entraine au bar pour me faire prendre ma consommation. Poliment je m’exécute, bouscule un gars qui me dispute, je me retourne pour m’excuser, mais la belle est enlevé par un gars plus prompt à la détente que moi.
    Un sentiment de déception monte en moi, je me décide à prendre ma consommation, puis je cherche une place. Je me pose là où il y a de la place, c’est un peu le début du déclin me dis-je, je me fixe juste à coté d’un gros boudin, le musique est trop forte ! Je fais le clown pour passer le temps, le boudin se rapproche et je l’invite à danser pour moi. Je suis affalé sur un canapé et elle se dandine comme une grosse truie qu’elle ne manquera pas d’être au lit devant moi : qu’elle est grosse, pouf…Enfin grosse truie, je ne suis pas sympathique avec elle, elle fait le spectacle pour moi, alors je tape dans les mains, je l’encourage. A ce moment là, je suis vraiment le roi des cons….
    A deux mètres de moi, il y a cependant une petite jeunette, brune, assez bien de sa personne. Je l’invite à venir s’asseoir à coté de moi. En fait, tout est dans le geste, sa fluidité, il faut que cette invitation soit la plus naturelle possible. Je lui fais une bise, parle en anglais, en, français, la belle ne comprends rien et ne fait que me sourire. Je fais sauter un bouton du corsage, la voie est libre pour jauger de la taille de ses seins. Et la surprise, c’est du lourd. Incroyable, ces soutiens gorge Marocains masquent, gomment les formes. Enfin j’ai la main entre le soutient et les seins, c’est prodigieux, c’est frais, c’est jeune, c’est neuf ! Enfin ne rêvons pas trop….
    J’entraine la fille en dehors de la boite, elle ne parle qu’en Arabe. Pour le Fun, je lui dégrafe le soutient en face de la boite, dans une extrémité de la place en arrondit. Il n’y a plus grand monde, excepté des couples de loin en loin, tous dans des positions disons douteuse.
    C’est super agréable de faire ce mouvement palpation. La fille me bassine, je ne comprends rien, alors je me décide à l’abandonner.
    PASSE.

    J4 soir – La Corniche – La Calypso
    Et bien oui, je vais finir la nuit dans cette belle institution Casablancaise. Je me sens comme à la maison. La boite s’est déjà vidée, les plus beaux lots se sont déjà envolés. Voilà les sombres pensées qui m’habitent ou me hantent durant les quelques mètres de marche qui me sépare de mon eldorado.
    Je rentre et la surprise la boite est encore très animée, il y a beaucoup de jolies filles. A la bonheur !
    J’en choisi une, une pure beauté marocaine, je discute ferme les prix, je ne lâche rien, la nuit va bientôt se terminer, la boite va fermer, il y a plus de filles que de garçon. Les statistiques me sont favorables. Elle veut 1000dh, je lui dis que 800dh est un maximum, et que je vais aller bientôt chercher ailleurs, puisque quand la négociation est trop dur, la prestation est bâclée. Elle me dit que non, elle, elle est une fille bien. Cela me fait sourire, alors en guise de bonne volonté, je fais un geste, je lui propose cinquante euros. la fille fait la moue puis accepte. Je lui donne 100dh pour le vestiaire et nous partons en ordre dispersé pour l’hôtel de la cote.
    Je négocie la chambre à 800dh et je me retrouve avec une vue sur la place avec cette belle fille. J’ouvre la fenêtre, il y a un balcon, j’apporte une chaise et je regarde le paysage nocturne de la corniche.
    Douche froide, une serviette pour deux, bref, le confort habituel de cet hôtel de passe avec vue sur la mer et le bordel à ciel ouvert qu’est cette corniche
    Je retourne complètement nu sur le balcon, je me fais sucer, encore et encore et encore. C’est vraiment bon. La fille à un mal de bouche et me propose de venir la prendre en missionnaire. en mettant le gel, je me rend compte que son anus est comment pourrais-je vous dire, largement arrondit et souple lors des massages manuels. Du reste, la fille gémit à peine plus lorsque je rentre deux doigts. Elle me dit simplement, si tu veux, on fait comme ca. Alors dans ces conditions, il s’agirait vraiment de ne pas se dérober. Avec un peu de gel sur l’extrémité de mon sexe, après un massage à deux puis trois doigts, je rentre en terre promise.
    La fille est douce, elle a des seins généreux, des formes qui ne s’affaissent pas, bref, elle porte superbement ses vingt-deux ans. Enfin c’est ce qu’elle dit !
    Comme ce n’est pas mon premier tir, je ne suis pas pressé, je la prend par le petit un peu partout dans l’appartement, sur la table, sur le lit, en levrette, de coté, debout, et même sur la chaise du balcon.
    Tout ca pour dire que ca a été long et bon. La fille veut que je la prenne en photographie. Demande étrange, c’est pour que je ne l’oublie pas, bizarre, elle me parle en italien maintenant. La marocaine est en fait une italo marocaine, nous discutons, elle viendra sur Paris à la rentrée de septembre. Je prends des photos, curieusement elle prend spontanément des pauses coquines. J’ai déjà la tête ailleurs.
    Elle me donne son téléphone, je le note sur un morceau de papier.
    Mon séjour à Casablanca m’a changé, je ne collectionne plus les numéros de téléphone, j’ai compris qu’il fallait privilégier la chasse, c’est plus sur, même si la prestation n’est pas toujours à la hauteur.
    Dans le taxi rouge qui me laisse devant mon hôtel, je laisse négligemment tomber le petit papier sur lequel une écriture mal habile avait inscrit un numéro de téléphone. Il fait jour, il est cinq heures du matin, j’ai besoin de dormir, je suis à la fois heureux, fatigué, troublé par ce pays, cette jungle, cette faune

    J5 Matin – Casablanca – Hôtel – 10h
    Mon collègue d’une précédente mission m’appel. Et moi qui dormait, libre, encore tout songeur quant à mes aventures. La femme de ménage qu’il avait levé dans l’hôtel, juste en mettant son numéro de téléphone est dans sa chambre. Elle n’est pas en service et il se propose de me la présenter.
    A la bonheur ! Je me rends dans sa chambre et tombe sur une fille en costume traditionnel. Bel aspect extérieur et dur d’en dire plus.
    Un match coquin s’engage, mon collègue tripote la fille qui glousse et finalement, d’un geste harmonieux, la belle pose sa tenue traditionnelle. Elle porte des sous-vêtements qu’une grand mère porterait avantageusement chez nous. Toutes les formes sont cachées, masquées le plus possible. Quand la belle est entièrement nue, j’ai presque des sanglots dans la voie au moment de lui prodiguer une caresse affectueuse sur ses hanches.
    La suite, vous la devinez, partie à trois. Je découvre un anus complètement défoncé, je ne prends même pas la peine de demander si je peux, elle chevauche mon collègue, je décide de m’équiper, un peu de gel Durex, et pan, direct ; droit au but. La fille encaisse la charge sans broncher, ce qui me laisse vraiment perplexe. Je suis tellement excité que moins de trente minute après être entrée dans la chambre, je me décharge. Enfin, j’ai limé ….heu cinq minutes … maxi.
    C’est vraiment bon de voir mon collègue retourner la fille dans tous les sens, il maitrise ses gammes le gaillard !
    VICTOIRE.

    J5 Apres midi – Casablanca – Corniche - Hôtel Club Val D’Anfa
    En rentrant d’une petite balade sur la plage, je décide de prendre une flag spéciale dans cet endroit. Incroyable ! Un gisement de matrone, toutes plus grasses les unes que les autres. Pas de doute, une nouvelle facette du pays à explorer.
    Il n’y avait rien en dessous du 100 Z (taille de bonnet !)
    Je ne prends même pas ma bière et je fonce prendre un taxi rouge, retour à l’hôtel.

    J5 soir Relâche, repas en ville
    Rien à signaler, je suis complètement fatigué. Il me faut dormir, mon avions est très tôt samedi matin.
    PASSE.

    J6 matin Aéroport Mohamed V Casablanca
    L’avion décolle, ca y est, le voyage se termine. J’ai en moi plein d’histoire que jamais je ne pourrais raconter à personne. Alors je les écrits pour vous mes compagnons de route, vous qui viendrez un jour à Casablanca, vous penserez peut-être à ce que vous avez lu dans ce texte.
    Je pense avoir mis l’essentiel, je n’ai pas toujours gagné, j’ai aussi essuyé des revers. Je m’engage sur l’exactitude des faits racontés. Cette histoire n’est écrite que pour Youppie, parce que Youppie m’a apporté beaucoup et qu’à mon tour je veux lui rendre un peu.
    Quant à moi, je pense que j’ai changé durant cette semaine. J’ai certes dépassé des limites physiques, j’ai gagné en spontanéité, j’espère avoir gagné en confiance. Ce séjour m’a transformé, me permet de comprendre beaucoup de chose sur moi-même.
    Je n’ai pas parlé des discussions avec les Taxis rouge, les petits Taxi qui parfois hébergent des hommes au destin, au parcours aussi surprenant qu’inattendu. Je pense à toi Youssouf, à toi Mhamed, toi qui voudrais tant que tes enfants aient un jour la possibilité de faire des études d’avoir un bon travail, une vie meilleur.
    Bien sur, je n’ai pas fait les comptes de cette semaine, c’est vrai j’ai dépensé beaucoup d’argent. C’est d’ailleurs étrange de terminer cette histoire sur cet aspect financier des choses. Déformation professionnelle ?

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