On ferme en attendant un éventuel repreneur et une nouvelle ouverture. Vu le contexte financier actuel, cela risque de ne pas être pour de suite
On ferme en attendant un éventuel repreneur et une nouvelle ouverture. Vu le contexte financier actuel, cela risque de ne pas être pour de suite
Club Babydoll (Carretera de Figueres a L'Escala , s/n Figueras Tél. 972 52 60 78).
http://www.madamsclub.com
Même propiétaire que le Club Madam, mais ce club est plus petit, il n’y a qu’une trentaine de filles.
Sa fréquentation m'a permis de rencontrer 2 perles en 2003 (ça ne nous rajeunit pas ).
La première s'appelait Dana. Elle venait de Bratislava en Slovaquie et poursuivait des études en architecture.
Je me rappelerai toujours du premier jour où, sirotant mon verre, je croisais son regard.
Dana était blonde, de taille moyenne, un beau sourire et de beaux yeux étincelant dans la pénombre du club.
Elle était appuyée nonchalamment sur le bord du bar. Je n'avais pas remarqué qu'elle me fixait depuis un petit moment.
Lorsque je suis passé à côté d'elle, elle m'a pris par le bras pour me demander mon prénom. Je n'ai pas résisté bien longtemps. Nous avons discuté un peu et nous sommes alors convenus d'aller approfondir cette discussion dans un lieu plus propice.
Dana était très belle, douce. Arrivés dans la chambre, elle m'a embrassé profondément. Je l'ai alors pris dans mes bras et l'ai serré contre moi.
Quand elle s'est désabillée, j'ai découvert un corps magnifique. Elle avait de beaux seins bien ronds qui ne demandaient qu'à être caressés.
Je n'oublierai pas son parfum très érotique en parfaite harmonie avec sa personnalité. Notre étreinte fût un pur bonheur.
Sa fellation était douce. Lorsqu'elle s'allongea, je découvris un sexe tout chaud et appétissant. Elle appréciait le cunni et le faisait savoir.
Après moult caresses et autres, je la pénétrai. Dana ne cherchait pas à accélérer les choses mais plutôt à prendre son temps, celui du plaisir.
Après avoir éjaculer, je restai blotti contre elle. Je vivais alors un de ces moments où l'on aimerait que le temps s'arrête.
Malheureusement, la session était terminée et il fallait partir. Je la quittai avec comme consolation son n° de téléphone.
Je la revis plusieurs fois avec le même bonheur. Une certaine complicité s'était installée entre nous. C'est bizarre mais j'ai tendance à être fidéèle avec ces filles.
Puis, un jour, elle reparti dans son beau pays. Asi es la vida.
Dana, je te souhaite bonne continuation...
Dana ou le charme slovaque