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Discussion : ANAÏS (allemande - blonde)

  1. #


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    novembre 2010
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    42

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    Putain, tu as réussi à me faire érecter !
    J'espère voir cette perle lors de mon prochain passage, j'aime les putes qui assument et en particulier les nymphos. Marre des gfe, je veux de la bonne pse qui assure sans simuler !
    Si je la repère, je ferai le même périple que toi avec options incluses...

  2. #


    Inscription
    octobre 2006
    Messages
    505

    ANAÏS (allemande - blonde)

    Bon j’ai hésité pour cette EV. Il se passe des choses parfois. Mais je partage les bons moments avec ceux qui le valent (et il y en a encore quelques-uns sur ce forum).
    Cette Anaïs est une perle très rare. Une de ces nanas qui envoûte, difficile à oublier. Ma nouvelle princesse de la fesse. Je veux la garder pour moi. Niquée en début de mois.
    25 ans, une môme de 12 mois. Ceci explique cela. Elle suce des bites pour l’argent mais aussi parce que “le sexe ne lui fait pas peur”*. Nympho, la petite cochonne. Mademoiselle parle bien le français, elle bossait dans une agence de voyages avant d’être au chomdu. Elle est née à Francfort. Décidément, les allemandes sont de bonnes baiseuses. Ses cheveux blonds et courts - on les devine frisés - m’ont tout de suite attiré. On dirait une garçonne avec le charme qui va avec. 1 m 55 à peine et une frimousse des plus mignonne. Une petite fille devenue grande.

    Déesse de la fesse
    Rarement vu un visage aussi fin et doux, éclairé par deux yeux bleus souriants. Et le reste suit. Un minou de rêve, bien fendu et étroit à la fois, petites lèvres et clito humide comme un fruit défendu, des petites miches en poire, à peine tombantes malgré la maternité, avec des tétons pointus comme si une goutte de lait perlait, et un cul ! La taille est assez pleine surtout avec la maternité, un petit ventre naissant, les fesses font deux grosses mappemondes blanchâtres et pas assez bronzées, serrées l’une contre l’autre et remplies de chairs moelleuses et douces. Une formidable promesse d’allegresse. Un paradis sodomite. Un nirvana de la fessée. Courte sur pattes, Anaïs, et rondelette mais elles jouissent tellement bien, ces petites salopes potelées ! De quoi faire bonne chair. La démarche n’est pas vraiment gracieuse et on dirait presque un petit pot à tabac quand elle se déplace. Les genoux sont fins et déliés. Amateur de grandes biches sur-tatouée aux longues jambes et poitrine géante en plastique, ou de liane sylphide style boa africain néo-callipyge, passez votre chemin. Les autres aussi...cette beauté est mienne.

    Le sexe n’est pas à l’index, enfin si...
    Nous nous isolons sur un sofa près de la salle de douches, loin des voyeurs et nous nous caressons et embrassons très vite. Les deux langues s’épousent. Nos deux bouches se collent. Je sens sa respiration sur mes joues. La petiote commence à haleter et je devine à son regard que la fièvre du désir est déjà à l’oeuvre. Quelle peau de biche, quelle douceur, quel parfum, quelle salive ! Anaïs travaille mon érection. Et malaxe mon gros vit épanoui en s’attardant sur le haut du gland puis en tripotant les couilles avec ce petit sourire et ce regard lascif planté dans mes yeux. Je pousse un gémissement de plaisir. Ses mamelons durçis frôlent les miens. Je glisse déjà un index entre ses fesses pour jauger de l’orifice comme je venais de le faire avec sa chatte mouillée. Prout, prout mademoiselle ! Nous filons dans la chambre-miroir au rez-de-chaussée sous l’aquarium. Et là ! Probablement une de mes plus grandes jouissances FKKiennes. 1h 30 de radada avec cette cochonne diplômée. La petite pute joue le jeu et se lâche. La jeune salope joue avec son feu et se brûle. Elle crie son plaisir et prend des initiatives. Fellation avec massage anal. Crachat sur la queue. Cascades de salive tiède. Exhibition rectale à quatre pattes**. J’examine le trou des délices qui sautille comme un insecte fou. Ecartèlement vaginal et masturbation, une vraie passion chez elle, avoue-t-elle (décidément). Elle avoue une collection de godemichés et la prochaine fois elle les apportera...Je profite de cette grande débauchée et lui fourre mes doigts dans tous ses orifices embrasés. Je lui fait un double puis triple doigt de gynéco par derrière et je fais balloter sa croupe de jeune maman légérement ourlée de cellullite. Le trou de balle prêt à se faire tirer. Ses joues rosies par les flammes du stupre tremblotent.

    Une bite à la place du cerveau
    Son minois se liquéfie et transpire le bonheur de se faire sauter. 69. La jeune allemande se cabre quand je lui rince la chatte, ma langue enfoncée de moitié, un vrai pipe line de cyprine au fond de mon estomac, un autre au fond de sa gorge, mais c’est du jus d’homme qu’elle avale, la gourgandine insatiable. Anaïs déguste ma queue surgonflée, affamée et insatiable. Dans le miroir, je la vois emboucher et réenfourner sans arrêt le phallus tant désiré, les mains accrochées aux boules congestionnées comme une naufragée à sa bouée, les yeux dans le vague, brillants et écarquillés, et les joues recouvertes de sécrétions luisantes. Une bite à la place du cerveau, cette nana ! “ Mmmmh,...mmmh...aaah...mmmmh....Oui, oui,...”, gémit la belle petite jeune femme. Nos doigts tripatouillent nos rectums. Le sexe est à l’index. Elle devient bête, animal anal. Anaïs se jette sur ma fente de cul, écarte franchement et crache, et lèche mon anus. Je ne lui avais rien demandé “Tu aimes ?”, dit-elle avec son accent teuton. “Oui encore, ma chérie, je t’aime tellement”. Je sens sa salive couler entre mes fesses et sa pointe de langue fouiller et chercher. Et je la re-baise de plus belle la belle. Je la prends debout et enfonce mon dard dans ce ventre volcanique. Sûr d’avoir titillé ses amygdales à cette jolie péronnelle. “Moi aussi, mon amour, tu est fort et beau, Tu me baises si bien”. Je sens sa chatte se contracter sous mes coups de bite. C’est la vie qui vit au bout de mon vit ! Délices vaginaux irrésistibles. Difficile de décrire ces sensations. Je pleure de plaisir. Trop bon.

    La petite cochonne en veut encore
    Anaïs est toute rouge et ruisselante d’orgasme. Le petite en veut encore. Elle en aura. Elle se titille le clito pour monter encore une marche vers le nirvana, les yeux tétanisés et la chair de poule comme la houle d’une mer de la félicité. Hyper-concentrée sur sa libido déchaînée, la jeune femme voyage au pays du vice, un petit sourire un peu niais sur son minois agité de spasmes, les yeux mi-clos puis grands ouverts. Le sexe ne rend pas forcément intelligente, mais sûrement belle. Nous continuons à faire l’amour dans toutes les positions, les sens déchaînés et la gorge qui n’articule plus que des borborygmes. Je mordille ses bouts de sein en quéquète de lait. Nos salives se mélangent. Nous nous léchons le visage comme deux chatons en rut. Deux corps, un seul pinacle de plaisir. Les fessées et les coups sur les fesses pleuvent. Anais pète de joie. Son vagin élargi et empalé pisse de jouissances diverses et variées. Orage de rougeurs et éclairs dans la tête. De bons gros flashs de plaisirs exacerbés. Enfin, la sexplosion. Je jouis, je meurs. Anaïs rit.

    Alors, oui, une telle séance est un peu chère. 150 euros tout compris et j’ai aimé son package loyal et fiable (toutes les filles ne peuvent en dire autant - anal et CIM en sus mais j’ai pas fait, la prochaine fois...). Mais Anaïs les vaut.

    Je la paie et nous échangeons nos coordonnées. Elle ne vient pas régulièrement et se décide sur un coup de tête. Je pense qu’elle s’arrange avec le management...Plutôt en semaine, je crois. “Quand j’ai besoin d’argent”. Elle a essayé la prostitution sur internet mais c’est trop risqué pour elle. Le Mainhattan aussi, mais pas assez de clients. Je crois qu’elle essaie plusieurs clubs avant de se fixer. Je ne suis pas sûr qu’elle soit allemande à 100 %, sa technique de pipe - parfaite - peut induire du sang slave. M’a pas répondu quand je lui ai demandé si elle avait un julot. Ne sait pas si elle restera au Sharks. M’en fout***.


    * En français dans le sexe,
    ** Décidément une posture made in Sharks (voir Lana),
    *** C’est pas vrai,

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