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Discussion : Berlin : prostitution de rue

  1. #


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    juin 2015
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    Un jeudi soir de janvier, vers 23h, alors qu'il gelait et que les trottoirs étaient très glissants car dotés d'une belle couche de verglas, j'ai arpenté la célèbre rue Oranienburgerstrasse en quête d'une gagneuse, d'une tapineuse, d'une gourgandine .

    La rue, pourtant dotée de nombreux bars, était très calme. En face du numéro 42, se trouvait une blonde relativement mignonne, assez classe et bien habillée, plutôt mince a priori et toisant les 1m68. Âgée d'environ 25 ans. Elle est allemande et parle bien anglais. Elle sera assez surprise quand je lui demanderai son poids (54 kg). La belle n'a peut-être pas l'habitude de rencontrer des gentlemen . Eh oui, difficile de se faire un avis sur la plastique de Madame avec tous ces froufrous quand il fait -3degC à l'abri du vent.

    Ses tarifs ? 80 euros pour un massage avec finition manuelle. Durée: je ne me souviens plus exactement, 30 min, 45 min ou 1h. Elle précisait que le sexe était possible seulement s'il y avait une affinité, une alchimie entre nous. Au moins, pas de mauvaise surprise, elle prévient à l'avance. Prix de l'hôtel inclus.

    J'ai décliné son offre car de toute façon, elle ne correspondait pas à mes goûts. Et je n'ai aperçu aucune autre belle-de-nuit dans la rue.

    En tout cas, il n'y avait pas beaucoup de clients ce soir-là. Quand je suis sorti du pub "Denkmal" situé à côté une demie-heure plus tard, elle était toujours là. J'imagine que durant les soirs d'été, en fin de semaine, il y a peut-être plus de gagneuses arpentant les trottoirs de la Oranienburgerstrasse .

  2. #


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    juin 2015
    Messages
    429

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    J'ai pu visiter, en étant accompagné , les fameuses cabines du sex-shop se trouvant près du métro Kurfürstenstrasse.

    Ma première visite s'est faite avec Gina, une jeune et belle hongroise brune, mince et au joli sourire. C'était un vendredi vers 23h. Pour 50 euros, elle me propose la pipe et l'amour dans une cabine du sex-shop. Je lui évoque l'option de l'hôtel, et elle me dit que c'est 100 euros pour 30 minutes (80 euros pour elle et 20 euros pour la chambre) et semble préférer la cabine du sex-shop (session de 10 minutes). De toute façon, j'étais venu pour réaliser ce fantasme du sex-shop, que j'avais pu déjà réaliser il y a très longtemps à Budapest à la fin des années 1990
    .

    La cabine du sex-shop est assez juste niveau taille pour deux personnes. Il y a un siège en cuir/sky rabattable comme il y avait autrefois dans les cinémas. Je m'acquitte des cinq euros de location de la cabine. Dehors, il fait moins 2 degC, pas beaucoup plus dans ce nid d'amour mais le sourire de Gina réchauffe l'atmosphère. Gina s'assoie sur le siège pour me prodiguer une gâterie. Quand on passe au plan 2 du contrat, et que Gina baisse son jean bien moulant, elle en retire deux languettes en coton qui lui servent à se réchauffer le popotin durant ses longues attentes sur le trottoir. D'ailleurs, au premier coup de boutoir, je sens à quel point ses fesses sont glaciales.
    Notre affaire bouclée, on se rhabille dans la pénombre de la cabine et Gina repart travailler.


    Une semaine plus tard, un samedi vers 1h du matin, j'ai rencontré Mélissa, une jeune hongroise brune qui ressemble beaucoup à Gina, étant juste un peu plus petite et un peu moins mince, mais tout aussi souriante et séductrice que Gina. On se met d'accord pour une fellation à 40 euros (plus 5 euros de location de la cabine). Alors que j'étais assis sur le siège de la cabine du sex-shop, Mélissa me demande de nombreuses fois si je ne veux pas ajouter 10 euros pour l'amour. Elle discute parfois en hongrois avec une femme qui se trouve à quelques centimètres de nous, postée derrière la porte de la cabine (probablement pour assurer la sécurité de Mélissa). Malgré son insistance et son charme, on va en rester au plan préétabli .

    Le soir, dans cette rue Kurfürstenstraße, il y a environ une douzaine de filles qui officient (plus si on ajoute certaines rues adjacentes). J'ai vu des gars qui assuraient leur sécurité et deux fois, aussi, la police est intervenue pour arrêter des trouble-fête.

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  1. #


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    août 2007
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    Paris
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    295

    Par défaut Berlin : prostitution de rue

    Lors de mon séjour chez Elias sexkino, j'ai pas mal discuté avec un client allemand qui m'a vraiment conseillé d'aller chasser la fille de rue dans Oranienburger Strasse. Selon lui, les filles ont vraiments tops dans cette rue.
    Si j'ai bien compris, les filles sont le long de la rue. Il est possible de trouver des restaurants, de consommer sur place ou d'emporter.
    Désolé, je n'ai pas pris le temps de vérifier de visu sur le terrain. Qui peut le faire ?

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