Extrait d'un récit :
Je me vois donc contraint de faire jouer mon plan B, Jennifer.
Elle m'a chassé plusieurs fois, toujours agréablement. Elle est souriante, enjouée, pleine d'humour, bref, j'aime bien.
Elle veut choisir une chambre qui est prise. Nous nous rabattons sur la petite chambre des miroirs. Immédiatement, elle se plaint de la chaleur. Je trouve qu'il ne fait pas particulièrement chaud. La fenêtre est entrebâillée au maximum.
La session commence. Jennifer est GFE, tactile, elle embrasse avec la langue, sans retenue, mais de manière perfectible.
Sa fellation est très bien, douce, avec gorge profonde, mais sans atteindre le niveau de Magda.
Comme ça me plaît bien, je lui annonce qu'on va rester une heure. Elle est ravie.
Je la lèche. Elle a une chatte particulièrement belle, c'est un bonheur d'y être. Elle insiste pour que je la doigte. Le 69 est super. Tout se passe au mieux. Elle transpire un peu, et s'en plaint. Je lui dis que je m'en fous. Et là, elle me surprend. Elle dit qu'elle ne veut pas rester une heure, qu'elle n'y arrivera pas, qu'elle a trop chaud.
Je suis très surpris. Je me dis que si elle est déjà dans cet état alors que les préliminaires viennent juste de commencer, elle va me claquer quand on va baiser. Je lui propose donc de me terminer en fellation/branlette. Elle semble ravie de ma compréhension et s'applique. Une finition parfaitement exécutée.
On en est à moins de 20 minutes. Naïvement, je pensais qu'on pourrait encore avoir un petit social time, mais Jennifer se lève, rassemble ses affaires, n'a plus qu'une idée, sortir de là.
Je suis consterné. Je n'ose imaginer ce que ça va être quand il fera chaud, cet été.
Au final, une fille qui pourrait être intéressante, mais...
Récidive ? Peut-être en hiver, quand le chauffage sera en panne.