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Youppie webcam confinement        

Discussion : Geel (près d'Anvers) : Goorhoeve (erotish cafe)

  1. #


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    août 2011
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    Cet endroit est fermé depuis quelques années déjà. Depuis lors, Laura avait encore participé à quelques gb en Flandre mais a sans doute arrêté, un peu au même moment que la fameuse Mariska.
    Plus aucune annonce actuellement, alors qu'elle était agréablement coquine,comme Mariska d'ailleurs, je m'en souviens encore avec plaisir.

  2. #


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    mai 2018
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    24

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    Que devient ce lieu?
    Que devient Laura? Reçoit elle?
    Merci.

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  1. #


    zazou Guest

    Geel (près d'Anvers) : Goorhoeve (erotish cafe)

    Placé dans la rubrique gang-bang parce que c'est du sexe "public". A mon avis, un vrai bon plan pour les amateurs.

    Adresse : club « Goorhoeve », oosterloseweg, 64, 2440 Geel.
    Tél : 0032 (2) 473 716 562
    http://www.erotischcafe.be/
    info@erotischcafe.be
    40€ avec 2 boissons, de 13h à 23h. Erotish cafe et cinéma porno, 2 ou 3 sessions comprises (1 fois avec chaque fille présente : caresses et fellation nature) puis 50€ /session si pas rassasié.
    Voir le calendrier du site pour les dates et les autres activités, comme les gang-bang.


    Une sortie se prépare. Fébrilement, pour certains, méticuleusement pour d’autres, en ne laissant au hasard aucun détail pratique. Oui, mais au moment fatidique, Youppie.net est en panne, me laissant seul au milieu du gué. Je pensais commencer par le FKK Babylon et utiliser mon entrée gratuite, mais impossible de récupérer mon code. Qu’à cela ne tienne, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, j’improvise en introduisant quelques bribes de souvenirs dans le moteur de recherche. Google est mon ami. Je jette plutôt mon dévolu sur des lieux où la rencontre est certaine, l’imprévu envisageable, la surprise possible. Place à la découverte, et rien que du fun. Changer du quotidien. Et avec de l’ambiance, si possible.

    Voici le site en question : http://www.erotischcafe.be/

    C’est en néerlandais, et d’après ce que je comprends, il ne s’agit ni de floralies, ni de danses folkloriques ou de cours d’artisanat local. Me voilà rassuré. Un calendrier des activités ne laisse planer aucun doute sur la nature des réjouissances qui m’attendent dans ce lieu de perdition.
    Pas besoin d’envoyer un courriel : si on m’explique tout d’avance, plus de surprise.

    J’arrive donc à Geel, et en venant d’Anvers, une grande pancarte sur la gauche indique «Club Goorhoeve ». Il ne faut pas se fier aux indications du GPS qui incite à continuer quelques centaines de mètres. Tournez tout de suite à gauche avant la pancarte. La petite route bitumée parait longue. Elle se termine par un chemin de terre en impasse, qui débouche sur un plan d’eau derrière lequel se trouve une bâtisse aux abords un peu écolo, avec des fauteuils et des tables de jardin à l’extérieur, diverses installations de plein air, un barbecue, et une terrasse en bois en forme de ponton qui fait le tour de la maison. Dans le parking, quelques voitures, des pick-up, bref, une ambiance vraiment cool de bout du monde, même si la grand-route n’est finalement pas très loin. « Bagdad Café » dira Bestof un peu plus tard.
    L’entrée se fait sur le côté gauche, lorsqu’on regarde la maison de face. Le patron vient m’ouvrir. Un très bel homme, mais je ne suis pas venu pour ça. Dans l’entrée, rien ne laisse présager de ce qui se passe à l’intérieur. Nous avons un peu de mal à nous comprendre, ce n’est pas grave, mais devant son attitude très digne, voire réservée, je préfère quand même m’assurer que je ne vais pas passer l’après-midi à fêter l’anniversaire du petit dernier. Il va donc chercher sa femme, qui parle un peu français. La porte est restée ouverte, et la musique fait irruption dans l’entrée, emplissant la pièce d’effluves sonores, d’encens et de tabac. J’attends. Ce n’est pas grave, j’ai tout mon temps, toute l’après-midi, toute la nuit s’il le faut.

    Sa présence me fait tressaillir imperceptiblement. Elle s’appelle Laura, irradie l’espace de son sourire et m’explique qu’on peut regarder un film porno, qu’on peut « la pipe et les caresses, mais pas « intim ». De longs cheveux châtain encadrent son visage de madone, dont la douceur contraste avec la prestance de son allure. Elle est grande, très élégante dans sa robe noire au dos échancré, et son vertigineux décolleté ne masque rien de sa très belle poitrine.
    Elle cherche ses mots. Elle a fini de parler et son sourire s’accentue. Je suis en présence d’une très belle femme, d’une grande classe, avec des formes épanouies, pas un de ces anorexiques mannequins porte manteau, dont le corps sert de faire valoir aux homosexuels qui dessinent leurs vêtements. (considérez cette réflexion comme un petit coup de gueule personnel, et non comme une profession de foi homophobe).

    L’intérieur du club est un long quadrilatère au fond duquel se trouve le bar. Juste en entrant, le cinéma porno est constitué d’un écran, devant lequel un long divan placé en angle accueille un homme béatement installé entre deux femmes. La première l’embrasse langoureusement pendant que la seconde, après avoir baissé son pantalon, tente de faire disparaître totalement son engin au fond de sa gorge.
    J’hésite concernant la conduite à tenir : faut-il assumer un légitime penchant pour le voyeurisme, et se dévisser la tête pour ne rien perdre de la suite du spectacle qui s’avère déjà prometteur, (et là, vous vous doutez bien que je ne parle pas du film que personne ne regarde) ou marcher dignement vers le bar sans trop ralentir, en vieil habitué blasé, mais sans en faire trop quand même. J’opte crânement pour la seconde solution, et je vais déguster quelques gorgées de bière bien fraiche pour me remettre les idées en place.
    Adossé au bar, je vois l’écran au fond de la pièce. De l’endroit où je me trouve, le dossier du divan masque les ébats. On ne voit que les têtes, c’est la raison pour laquelle les plus jeunes se sont rapprochés, leur consommation à la main, pour s’installer plus près de l’action. Dans la salle, quelques vieux couples, quelques hommes d’âge mûr qui feignent d’ignorer qu’à quelques mètres, l’un d’entre eux, et ça pourrait être n’importe lequel d’entre nous, se tord sous les caresses d’une blonde plus très jeune et d’une gironde demoiselle auburn (involontaire, le jeu de mots). Pas plus de quinze personnes au total. Sur chaque petite table ronde une large bougie répand un halo de lumière dorée qui s’étire sur les murs recouverts de noir, et danse sur les tentures de fortune qui occultent les fenêtres, comme dans les lieux de convivialité un peu baba-cool des années 70.

    Ici, semble-t-il, le principe est simple : on peut venir se faire câliner dans le divan quand on le désire. L’ambiance est très décontractée, personne ne semble impatient ni pressé. Aucun francophone pour m’expliquer les codes en vigueur, donc j’improvise peu de temps après mon arrivée, et m’installe sur le canapé à côté d’un trio. Difficile de se concentrer sur le film, la bande son étant couverte par la musique des lieux. Progressivement, nous rentrons dans le vif du sujet : j’ai tout loisir de faire connaissance avec la blonde, trop hard pour moi, et 3P (personnellement pas possible), pour manier l’euphémisme comme un youppinaute. Sur ces entrefaites arrive Alexis (prononcer « Alexisse »)que j’invite à se joindre à nous. Aîe, aîe, aîe, encore plus hard ! Fellation baveuse avec regard de braise, sussurements suggestifs, frottis-frottas contre son opulente poitrine, petits mots cochons que la décence m’interdit de prononcer ici, le tout à deux mètres d’un type impavide en train de siroter calmement sa bière, le genre de gars correct et travailleur qui pourrait très bien être votre beau frère ou votre collègue de bureau. Je suis aux 400 coups et décide de me laisser piloter jusqu’à l’arrivée.

    www.alexisfox.be >>> voir « fotogalerij » où figurent également quelques photos de Laura.

    Je découvre que mon prédécesseur (l’homme du divan) parle bien français. Il habite non loin du club et vient également pour la première fois. Nous échangeons les bons plans. Mis en confiance après cette discussion, je demande au patron d’aller chercher sa femme, la belle et émouvante Laura, parce que… je voudrais la voir. Je sais que ça ne se fait pas : c’est mal. Il revient seul et je comprends qu’elle est à l’étage, dans la maison, et travaille sur son ordinateur. Elle viendra plus tard.
    Arrive enfin l’instant convoité. C’est une parenthèse de douceur et de volupté, un échange de frôlements, d’attouchements tendres et indécents, de langoureuses œillades . Caresses de sa langue de velours, exigence de sa bouche, écrin luxuriant et impérieux qui emprisonne ma virilité : je n’en dirai pas plus… Si ! J’aurais préféré un peu plus d’intimité, par exemple une alcôve, mais on ne peut pas tout avoir…

    www.lovelaura.be >>> les photos sont quelconques et ne lui rendent pas hommage.

    L’après midi n’est pas terminé. Distrait sans doute, je n’avais pas remarqué l’arrivée de Bestof, que j’ai grand plaisir à retrouver. Nous conversons gaiement le reste de l’après-midi et Bestof termine de dépenser son trop plein d’énergie, avant que Laura ne nous gratifie d’un superbe strip tease à la barre de pole dance. Il n’en fallait pas plus pour décider définitivement Bestof, qui prévoit de revenir au club « Goorhoeve » pour l’évènement : le premier gang-bang de Laura. Après réflexion et maintes hésitations, je choisis de me rendre le lendemain au gang-bang du club Cupido, à Sittard (NL), l’attrait de la nouveauté restant le plus fort.

    Je suis arrivé à 14h et nous quittons l’établissement vers 20h. Une après midi d’amusement pour 40€ : on peut dire que c’est un rapport qualité-prix imbattable.

    "rectificatif: en 2009, une seule pipe et 2 boissons. Nouveau commentaire de Zazou : intérêt aujourd'hui très limité

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