De toute façon, je pense que les "vraies" escort au sens original du mot (comme dans Pretty Woman) qui font de l'accompagnement sont plutôt rares et ne représentent qu'une petite part du marché, ça n'était pas le sujet ici.
Je sais c'est HS mais tu devrais revoir le film.Si ma mémoire ne me fait pas faux bond, dans le film Julia Roberts n'a rien d'une escort, elle racole dans la rue.
Posté par FootLover123
Pendant les débats sur la proposition de loi socialiste, on a eu tout le temps droit à des discussions où il y avait toujours un partisan de la pénalisation du client qui répétait que la prostitution était une violence et que le client était responsable de tous les maux, et en face quelqu'un qui n'était pas forcément favorable à la pénalisation mais qui était quand même dans l'optique de dire que la prostitution, "c'est pas bien" et qu'il n'était pas du tout question de la légaliser.
Donc ne faut pas trop se plaindre du fait qu'il n'y ait pas eu d'opposants étant donné que les abolitionnistes ont déjà eu énormément la parole
Dans le fond je suis d'accord avec toi, mais un débat ça doit rester un débat, et ce même si la contre argumentation est plus que pénible.
Je n'ai pas encore vu le documentaire mais en l’occurrence ça n'a pas l'air d'en être un.
Pour une fois que passent a la TV des gens qui sont contre la penalisation des clients et qui argumentent, ne nous plaignons pas.
Moi j'ai trouvé l'angle du reportage interressant car l'avis etait assez neutre sur la prostitution. Pas de politique.
"Escort girls, une vie dans l'ombre" documentaire + débat (France 5)
Etudiantes ou mères célibataires, elles prennent leurs rendez-vous sur internet et proposent aux clients leur «compagnie». Le terme escort, qui n'est pas synonyme de prostitution, se veut rassurant. Entre deux rendez-vous, ces femmes, qui mènent le plus souvent une double vie, ont accepté de se confier. Margot a choisi ce métier pour payer ses études, d'autres l'exercent pour pouvoir élever leurs enfants, à l'instar de Laetitia, Amanda et Lisa. Sans protecteur, ces trois Marseillaises ont formé une sorte de coopérative. Marla, escort de luxe, invoque quant à elle un vrai choix de vie. Quelle que soit leur motivation, Internet permet à ces femmes de garder le masque.
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