Lundi, vers 22h30, devant le bâtiment CFDT, je me fais accoster (à moins que ce ne soit l inverse) par un petit groupe de 6 ou 7 marcheuses. Celle avec qui je négocie me convient, car j ai un peu faim en cette première soirée parisienne. Par contre, elle est trop gourmande, et je lui dis poliment au revoir.
Il n en était pas dit ainsi, et le petit groupe se met à piailler et me désigne l une d elles qui accepte mes conditions (la nuit à mon hôtel pour 3 billets). Par contre, elle ne parle pas français, et elles ont du se cotiser pour lui fournir le matériel nécessaire.
Me voilà parti avec San San dans mes pas.
Sa jupe blanche à froufrous à fait un peu scandale en arrivant à l hôtel, mais je ne suis plus à cela près. C est même plutôt cocasse.
Assez classique pour une chinoise de 38 ans, pas mince mince, une poitrine un peu tombante, le seul signe vraiment distinctif est un dauphin tatoué sur l avant bras droit. Inutile de lui en parler, cela représente un bébé perdu accidentellement en Chine dont elle ne veut plus entendre parler.
Prestation classique moins, mais fille très gentille à l hygiène parfaite. Je n ai pas regreté, mais n ai pas renouveler, l ayant revu mercredi, au même endroit. J étais alors en mode, je fais le difficile, et j ai du coup dormi seul.
Je lui ai quand même fait la bise, ce qui a provoqué un petit remue ménage dans le petit groupe.
C'est amusant Belleville, j adore.