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Discussion : Belleville : LINA (mince, la trentaine)

  1. #


    aliva Guest

    Par défaut

    Citation Posté par Le Heydé2 Voir le message
    A la faveur d’une présence des treillis bleus de retour, véhicules bien garés sur la place J. Rostand de telle sorte qu’on les identifie de loin, j’ai rencontré Lina (si j’ai bien compris) sur le boulevard de la Villette, qui rentrait de faire ses courses un sac plastique et une bouteille de bordeaux à la main (peut-être histoire de tromper l’ennemi…). 26 ans, fille mince et bien foutue, cheveux mi-longs, lèvres fines et appuyées d’un rouge à lèvres soutenu, vêtue d’une robe sans bretelles avec élastique sous les aisselles, taille marquée et jambes nues (sans collant), la robe à volants arrivant à mi cuisses.
    Bref une belle fille marchant discrètement sur le boulevard mais observant attentivement l’effet produit sur la gente masculine. Et la gente, ce jour là, c’était moi !

    Travail ? Affirmatif.
    Et s’en suit un échange classique au cours duquel je précise que j’attendais une fell bio (« Toi suce sans capote » en mandarin), et des bisous soutenus « avec la langue » montrant mon appendice buccal, ce qui l’a fait sourire. Tout était OK ou sans problème, donc « on y va » et au vu des prestations offertes, j’accepte volontiers les 50 € demandés et la suis en descendant la rue de Sambre et Meuse.

    Sur le chemin, elle me pose des questions sur ma situation matrimoniale et professionnelle et, dans la perspective de bonnes affaires à venir, me dit que « la prochaine fois », elle viendra chez moi et qu’elle peut dormir avec moi…
    Je pensais qu’on verrait bien comment allait se passer notre première rencontre m’appuyant sur l’idée de base selon laquelle une fille trop séduisante et pensant concomitamment aux affaires présente le risque de tenir plus ou moins bien ses promesses.
    J’aurais dû m’en tenir à ma sagesse populaire de départ et lui fausser compagnie, là.

    Après qu’elle ait téléphoné pour prévenir de notre arrivée, nous entrons dans son nid d’amour, un 2 pièces sale et occupé par une mama qui faisait la cuisine dans l’entrée-cuisine, je lâche un « bonjour Madame » qui a semblé la surprendre et elle m’a montré la porte de la chambre attenante….
    Là aussi, j’aurais dû détaler en vitesse. Petite chambre dans laquelle se trouve un innommable bazar, un lit 2 places et 2 lits superposés supportant chacun une chinoise au visage recouvert de purée de concombres + des tranches de concombres !!! Elles se sont extraites de leur pucier avec lenteur pour que l’amalgame concombrinesque ne risque pas de choir. L’une est revenue avec un matelas à poser à même le sol pour abriter nos ébats, sans doute que le bi-pucier était trop récent pour que nous risquions de l’abîmer !!
    C’est là que j’aurais dû prétexter un parcmètre en fin de vie ou du lait sur le feu pour éviter la suite. Lina me réclame son dû ; je lui tends un joli billet et mes lèvres. Elle n’a saisi que l’un des deux, va savoir pourquoi ?

    A partir de là, toute tentative de baiser voire plus a été avortée par la belle. Sa robe enlevée, je dois admettre qu’elle est encore mieux car bien faite, pas un poil de graisse, des jambes fuselées, des fesses attirant les mains et des seins certes à la chinoise mais avec un léger plus qui retient l’attention. Elle voulait déjà me chapeauter. Je lui dis que nous sommes là pour faire l’amour, que dans amour, il y a aimer (love) et que nous ne sommes pas là pour un combat rapide (quick fight in Shakespeare’s language). Ah j’oubliais de préciser que Lina est à Paris depuis 1 mois et qu’elle se débrouille mieux en anglais.

    Il n’empêche que le deep french n’a jamais été kissé, tout juste ses lèvres sont-elles venues effleurer les miennes. « Wait » disait-elle. J’attends encore. Le suck fut couvert, suck uniquement sur la partie capotée de mon instrument souvent décrit avec émotion par tant de dames. Suck quelque peu énergique mais supportable d’autant qu’ayant compris qu’il ne m’arriverait rien de ce que j’attendais, je caressais son corps en attendant la fin.
    Elle voulait à tout prix que je la prenne en missionnaire. Moi je la voulais sur moi. Aussi lui ai-je dit « wait » et l’ai assise sur moi, il lui restait à m’offrir sa fente que j’avais essayé d’attendrir sans succès (et sans sucer car elle m’a dit « wait »).
    Elle a immédiatement roucoulé quand je me suis introduit, rapport à mon charme sans égal ai-je pensé en limant tout ce que je savais.
    Je m’emmerdais tellement que j’ai pensé in petto, « Dommage qu’elle s’appelle Lina, elle s’appellerait A-Hong, je pourrais dire que je lime A-Hong ». le naturel revient quand on s’ennuie !!
    Comme elle trouvait que c’était trop, elle m’a astiqué le poireau à la main et nous en sommes restés là-dessus, dès que la mousse du champagne est sortie du col de la bouteille.

    Alors que je me rhabillais, ne perdant pas le nord, elle me propose son numéro pour « la prochaine fois ».
    C’est là précisément que j’ai lancé ma tirade de l’acte III, scène 4, qu’on étudie maintenant dans les lycées et qui est au programme du bacc. section littérature :

    I don’t need your bloody number. There won’t be any next time as you fuck as a nun (j’ai jamais essayé mais p’tet que les religieuses ne taillent pas des pipes aussi bien que Lina) and you don’t realize what you promise you would do. You’ve not kissed, you’ve not sucked without capote (in French in the text), you’ve stolen my banknote, what you’ve done is worth 30 €, OK ?? are you going to give me my money back ?
    If I take your phone number, it ‘will be to communicate to friends to tell them not to come to see you. And last, this place is awfull, dirty and I will never come again.
    You understand ??

    Je ne suis pas sûr qu’elle ait tout compris de mon anglais de l’Université de Pantin mais alors qu’elle souriait au départ, son visage s’est subitement assombri quand j’ai dit que sa presta valait 30 € et là, elle regardé la porte avec intérêt, en se rappelant combien elle croyait en Dieu et qu’il la sauverait sûrement. Plus elle me faisait signe de parler moins fort, plus j’augmentais le niveau et lorsque j’ai traversé la cuisine, j’ai rappelé aux dames enconcombronnées que leur bouge n’était pas digne de figurer dans le Michelin, même aux chefs d'oeuvre en péril, et que leur pensionnaire discréditait la gente heureusement nombreuse des chinoises attentionnées et impliquées dans leur dur labeur.

    Quand j’ai dit « au revoir Mesdames », elles m’ont répondu au revoir mais je les ai entendues penser Adieu.


    Excellent, si véridique de par certaines expériences, l'humour n'aura jamais une ride, nous sommes éternellement jeunes de partager cette belle prose.Merci.

  2. #


    Par défaut Je peux te l'apprendre en mandarin

    Citation Posté par Le Heydé2 Voir le message
    A la faveur d’une présence des treillis bleus de retour, véhicules bien garés sur la place J. Rostand de telle sorte qu’on les identifie de loin, j’ai rencontré Lina (si j’ai bien compris) sur le boulevard de la Villette, qui rentrait de faire ses courses un sac plastique et une bouteille de bordeaux à la main (peut-être histoire de tromper l’ennemi…). 26 ans, fille mince et bien foutue, cheveux mi-longs, lèvres fines et appuyées d’un rouge à lèvres soutenu, vêtue d’une robe sans bretelles avec élastique sous les aisselles, taille marquée et jambes nues (sans collant), la robe à volants arrivant à mi cuisses.
    Bref une belle fille marchant discrètement sur le boulevard mais observant attentivement l’effet produit sur la gente masculine. Et la gente, ce jour là, c’était moi !

    Travail ? Affirmatif.
    Et s’en suit un échange classique au cours duquel je précise que j’attendais une fell bio (« Toi suce sans capote » en mandarin), et des bisous soutenus « avec la langue » montrant mon appendice buccal, ce qui l’a fait sourire. Tout était OK ou sans problème, donc « on y va » et au vu des prestations offertes, j’accepte volontiers les 50 € demandés et la suis en descendant la rue de Sambre et Meuse.

    Sur le chemin, elle me pose des questions sur ma situation matrimoniale et professionnelle et, dans la perspective de bonnes affaires à venir, me dit que « la prochaine fois », elle viendra chez moi et qu’elle peut dormir avec moi…
    Je pensais qu’on verrait bien comment allait se passer notre première rencontre m’appuyant sur l’idée de base selon laquelle une fille trop séduisante et pensant concomitamment aux affaires présente le risque de tenir plus ou moins bien ses promesses.
    J’aurais dû m’en tenir à ma sagesse populaire de départ et lui fausser compagnie, là.

    Après qu’elle ait téléphoné pour prévenir de notre arrivée, nous entrons dans son nid d’amour, un 2 pièces sale et occupé par une mama qui faisait la cuisine dans l’entrée-cuisine, je lâche un « bonjour Madame » qui a semblé la surprendre et elle m’a montré la porte de la chambre attenante….
    Là aussi, j’aurais dû détaler en vitesse. Petite chambre dans laquelle se trouve un innommable bazar, un lit 2 places et 2 lits superposés supportant chacun une chinoise au visage recouvert de purée de concombres + des tranches de concombres !!! Elles se sont extraites de leur pucier avec lenteur pour que l’amalgame concombrinesque ne risque pas de choir. L’une est revenue avec un matelas à poser à même le sol pour abriter nos ébats, sans doute que le bi-pucier était trop récent pour que nous risquions de l’abîmer !!
    C’est là que j’aurais dû prétexter un parcmètre en fin de vie ou du lait sur le feu pour éviter la suite. Lina me réclame son dû ; je lui tends un joli billet et mes lèvres. Elle n’a saisi que l’un des deux, va savoir pourquoi ?

    A partir de là, toute tentative de baiser voire plus a été avortée par la belle. Sa robe enlevée, je dois admettre qu’elle est encore mieux car bien faite, pas un poil de graisse, des jambes fuselées, des fesses attirant les mains et des seins certes à la chinoise mais avec un léger plus qui retient l’attention. Elle voulait déjà me chapeauter. Je lui dis que nous sommes là pour faire l’amour, que dans amour, il y a aimer (love) et que nous ne sommes pas là pour un combat rapide (quick fight in Shakespeare’s language). Ah j’oubliais de préciser que Lina est à Paris depuis 1 mois et qu’elle se débrouille mieux en anglais.

    Il n’empêche que le deep french n’a jamais été kissé, tout juste ses lèvres sont-elles venues effleurer les miennes. « Wait » disait-elle. J’attends encore. Le suck fut couvert, suck uniquement sur la partie capotée de mon instrument souvent décrit avec émotion par tant de dames. Suck quelque peu énergique mais supportable d’autant qu’ayant compris qu’il ne m’arriverait rien de ce que j’attendais, je caressais son corps en attendant la fin.
    Elle voulait à tout prix que je la prenne en missionnaire. Moi je la voulais sur moi. Aussi lui ai-je dit « wait » et l’ai assise sur moi, il lui restait à m’offrir sa fente que j’avais essayé d’attendrir sans succès (et sans sucer car elle m’a dit « wait »).
    Elle a immédiatement roucoulé quand je me suis introduit, rapport à mon charme sans égal ai-je pensé en limant tout ce que je savais.
    Je m’emmerdais tellement que j’ai pensé in petto, « Dommage qu’elle s’appelle Lina, elle s’appellerait A-Hong, je pourrais dire que je lime A-Hong ». le naturel revient quand on s’ennuie !!
    Comme elle trouvait que c’était trop, elle m’a astiqué le poireau à la main et nous en sommes restés là-dessus, dès que la mousse du champagne est sortie du col de la bouteille.

    Alors que je me rhabillais, ne perdant pas le nord, elle me propose son numéro pour « la prochaine fois ».
    C’est là précisément que j’ai lancé ma tirade de l’acte III, scène 4, qu’on étudie maintenant dans les lycées et qui est au programme du bacc. section littérature :

    I don’t need your bloody number. There won’t be any next time as you fuck as a nun (j’ai jamais essayé mais p’tet que les religieuses ne taillent pas des pipes aussi bien que Lina) and you don’t realize what you promise you would do. You’ve not kissed, you’ve not sucked without capote (in French in the text), you’ve stolen my banknote, what you’ve done is worth 30 €, OK ?? are you going to give me my money back ?
    If I take your phone number, it ‘will be to communicate to friends to tell them not to come to see you. And last, this place is awfull, dirty and I will never come again.
    You understand ??

    Je ne suis pas sûr qu’elle ait tout compris de mon anglais de l’Université de Pantin mais alors qu’elle souriait au départ, son visage s’est subitement assombri quand j’ai dit que sa presta valait 30 € et là, elle regardé la porte avec intérêt, en se rappelant combien elle croyait en Dieu et qu’il la sauverait sûrement. Plus elle me faisait signe de parler moins fort, plus j’augmentais le niveau et lorsque j’ai traversé la cuisine, j’ai rappelé aux dames enconcombronnées que leur bouge n’était pas digne de figurer dans le Michelin, même aux chefs d'oeuvre en péril, et que leur pensionnaire discréditait la gente heureusement nombreuse des chinoises attentionnées et impliquées dans leur dur labeur.

    Quand j’ai dit « au revoir Mesdames », elles m’ont répondu au revoir mais je les ai entendues penser Adieu.
    Je peux te l'apprendre en mandarin ta tirade ! Encore faut il qu'elle ne parle pas un dialecte mais bien la langue commune ( putonghua ) ! JF Ton EV m'a beaucoup fais rire Merci à toi !

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    A la faveur d’une présence des treillis bleus de retour, véhicules bien garés sur la place J. Rostand de telle sorte qu’on les identifie de loin, j’ai rencontré Lina (si j’ai bien compris) sur le boulevard de la Villette, qui rentrait de faire ses courses un sac plastique et une bouteille de bordeaux à la main (peut-être histoire de tromper l’ennemi…). 26 ans, fille mince et bien foutue, cheveux mi-longs, lèvres fines et appuyées d’un rouge à lèvres soutenu, vêtue d’une robe sans bretelles avec élastique sous les aisselles, taille marquée et jambes nues (sans collant), la robe à volants arrivant à mi cuisses.
    Bref une belle fille marchant discrètement sur le boulevard mais observant attentivement l’effet produit sur la gente masculine. Et la gente, ce jour là, c’était moi !

    Travail ? Affirmatif.
    Et s’en suit un échange classique au cours duquel je précise que j’attendais une fell bio (« Toi suce sans capote » en mandarin), et des bisous soutenus « avec la langue » montrant mon appendice buccal, ce qui l’a fait sourire. Tout était OK ou sans problème, donc « on y va » et au vu des prestations offertes, j’accepte volontiers les 50 € demandés et la suis en descendant la rue de Sambre et Meuse.

    Sur le chemin, elle me pose des questions sur ma situation matrimoniale et professionnelle et, dans la perspective de bonnes affaires à venir, me dit que « la prochaine fois », elle viendra chez moi et qu’elle peut dormir avec moi…
    Je pensais qu’on verrait bien comment allait se passer notre première rencontre m’appuyant sur l’idée de base selon laquelle une fille trop séduisante et pensant concomitamment aux affaires présente le risque de tenir plus ou moins bien ses promesses.
    J’aurais dû m’en tenir à ma sagesse populaire de départ et lui fausser compagnie, là.

    Après qu’elle ait téléphoné pour prévenir de notre arrivée, nous entrons dans son nid d’amour, un 2 pièces sale et occupé par une mama qui faisait la cuisine dans l’entrée-cuisine, je lâche un « bonjour Madame » qui a semblé la surprendre et elle m’a montré la porte de la chambre attenante….
    Là aussi, j’aurais dû détaler en vitesse. Petite chambre dans laquelle se trouve un innommable bazar, un lit 2 places et 2 lits superposés supportant chacun une chinoise au visage recouvert de purée de concombres + des tranches de concombres !!! Elles se sont extraites de leur pucier avec lenteur pour que l’amalgame concombrinesque ne risque pas de choir. L’une est revenue avec un matelas à poser à même le sol pour abriter nos ébats, sans doute que le bi-pucier était trop récent pour que nous risquions de l’abîmer !!
    C’est là que j’aurais dû prétexter un parcmètre en fin de vie ou du lait sur le feu pour éviter la suite. Lina me réclame son dû ; je lui tends un joli billet et mes lèvres. Elle n’a saisi que l’un des deux, va savoir pourquoi ?

    A partir de là, toute tentative de baiser voire plus a été avortée par la belle. Sa robe enlevée, je dois admettre qu’elle est encore mieux car bien faite, pas un poil de graisse, des jambes fuselées, des fesses attirant les mains et des seins certes à la chinoise mais avec un léger plus qui retient l’attention. Elle voulait déjà me chapeauter. Je lui dis que nous sommes là pour faire l’amour, que dans amour, il y a aimer (love) et que nous ne sommes pas là pour un combat rapide (quick fight in Shakespeare’s language). Ah j’oubliais de préciser que Lina est à Paris depuis 1 mois et qu’elle se débrouille mieux en anglais.

    Il n’empêche que le deep french n’a jamais été kissé, tout juste ses lèvres sont-elles venues effleurer les miennes. « Wait » disait-elle. J’attends encore. Le suck fut couvert, suck uniquement sur la partie capotée de mon instrument souvent décrit avec émotion par tant de dames. Suck quelque peu énergique mais supportable d’autant qu’ayant compris qu’il ne m’arriverait rien de ce que j’attendais, je caressais son corps en attendant la fin.
    Elle voulait à tout prix que je la prenne en missionnaire. Moi je la voulais sur moi. Aussi lui ai-je dit « wait » et l’ai assise sur moi, il lui restait à m’offrir sa fente que j’avais essayé d’attendrir sans succès (et sans sucer car elle m’a dit « wait »).
    Elle a immédiatement roucoulé quand je me suis introduit, rapport à mon charme sans égal ai-je pensé en limant tout ce que je savais.
    Je m’emmerdais tellement que j’ai pensé in petto, « Dommage qu’elle s’appelle Lina, elle s’appellerait A-Hong, je pourrais dire que je lime A-Hong ». le naturel revient quand on s’ennuie !!
    Comme elle trouvait que c’était trop, elle m’a astiqué le poireau à la main et nous en sommes restés là-dessus, dès que la mousse du champagne est sortie du col de la bouteille.

    Alors que je me rhabillais, ne perdant pas le nord, elle me propose son numéro pour « la prochaine fois ».
    C’est là précisément que j’ai lancé ma tirade de l’acte III, scène 4, qu’on étudie maintenant dans les lycées et qui est au programme du bacc. section littérature :

    I don’t need your bloody number. There won’t be any next time as you fuck as a nun (j’ai jamais essayé mais p’tet que les religieuses ne taillent pas des pipes aussi bien que Lina) and you don’t realize what you promise you would do. You’ve not kissed, you’ve not sucked without capote (in French in the text), you’ve stolen my banknote, what you’ve done is worth 30 €, OK ?? are you going to give me my money back ?
    If I take your phone number, it ‘will be to communicate to friends to tell them not to come to see you. And last, this place is awfull, dirty and I will never come again.
    You understand ??

    Je ne suis pas sûr qu’elle ait tout compris de mon anglais de l’Université de Pantin mais alors qu’elle souriait au départ, son visage s’est subitement assombri quand j’ai dit que sa presta valait 30 € et là, elle regardé la porte avec intérêt, en se rappelant combien elle croyait en Dieu et qu’il la sauverait sûrement. Plus elle me faisait signe de parler moins fort, plus j’augmentais le niveau et lorsque j’ai traversé la cuisine, j’ai rappelé aux dames enconcombronnées que leur bouge n’était pas digne de figurer dans le Michelin, même aux chefs d'oeuvre en péril, et que leur pensionnaire discréditait la gente heureusement nombreuse des chinoises attentionnées et impliquées dans leur dur labeur.

    Quand j’ai dit « au revoir Mesdames », elles m’ont répondu au revoir mais je les ai entendues penser Adieu.

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